Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Inscrivez-vous afin de lire et répondre plus facilement Smile

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Inscrivez-vous afin de lire et répondre plus facilement Smile
Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert

Aller en bas

Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert Empty Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert

Message par Her Mar 29 Nov - 9:23

http://www.rosairedionne.com/pastorale/le_scapulaire_vert.htm

le Scapulaire vert, particulièrement recommandé pour les malades et les mourants

Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert Scapulaire01b


Dernière édition par Hercule le Mar 29 Nov - 9:25, édité 1 fois
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert Empty Re: Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert

Message par Her Mar 29 Nov - 9:24

LE SCAPULAIRE VERT – SA PROVENANCE

Sœur Justine BISQUEYBURU était comme Sainte Catherine LABOURE une Fille de la Charité. Orpheline Très jeune, le jour le plus heureux de sa vie fût le 27 Novembre 1839, jour où elle fit son entrée au noviciat des Filles de la Charité de St Vincent de Paul à Paris.

Le 28 janvier 1840 au 140 de la rue du Bac à Paris, étant en prière devant une statue de la vierge Marie, celle-ci lui apparut vêtue d’une robe blanche tombant jusqu’aux pieds, d’un manteau d’un beau bleu, laissant voir ses longs cheveux sans aucun voile.

Après un certain nombre d’apparitions semblables, le 8 septembre 1840 la Sainte Vierge lui apparut une fois encore à Blangy en Seine Maritime dans l’une des communautés des Filles de la Charité, tenant dans sa main droite un Cœur d’où sortaient des flammes ardentes tandis que sa main gauche présentait un scapulaire de couleur verte n’ayant qu’un pendant.

Sur l’une des faces de ce scapulaire l’image de Marie était représentée telle que nous l’avons décrite ci-dessus, et sur l’autre face était représenté un Cœur enflammé de rayons plus brillants que le soleil et transparents comme le cristal.

Le Cœur ainsi représenté était transpercé d’un glaive et autour de lui épousant une forme ovale ayant à son sommet une croix, une phrase était inscrite :

« CŒUR IMMACULE DE MARIE PRIEZ POUR NOUS MAINTENANT ET A L’HEURE DE NOTRE MORT ».

La Sainte Vierge fit comprendre à Sœur Justine BISQUEYRBURU que ceux qui porteraient ce scapulaire et diraient avec foi chaque jour la prière ci-dessus, « CŒUR IMMACULE DE MARIE PRIEZ POUR NOUS MAINTENANT ET A L’HEURE DE NOTRE MORT », recevraient de grandes grâces parmi lesquelles celle de la conversion et d’une bonne mort.

Ces grâces sont plus ou moins grandes suivant le degré de confiance qui accompagne cette dévotion.

Elles peuvent être obtenues au bénéfice d’une personne qui porterait le scapulaire même à son insu (doublure de vêtement) ou même si simplement on le plaçait dans sa chambre.

La prière quotidienne « CŒUR IMMACULE DE MARIE PRIEZ POUR NOUS MAINTENANT ET A L’HEURE DE NOTRE MORT » devant alors être dite à la place de ladite personne.

Le scapulaire vert a fait l’objet de deux approbations successives du Pape Pie IX en 1863 puis en 1870 ; mais Satan qui en connaît la valeur inestimable a réussi longtemps et encore de nos jours à en empêcher la distribution en grand nombre.

Vous devez faire bénir votre scapulaire par un prêtre.


Nota : Ce scapulaire 5 couleurs brodé sur fond vert a été tissé " Haute définition" avec lisières soudées sauf celles du haut pour vous permettre de coudre vous-même cette dernière simplement avec un fil vert si vous désirez porter le scapulaire dans votre poche, ou bien en y "pinçant" avec la coupure le petit ruban vert que vous y introduirez après avoir donné la forme d'une boucle et qui se trouve "en attente de votre choix" à l'intérieur entre les deux parois. L'exceptionnelle qualité du tissu et de la fabrication vous garantit un usage quasiment infini et toutes les formes de lavage.


Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert I-Grande-1152-le-scapulaire-vert-en-etoffe-avec-cordon.net


Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert Images?q=tbn:ANd9GcTpDwKSoyZWx2-0qLQ842xXns4_k5lKqhHX9rJZly5NTgDnfJ9Lig


Dernière édition par Hercule le Mar 29 Nov - 9:39, édité 3 fois
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert Empty Re: Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert

Message par Her Mar 29 Nov - 9:26

LE SCAPULAIRE VERT
(Une autre version de l'histoire)


LA REVELATION DU SCAPULAIRE

Le 28 janvier 1840, la Sainte Vierge apparut à une novice des Filles de la Charité, qui faisait sa retraite à la Maison-Mère, 140, rue du Bac, à Paris.

La jeune Sœur, Justine BISQUEYBURU, était en prière dans une salle au-dessus de la chapelle devant la statue de la Vierge, désignée sous le nom de Notre Dame de la Mission. Tout à coup la Sainte Vierge se rendit visible à ses yeux. Elle était vêtue d’une longue robe blanche tombant sur ses pieds nus, d’un manteau bleu azur, sans voile, les cheveux épars sur les épaules. Elle tenait entre ses mains son Cœur, d’où sortaient des flammes abondantes.

Vers la fin de sa retraite et plusieurs fois pendant son noviciat, aux principales fêtes de la Sainte Vierge, la Sœur fut favorisée de la même apparition qui semblait n’avoir d’autre but que d’accroître sa dévotion personnelle au Cœur Immaculé de Marie.

Le 8 septembre 1840, la Sainte Vierge apparut de nouveau à Sœur BISQUEYBURU, cette fois dans la maison de Blangy, en Seine-Maritime, où elle avait été placée. La Sainte Vierge tenait de la main droite son Cœur surmonté de flammes, et, de l’autre, une sorte de scapulaire d’étoffe verte, n’ayant qu’un côté et suspendu à un cordon également vert. Sur l’une des faces de ce scapulaire se trouvait l’image de Marie, telle qu’elle s’était montrée dans les précédentes apparitions et, sur l’autre face, un cœur tout enflammé de rayons, plus brillants que le soleil et transparents comme du cristal, suivant les expressions mêmes de la Sœur. Ce cœur, percé d’un glaive, était entouré d’une inscription de forme ovale surmonté d’une croix en or et ainsi conçue :

“COEUR IMMACULE DE MARIE, PRIEZ POUR NOUS MAINTENANT ET A L'HEURE DE NOTRE MORT”.

Une voix intérieure fit comprendre à la Sœur que ce scapulaire devait contribuer à convertir les âmes et à leur procurer une bonne mort.

Sœur BISQUEYBURU, par une lettre datée du 8 octobre 1840, fit part de ses apparitions à la Directrice du Noviciat. Elle le fit avec beaucoup de timidité “craignant, dit-elle, que tout cela ne fût l’effet de l’imagination”, et demandant à la Directrice de garder la chose confidentielle, de n’en parler qu’au Directeur de la Communauté, le Père ALADEL.

Ce prêtre, déjà confident de Sœur Catherine LABOURE, agit avec Sœur BISQUEYBURU aussi prudemment qu’il l’avait fait en 1830.

La confection du Scapulaire fut donc longtemps retardée, ce dont la Sainte Vierge se plaignit plusieurs fois à la Sœur en différentes apparitions entre 1840 et 1846. Mais, quand on commença à distribuer le Scapulaire, les conversions se multiplièrent ; il y eut aussi quelques guérisons corporelles. Et depuis lors, le Scapulaire Vert, encore trop peu connu, continue à répandre des grâces multiples.


UTILISATION DU SCAPULAIRE VERT

La Sainte Vierge a déclaré qu’aucune formule spéciale de bénédiction n’était nécessaire. Il suffit qu’il soit bénit par un prêtre et porté par la personne que l’on veut, même à son insu, confier à Marie. La seule prière à réciter chaque jour est celle de l’inscription entourant le Cœur au revers du Scapulaire : “Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous maintenant et à l’heure de notre mort”. On peut, le cas échéant, la dire au nom de la personne.


LE SCAPULAIRE VERT A ETE APPROUVE A DEUX REPRISES PAR LE PAPE PIE IX EN 1863 ET EN 1870.

QU’EST-IL ADVENU DE SOEUR JUSTINE BISQUEYBURU ?

Après s’être dévouée dans plusieurs maisons en France, puis en Crimée au moment de la guerre en 1854, ensuite à Alger, à Rome, elle fut enfin placée à Carcassonne où elle mourut le 23 septembre 1903. Jamais elle ne parla des grâces dont elle avait été favorisée.

Vous pouvez commander des scapulaires verts, sous plastique, avec notice au prix de 2,00 € l’unité (+ port) à :

CUM PERMISSUM SUPERIORUM
Paris 1978


Dernière édition par Hercule le Mar 29 Nov - 9:53, édité 1 fois
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert Empty Re: Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert

Message par Her Mar 29 Nov - 9:40

http://laportelatine.org/pourvous/spirit/2006/scapulairevert.php

Le scapulaire vert
Récit offert par La Porte Latine pour l'entrée en l'an de grâce 2006


Extrait de Marchons droit n°112 d'octobre - novembre - décembre 2005

[...]La révélation du scapulaire vert fut révélée à Soeur Justine Bisqueyburu le 8 septembre 1840, en la fête de la Nativité de Notre-Dame à Blangy. Soeur Justine était en oraison.

Elle vit sa céleste Mère, tenant dans la main droite son Coeur surmonté de flammes et dans l'autre main, une sorte de scapumlaire d'étoffe verte (couleur de l'espérance, n'ayant qu'un côté, suspendu à un cordon unique également vert et( fermé par le haut.[...]


Quelques exemples de grâces reçues par ce scapulaire

Bien sûr, pour susciter de grands zélateurs, la Très Sainte Vierge a opéré des guérisons physiques par le port du scapulaire, bien que ce ne soit pas l'objet principal de cette dévotion.

Voici un exemple : C'est un prêtre qui parle.

II y a sept ans, avant l'usage de la pénicilline, j'étais clans un hôpital souffrant d'une pneumonie. Apres plusieurs hémorragies, les docteurs décidèrent finalement de m'opérer.

C'est a ce moment qu'une petite religieuse entra dans ma chambre.

Mon Père, avez-vous une grande confiance envers la Sainte Vierge, surtout en son Cour Immaculé ? s'il en était ainsi, vous pourriez être guéri.

Comment cela, ma sour ?

Par le scapulaire vert.

Qu'est-ce que cela ?

Mon Père, il y a quatre ans, je fus opérée d'un cancer qui était déjà tellement répandu dans tout mon organisme, qu'on me renvoya pour mourir. C'est alors que je m'adressai à Notre-Dame du scapulaire vert. Fatiguée d'attendre la mort, je revins au travail et je suis guérie. En accepteriez-vous un ?

Bien volontiers, ma sour !

Immédiatement elle m'en passa un au cou. Je fus, sur le champ, comme envahi par un sentiment de grande confiance et l'hémorragie s'arrêta.

Deux jours après, conduit à la salle des radiographies, on me demanda quand l'hémorragie avait cessé. On ne voulait pas croire qu'il n'y avait que deux jours. "Vous avez une lésion cicatrisée depuis six mois". Aujourd'hui, même la cicatrice a disparu.

Est-ce étonnant que je parle d'une dette insolvable au Cour Immaculé de Marie ?

Depuis lors, j'ai fait tout en mon pouvoir pour répandre cette dévotion. À ma grande joie et à mon grand étonnement, ceux à qui j'en ai parlé sont devenus plus zélés que moi.


Maintenant donnons quelques exemples de conversions inespérées.

La plus marquante est celle de l'assassin de Monseigneur Affre qui avait, en son temps, approuvé le scapulaire vert.

Le 25 juin 1848, Mgr Affre fut mortellement blessé par un insurgé, alors qu'il venait pour réconcilier les parisiens qui s'entretuaient. Il mourut le 27 juin, après avoir pardonné à son assassin. L'enquête ouverte immédiatement ne put jamais aboutir. Aucun nom ou visage ne put être donné au meurtrier. Mais la grâce toute puissante de Dieu va nous le faire découvrir...

Laissons la parole à une Fille de la Charité.

Un jour (c'était en 1859), raconte sour Dufès, nous sommes averties - par un membre de la Conférence de Saint-Vincent-de-Paul - qu'il y a sur la paroisse Saint-Paul- Saint-Louis, quai des Ormes, un homme dangereusement malade, qui ne passera sans doute pas la journée. Il ajoute :

"Je visite cette famille depuis des années. J'espérais réussir auprès du malade et le faire confesser, mais je vois que je n'obtiens rien, au contraire. Le malade est tellement aigri qu'aujourd'hui il m'a mis à la porte. Il ne veut pas entendre parler de prêtre, il veut mourir sans sacrements. Je suis désolé, et je viens vous supplier, ma sour, d'envoyer une de vos sours visiter notre pauvre malade, espérant qu'elle réussira mieux que nous."

Je fais appeler la sour du quartier, sour Louise Puntis, et je la prie de se rendre immédiatement chez le malade, lui recommandant d'agir avec le plus de douceur possible, pour ne pas le froisser ni s'exposer ainsi à un nouveau refus.

La sour, docile à cette recommandation, ne précipite rien. Ayant trouvé le malade moins mal qu'on ne lui avait dit, elle croit sage de ne pas aborder encore la question de la confession.

Le lendemain, elle s'empresse d'aller le revoir, elle le trouve très mal. Après s'être informée de sa santé, elle lui dit :

"Vous me paraissez plus accablé qu'hier, vous souffrez davantage, n'est-ce pas ? Allons mon cher monsieur, mettez en Dieu votre confiance, II est si bon, c'est un bon Père. Si vous le priez, II vous soulagera. Pour cela, mettez-vous en grâce avec lui par une bonne confession. Je vais vous donner une médaille de la Sainte Vierge. Dites avec moi la petite prière :

0 Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous."

Le malade refuse la médaille et ne veut jamais prononcer l'invocation. Il se met à dire des injures, et tire de dessous son traversin une énorme canne, avec laquelle il défie la sour et d'autres personnes de s'approcher de lui.

Nous sommes déconcertées, désespérant de pouvoir décider ce pauvre moribond à recevoir le prêtre, lorsqu'il nous vint la pensée de nous servir du scapulaire vert. Nous le plaçons dans son lit, sans qu'il le voie. Puis l'ayant abordé, nous lui demandons de ses nouvelles. Il nous répond qu'il va très mal parce qu'on le tourmente pour le faire confesser. Et il ajoute :

"Si vous venez pour cela, vous pouvez vous retirer ; je veux mourir tel que je suis, sans voir de prêtre.

Sans doute, lui dis-je, vous êtes libre de recevoir un prêtre ou de ne pas le recevoir, comme aussi de vous sauver ou de vous damner. Vous savez qu'il y a un ciel pour les bons et un enfer pour les méchants. Choisissez, vous êtes le maître.

Laissez-moi tranquille, je vous prie de vous en aller et de ne plus revenir, si vous n'avez que cela à me dire. "

Nous sommes navrées de son obstination. Il se répand en blasphèmes contre Dieu, contre Marie, et nous le quittons, désolées de ce que nous venons d'entendre, mais nous laissons le scapulaire.

Marie, toute puissante, allait triompher de ce cour.

À peine sommes-nous de retour à la maison qu'on vient nous chercher. Le malade nous réclame ; il veut communiquer à la sour une chose très impor- tante. Elle s'y rend en toute hâte.

"Je vais mourir, dit-il à la sour, je le sens. Je ne puis paraître devant Dieu dans l'état où je suis. Je ne sais ce qui se passe en moi. Je désire voir un prêtre, mais ma sour, je ne pourrai pas recevoir les sacr ments, je ne suis pas marié ; puis ma femme est protestante. Il faut des dispenses et l'on n'aura pas le temps d'aller les chercher à l'Archevêché."

Puis, il ajoute :

"Je suis si coupable !.... Vous avez devant vous un assassin ! C'est moi qui ai tué Monseigneur Affre sur la barricade du faubourg Saint-Antoine. Je n'oserai l'avouer qu'à un seul prêtre : M. Dumas, premier vicaire à Saint-Paul-Saint-Louis. Allez me le chercher ma sour, et dites-lui que le malade qui le fait appeler est l'homme qui lui donna la main pour l'aider à descendre de la barricade au moment où Mgr fut tué, et qui le reconduisit à son domicile, l'arme à la main. Faites-lui ma confession ; il me reconnaîtra, j'en suis sûr."

Le voyant si surexcité, nous lui faisons faire une courte prière et l'invocation du scapulaire vert, qu'il baisa avec respect.

"Allez vite, ma sour, je vais mourir, vous n'aurez pas le temps ! "

Mais Marie, refuge des pécheurs, qui venait d'opérer un si grand miracle, pouvait bien en faire un nouveau.

M. l'abbé Dumas arrive de suite, s'approche du lit, parle au malade et le trouve dans la disposition de se confesser ; ce qu'il fait aussitôt dans toute la sincérité de son âme, en témoignant le désir de faire la sainte communion.

Mais il fallait obtenir de l'Archevêché les dispenses nécessaires pour le mariage. Vu le danger pressant, M. Dumas pensa d'abord qu'il pourrait les supposer, mais espérant en avoir le temps, il se rend promptement à l'Archevêché. Le malade paraît mieux. Il l'est effectivement, son âme étant tranquille, et goûte une paix qu'il ne comprend pas nous dit-il, une paix du Ciel.

Le prêtre n'est pas long à revenir, muni de toutes les dispenses, et notre cher malade peut recevoir le sacrement de mariage.

Alors, désirant voir son épouse entrer dans le sein de l'Église catholique, il lui dit :

Il faut que tu me promettes "d'abjurer".

Sa femme le lui promit et tint parole. Quelques mois après, elle faisait son abjuration dans notre chapelle.

Quand M. l'abbé Dumas arriva avec la Sainte Eucharistie, le malade se dressa sur son séant, l'adora profondément et fondit en larmes, demandant pardon à haute voix. Le prêtre l'engagea à mettre sa confiance en Dieu, et après une courte exhortation lui donna, suivant le rite parisien, d'abord l'extrême-onction, puis le saint Viatique, que le malade reçut avec foi et amour. Il ne cessait de pleurer, répétant :

"C'est à Marie, refuge des pécheurs, que je dois ma conversion."

Une heure après, il rendait son âme à Dieu. Et nous, témoins de ce prodige, nous répétions après lui :

« Oui, vraiment, c'est à Marie, refuge des pécheurs, que nous devons cette conversion mira- culeuse ; c'est à l'heureuse influence du scapulaire vert. Gloire à Marie !»

Sour DUFÈS, Fille de la Charité

« Je soussignée, sour Louise Puntis, déclare avoir été la soeur du quartier envoyée par ma sour Dufès auprès du malade, et atteste la vérité de la relation ci-dessus. » Sour Puntis


Pour lire la suite de ces conversions miraculeuses :

Commander le n° 112 de Marchons Droit à :

Prieuré Notre-Dame du Pointet
B.P. 4
03110 BROÛT-VERNET
France
Her
Her

Messages : 9481
Date d'inscription : 01/05/2009
Localisation : France

Revenir en haut Aller en bas

Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert Empty Re: Protections et Sacramentaux - Le Scapulaire Vert

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum