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Les Signes des Temps - Gens du Voyage, Migrants, Apatrides et Réfugiés.

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Message par Her Lun 15 Aoû - 21:37

13 août 2011

La taxe du jour
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/08/la-taxe-du-jour.html

Lu ici :

"Il n’est pas aisé, en France, de ne pas avoir de domicile fixe. Cela vous prive d’un certain nombre de droits. Néanmoins, vous aviez la satisfaction de ne pas avoir à payer l’impôt sur « le droit de vivre » que constitue la taxe d’habitation, obligatoire dès que vous vous posez à un quelconque endroit de l’hexagone. « aviez », car désormais, c’est fini, même si vous n’avez pas de domicile fixe, vous paierez une taxe sur votre domicile mobile. La 4e loi de finances rectificative pour 2010 a, en effet, institué une taxe annuelle sur la détention d’une résidence mobile terrestre dès lors que celle-ci constitue la résidence principale de son propriétaire. Dans une des instructions fiscales dont elle a le secret (7M-1-11), l’administration fiscale vient de commenter cette disposition. Désormais, cette taxe concernera les véhicules terrestres habitables, comme par exemple les camping-cars et les caravanes, dès lors qu’ils pourvus d’un ameublement suffisant pour en permettre l’habitation, et ce, sans exception possible, puisque « Pour autant, l’importance et le confort du mobilier sont sans incidence sur l’exigibilité de la taxe« , comme se plait à le préciser (avec sadisme?) l’administration."

Posté le 13 août 2011 à 11h13 par Michel Janva


Dernière édition par Hercule le Mar 6 Déc - 5:32, édité 2 fois
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Message par Her Mar 16 Aoû - 11:32

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/16/1147318-lourdes-gens-du-voyage-une-arrivee-sous-tension.html#xtor=EPR-1

Lourdes et sa région
« Hautes-Pyrénées
PUBLIÉ LE 16/08/2011 07:50 - MODIFIÉ LE 16/08/2011 À 09:46 | DELPHINE PEREIRA
Lourdes. Gens du voyage : une arrivée sous tension
pèlerinage

Quelques tensions ont précédé l'ouverture du terrain Abadie, mais le calme est revenu peu à peu/Photo D.P.

C'est désormais une habitude. Le pèlerinage des gens du voyage débute dans quelques jours, une nuée de caravanes est arrivée hier après-midi.

Dès dimanche matin, les caravanes bloquaient déjà la route de Saint-Pé et la descente vers Vizens. Au passage à niveau, on a même frôlé le drame avec l'un des véhicules des gens du voyage qui a évité de justesse le train. Une matinée sous haute tension, malgré le dispositif mis en place par la ville, comme l'a expliqué le maire de Lourdes, Jean-Pierre Artiganave : « Aujourd'hui, nous arrivons à canaliser le flux dès le 15 août. Nous avons tous les moyens pour le guidage, le stockage et l'installation des caravanes avec l'aide de nos agents, mais aussi grâce aux renforts de la police, sans oublier les compagnies de CRS ».

Et il fallait bien tout cela pour canaliser l'humeur des voyageurs arrivés dès hier matin et qui entendaient bien rentrer au plus tôt sur les terrains : « On est là, alors, on voit pas pourquoi on nous fait attendre ».

Vers midi, les voyageurs ont entrepris de déjeuner sur place, dépliant tables et chaises à même la chaussée. Les services de sécurité, nombreux sur le pont sous la houlette du commandant François Pouchan, avec le concours du maire de Lourdes, tentaient de calmer le jeu jusqu'à l'ouverture du terrain Abadie prévu dans l'après-midi. Les esprits se sont donc calmés et vers 14 h 30, les premières caravanes se sont installées sur cet emplacement prisé par de nombreuses familles. Un ballet de caravanes qui a duré plus de trois heures, en attendant l'ouverture des autres terrains d'accueil mis à disposition dès aujourd'hui.
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Message par Her Mar 6 Sep - 7:40

http://www.zenit.org/french

France : Marie Pia et Thérèse en caravane au pèlé des Gitans à Lourdes

Temps fort pour les Gitans et Gens du Voyage

ROME, Mardi 30 août 2011 (ZENIT.org) – Marie Pia et Thérèse vivent en caravane et circulent dans le Sud de la France. Cette année encore, les deux Petites sœurs de Jésus de Charles de Foucauld étaient au Pèlerinage national des Gitans et Gens du Voyage à Lourdes, du 19 au 24 août, rapporte le site de cette congrégation religieuse, relayé par le site des évêques de France.

La « caravane fraternité » est stationnée « Quai Paradis ». Les sœurs participent au temps de prière sur le « terrain », à la bénédiction des familles à l'église Saint-Bernadette dans les Sanctuaires de Lourdes et à la vie des voyageurs pendant ce temps fort pour les Gitans et Gens du Voyage.

Lire le témoignage sur le site de la congrégation des Petites Sœurs de Jésus :

http ://petitessoeursjesus.catholique.fr/actupage/actu11/voyageurs/lourdes.html
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Message par Her Dim 23 Oct - 5:49

http://ZENIT.org/

Journée mondiale du Migrant et du Réfugié : Migrations et nouvelle évangélisation

Présentation du message de Benoît XVI mardi prochain au Vatican

ROME, vendredi 21 octobre 2011 (ZENIT.org) – «Migrations et nouvelle évangélisation » : c’est le thème du message de Benoît XVI pour la 98e Journée mondiale du Migrant et du Réfugié, qui sera célébrée le 15 janvier 2012.

Le message du pape sera présenté au Vatican mardi prochain, 25 octobre, au Vatican, par Antonio Maria Vegliò, président du Conseil pontifical pour la Pastorale des migrants et des personnes en déplacement.

Mgr Vegliò sera accompagné de Mgr Joseph Kalathiparambil, secrétaire du même dicastère, et du P. Gabriele Ferdinando Bentoglio, C.S., sous-secrétaire.

Le message sera publié en fin de matinée en français, anglais, italien, espagnol, portugais et polonais.
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Message par Her Mer 26 Oct - 12:04

http://ZENIT.org/

Journée mondiale 2012 du Migrant et du Réfugié: message de Benoît XVI

Les migrations, une occasion providentielle d'annoncer le Christ

ROME, mardi 25 octobre 2011 (ZENIT.org) – Les migrations constituent une occasion providentielle d’annoncer le Christ, explique Benoît XVI dans son Message pour la Journée mondiale 2012 du Migrant et du Réfugié, qui sera célébrée le 15 janvier.

Le message a pour thème : „ Migrations et nouvelle évangélisation ». Il a été présenté au Vatican ce mardi matin 25 octobre, au Vatican, par Mgr Antonio Maria Vegliò, président du Conseil pontifical pour la pastorale des migrants et des personnes en déplacement.

Mgr Vegliò était accompagné de Mgr Joseph Kalathiparambil, secrétaire du même dicastère, et du P. Gabriele Ferdinando Bentoglio, C.S., sous-secrétaire.

Le message a été publié en fin de matinée en français, anglais, italien, espagnol, portugais et polonais.

En voici le texte officiel en français.

Chers frères et sœurs !

Annoncer Jésus Christ unique Sauveur du monde «constitue la mission essentielle de l’Eglise, tâche et mission que les mutations vastes et profondes de la société actuelle ne rendent que plus urgentes » (Exhort. apost. Evangelii nuntiandi, n. 14). Aujourd’hui, nous ressentons même l’urgence de promouvoir, avec une force nouvelle et des modalités renouvelées, l’œuvre d’évangélisation dans un monde où l’élimination des frontières et les nouveaux processus de mondialisation rendent les personnes et les peuples encore plus proches, soit grâce au développement des moyens de communication, soit grâce à la fréquence et à la facilité avec lesquelles les déplacements de personnes et de groupes sont rendus possibles. Dans cette nouvelle situation, nous devons réveiller en chacun de nous l’enthousiasme et le courage qui poussèrent les premières communautés chrétiennes à être des annonciatrices intrépides de la nouveauté évangélique, en faisant retentir dans notre cœur les paroles de saint Paul: «Annoncer l’Evangile en effet n’est pas pour moi un titre de gloire; c’est une nécessité qui m’incombe. Oui, malheur à moi si je n’annonçais pas l’Evangile !» (1 Co 9, 16).

Le thème que j’ai choisi cette année pour la Journée mondiale du Migrant et du Réfugié - « Migrations et nouvelle évangélisation » - découle de cette réalité. En effet, le moment présent appelle l’Eglise à accomplir une nouvelle évangélisation également dans le phénomène vaste et complexe de la mobilité humaine, en intensifiant l’action missionnaire tant dans les régions de première annonce que dans les pays de tradition chrétienne.

Le bienheureux Jean-Paul II nous invitait à « nous nourrir de la Parole, pour que nous soyons des "serviteurs de la Parole" dans notre mission d’évangélisation... [dans] une situation qui se fait toujours plus diversifiée et plus prenante, dans le contexte de la mondialisation et de la mosaïque nouvelle et changeante de peuples et de cultures qui la caractérise » (Lett. apost. Novo millennio ineunte, n. 40). En effet, les migrations internes ou internationales, comme issue pour rechercher de meilleures conditions de vie ou pour fuir la menace de persécutions, de guerres, de la violence, de la faim et de catastrophes naturelles, ont produit un brassage de personnes et de peuples sans précédent, avec des problématiques nouvelles non seulement d’un point de vue humain, mais également éthique, religieux et spirituel. Les conséquences actuelles et évidentes de la sécularisation, l’apparition de nouveaux mouvements sectaires, l’insensibilité diffuse à l’égard de la foi chrétienne, la nette tendance à la fragmentation, rendent difficile de se concentrer sur une référence unifiante qui encourage la formation d’ « une seule famille de frères et sœurs dans des sociétés qui deviennent toujours plus multiethniques et interculturelles, où les personnes de diverses religions aussi sont encouragées au dialogue, afin que l’on puisse parvenir à une coexistence sereine et fructueuse dans le respect des différences légitimes », comme je l’écrivais dans le Message de l’an dernier pour cette Journée mondiale. Notre époque est marquée par des tentatives d’éliminer Dieu et l’enseignement de l’Eglise de l’horizon de la vie, tandis que progressent le doute, le scepticisme et l’indifférence, qui voudraient éliminer jusqu’à toute visibilité sociale et symbolique de la foi chrétienne.

Dans ce contexte, les migrants qui ont connu le Christ et l’ont accueilli sont souvent poussés à ne plus le considérer comme étant important dans leur vie, à perdre le sens de la foi, à ne plus se reconnaître comme faisant partie de l’Eglise et conduisent souvent une existence qui n’est plus marquée par le Christ et son Evangile. Ayant grandi au sein de peuples marqués par la foi chrétienne, ils émigrent souvent dans des pays où les chrétiens constituent une minorité ou dans lesquels l’antique tradition de foi n’est plus une conviction personnelle, ni une confession communautaire, mais est réduite à un fait culturel. Là, l’Eglise est placée face au défi d’aider les migrants à maintenir solide la foi, même lorsque manque l’appui culturel qui existait dans le pays d’origine, en identifiant également de nouvelles stratégies pastorales, ainsi que des méthodes et des langages pour un accueil toujours vital de la Parole de Dieu. Dans certains cas, il s’agit d’une occasion pour proclamer qu’en Jésus Christ, l’humanité participe du mystère de Dieu et de sa vie d’amour, est ouverte à un horizon d’espérance et de paix, notamment à travers le dialogue respectueux et le témoignage concret de la solidarité, tandis que dans d’autres cas, il existe la possibilité de réveiller la conscience chrétienne assoupie, à travers une annonce renouvelée de la Bonne Nouvelle et une vie chrétienne plus cohérente, de façon à faire redécouvrir la beauté de la rencontre avec le Christ, qui appelle le chrétien à la sainteté, où qu’il soit, même en terre étrangère.

Le phénomène migratoire actuel est également une occasion providentielle pour l’annonce de l’Evangile dans le monde contemporain. Des hommes et des femmes provenant de diverses régions de la terre, qui n’ont pas encore rencontré Jésus Christ ou ne le connaissent que de façon partielle, demandent à être accueillis dans des pays d’antique tradition chrétienne. Il est nécessaire de trouver à leur égard des modalités adéquates afin qu’ils puissent rencontrer et connaître Jésus Christ et faire l’expérience du don inestimable du salut, qui est pour tous source de « vie en abondance » (cf. Jn 10, 10); les migrants eux-mêmes peuvent jouer un rôle précieux à cet égard car ils peuvent devenir à leur tour « messagers de la Parole de Dieu et des témoins de Jésus Ressuscité, espérance du monde » (Exhort. apost. Verbum Domini, n. 105).

Sur l’itinéraire exigeant de la nouvelle évangélisation, dans le domaine migratoire, les agents de la pastorale - prêtres, religieux et laïcs - assument un rôle décisif et doivent œuvrer toujours plus dans un contexte pluraliste: en communion avec leurs Ordinaires, en puisant au Magistère de l’Eglise, je les invite à rechercher des chemins de partage fraternel et d’annonce respectueuse, en surmontant les oppositions et les nationalismes. Pour leur part, les Eglises d’origine, celles de transit et celles d’accueil des flux migratoires doivent savoir intensifier leur coopération, au bénéfice de ceux qui partent et de ceux qui arrivent, et, dans tous les cas, de ceux qui ont besoin de rencontrer sur leur chemin le visage miséricordieux du Christ dans l’accueil du prochain. Pour réaliser une pastorale fructueuse de communion, il pourra être utile de mettre à jour les structures traditionnelles d’attention aux migrants et aux réfugiés, en les accompagnant de modèles qui répondent mieux aux nouvelles situations dans lesquelles les cultures et les peuples divers interagissent.

Les réfugiés qui demandent asile, ayant fui les persécutions, les violences et les situations qui mettent leur vie en danger, ont besoin de notre compréhension et de notre accueil, du respect de leur dignité humaine et de leurs droits, tout comme de la prise de conscience de leurs devoirs. Leur souffrance exige de la part des Etats et de la communauté internationale des attitudes d’accueil réciproque, en surmontant les craintes et en évitant les formes de discrimination, et que l’on rende concrète la solidarité notamment à travers des structures d’accueil adéquates et des programmes de réinsertion. Tout cela comporte une aide réciproque entre les régions qui souffrent et celles qui accueillent déjà depuis des années un grand nombre de personnes en fuite, ainsi qu’un plus grand partage des responsabilités entre les Etats.

La presse et les autres moyens de communication ont un rôle important pour faire connaître de façon correcte, objective et honnête, la situation de ceux qui ont été contraints de quitter leur patrie et leurs êtres chers et qui veulent commencer à se construire une nouvelle existence.

Les communautés chrétiennes doivent accorder une attention particulière aux travailleurs migrants et à leurs familles, à travers l’accompagnement de la prière, de la solidarité et de la charité chrétienne; la valorisation de ce qui enrichit réciproquement, ainsi que la promotion de nouveaux programmes d’action politiques, économiques et sociaux, qui favorisent le respect de la dignité de chaque personne humaine, la protection de la famille, l’accès à un logement digne, à un travail et à une assistance.

Les prêtres, les religieux et les religieuses, les laïcs et surtout les jeunes hommes et femmes doivent faire preuve de sensibilité en offrant leur soutien à un grand nombre de frères et de sœurs qui, ayant fui la violence, doivent se confronter à de nouveaux styles de vie et à des difficultés d’intégration. L’annonce du salut en Jésus Christ sera une source de soulagement, d’espérance et de « joie pleine » (cf. Jn 15, 11).

Je désire enfin rappeler la situation de nombreux étudiants internationaux qui font face à des problèmes d’insertion, à des difficultés bureaucratiques, et à des obstacles dans la recherche de logement et de structures d’accueil. De façon particulière, les communautés chrétiennes doivent être sensibles à l’égard des nombreux jeunes garçons et filles qui, précisément en raison de leur jeune âge, outre la croissance culturelle, ont besoin de points de référence et cultivent dans leur cœur une profonde soif de vérité et le désir de rencontrer Dieu. De façon particulière, les universités d’inspiration chrétienne doivent être des lieux de témoignage et de diffusion de la nouvelle évangélisation, sérieusement engagés à contribuer, dans le milieu académique, au progrès social, culturel et humain, ainsi qu’à promouvoir le dialogue entre les cultures, en valorisant la contribution que peuvent apporter les étudiants internationaux. Ceux-ci seront poussés à devenir eux aussi des acteurs de la nouvelle évangélisation s’ils rencontrent d’authentiques témoins de l’Evangile et des exemples de vie chrétienne.

Chers amis, invoquons l’intercession de Marie, « Vierge du chemin », afin que l’annonce joyeuse du salut de Jésus Christ apporte l’espérance dans le cœur de ceux qui, le long des routes du monde, se trouvent dans des situations de mobilité. À tous j’assure ma prière et je donne la Bénédiction apostolique.

Du Vatican, le 21 septembre 2011

BENEDICTUS PP. XVI

© Libreria Editrice Vaticana 2011
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Message par Her Mer 26 Oct - 12:04

http://www.zenit.org/index.php?l=french

Les migrations, une occasion providentielle pour annoncer le Christ

"Migrations et nouvelle évangélisation", message de Benoît XVI

ROME, mardi 25 octobre 2011 (ZENIT.org) – Les migrations constituent une occasion providentielle pour annoncer le Christ, souligne Benoît XVI dans son Message 2012 pour la 98e Journée mondiale du Migrant et du Réfugié, qui sera célébrée le 15 janvier prochain.

Le message a pour thème : „ Migrations et nouvelle évangélisation ». Il a été présenté au Vatican ce mardi matin 25 octobre, par Mgr Antonio Maria Vegliò, président du Conseil pontifical pour la pastorale des migrants et des personnes en déplacement.

Mgr Vegliò était accompagné de Mgr Joseph Kalathiparambil, secrétaire du même dicastère, et du P. Gabriele Ferdinando Bentoglio, C.S., sous-secrétaire.

Le message a été publié en fin de matinée en français, anglais, italien, espagnol, portugais et polonais.

Une occasion providentielle
Le pape y rappelle l’urgence de « promouvoir avec une force nouvelle » ce qu’il appelle « l’œuvre d’évangélisation » et à réveiller en chaque baptisé « l’enthousiasme et le courage » d’être intrépides, comme saint Paul y invite lorsqu’il s’écrie : « Malheur à moi si je n’annonce pas l’Evangile ».

« Le moment présent appelle l’Eglise à accomplir une nouvelle évangélisation également dans le phénomène vaste et complexe de la mobilité humaine, en intensifiant l’action missionnaire tant dans les régions de première annonce que dans les pays de tradition chrétienne », écrit le pape.

Plus loin, il dit encore : « Le phénomène migratoire actuel est également une occasion providentielle pour l’annonce de l’Evangile dans le monde contemporain. »

« Des hommes et des femmes provenant de diverses régions de la terre, qui n’ont pas encore rencontré Jésus Christ ou ne le connaissent que de façon partielle, demandent à être accueillis dans des pays d’antique tradition chrétienne », fait observer Benoît XVI qui ajoute : « Il est nécessaire de trouver à leur égard des modalités adéquates afin qu’ils puissent rencontrer et connaître Jésus Christ et faire l’expérience du don inestimable du salut, qui est pour tous source de « vie en abondance » (cf. Jn 10, 10); les migrants eux-mêmes peuvent jouer un rôle précieux à cet égard car ils peuvent devenir à leur tour « messagers de la Parole de Dieu et des témoins de Jésus Ressuscité, espérance du monde » (Exhort. apost. Verbum Domini, n. 105). »

Coopération des Eglises
Le pape demande une coopération spéciale entre les Eglises locales : « Les Eglises d’origine, celles de transit et celles d’accueil des flux migratoires doivent savoir intensifier leur coopération, au bénéfice de ceux qui partent et de ceux qui arrivent, et, dans tous les cas, de ceux qui ont besoin de rencontrer sur leur chemin le visage miséricordieux du Christ dans l’accueil du prochain. »

C’est ce qu’il appelle une « pastorale fructueuse de communion » qui exige, souligne encore le pape, une mise à jour « des structures traditionnelles d’attention aux migrants et aux réfugiés, en les accompagnant de modèles qui répondent mieux aux nouvelles situations dans lesquelles les cultures et les peuples divers interagissent. »

Mgr Vegliò a souligné le lien établi par le pape entre migrations et nouvelle évangélisation en disant : « Le monde entier est devenu une terre d’annonce évangélique : de fait, des personnes qui ne connaissent pas Jésus se trouvent dans des pays de tradition chrétienne ancienne, tandis que de nombreux chrétiens émigrent dans des régions que l’on appelait autrefois des pays de mission. Il est évident que le mélange de nationalités et de religions croît de façon exponentielle. Dans les pays d’ancienne chrétienté, nous observons la pénétration de la sécularisation, et la croissante insensibilité à la foi chrétienne, tandis que dans certains pays majoritairement non-chrétiens on constate l’émergence d’une influence du christianisme. Partout, de nouveaux mouvements sectaires pullulent, et ils tentent d’éliminer tout visibilité sociale, symbolique, de la foi chrétienne comme si Dieu et l’Eglise n’existaient pas ».

Les pays les plus concernés
Statistiquement, a rappelé Mgr Vegliò, les pays les plus concernés par l’immigration sont les Etats Unis, la Fédération de Russie, l’Allemagne, l’Arabie Saoudite, le Canada, la France et l’Espagne. Quant à l’Italie, Mgr Vegliò a fait observer qu’elle n’en fait pas partie (en dépit des débarquements spectaculaires d’immigrés ayant tenté la traversée sur des embarcations de fortune depuis l’Afrique du Nord ou des pays méditerranéens).

Pour affronter la question, Benoît XVI recommande de mettre en valeur le rôle des laïcs, souligne Mgr Vegliò, et la culture du « dialogue ».

« Devant de tels défis, l’Eglise se sent poussée à revoir ses méthodes, ses expressions, son langage, en relançant son élan missionnaire », a insisté Mgr Vegliò.

Le président du dicastère pour les migrants souligne comment le message de Benoît XVI rappelle la "dignité de toute personne humaine", et les "droits des travailleurs". Il définit un objectif: « l’intégration », mais une intégration qui ne « fasse pas perdre son identité humaine te chrétienne ».

Mgr Vegliò souligne en même temps que les flux migratoires ont besoin d’être "régulés », en libérant les populations de « la plaie de la pauvreté, de l’exploitation, du trafic d’organes et de personnes ».

La souffrance des réfugiés
Pour sa part, Mgr Kalathiparambil, a fait état de la souffrance qui accompagne les histoires des réfugiés et des persécutions religieuses que certains sont contraints de fuir. Devant ces situations, a-t-il ajouté, « le chrétien témoigne du Christ et des valeurs évangéliques en rejetant toute xénophobie et tout racisme ». De fait, le risque existe, à notre époque, « caractérisée par des sentiments de croissante hostilité envers les réfugiés, dans de nombreux pays industrialisés ».

Il a mis en garde les moyens de communication en soulignant qu’ils ont un rôle important pour « faire connaître correctement, avec objectivité et honnêteté, la situation de qui a été contraint de quitter sa patrie et ses affections » : « Il est important de ne pas se laisser emporter par la grande vague des stéréotypes ou par la seule recherche du scoop journalistique ».

Les étudiants étrangers
Le P. Bentoglio a exprimé sa préoccupation pour les jeunes migrants, et notamment les étudiants : 3 millions actuellement, avec une prévision de 7 millions en 2025. Ils se rendent dans les pays industrialisés où ils cherchent ensuite à s’installer. Ils viennent d’une vingtaine de pays dont la Chine, la Pologne, l’Inde, le Mexique, mais aussi de Colombie, de Roumanie, du Maroc. Les étudiants des Philippines et de la Fédération de Russie ont diminué.

Les technologies nouvelles aident souvent ces jeunes dans les sociétés multiethniques et multiculturelles, mais en même temps une urgence se manifeste: celle de « trouver des lieux d’éducation, de formation et surtout au niveau universitaire, qui mettent en valeur le lien nécessaire et stratégique entre leur profonde soif de vérité et le désir de rencontrer Dieu ».

Anita S. Bourdin
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Message par Her Mar 6 Déc - 5:33

http://ZENIT.org/

Benoît XVI plaide pour les apatrides

Trois anniversaires significatifs

ROME, dimanche 4 décembre 2011 (ZENIT.org) – Benoît XVI plaide pour le sort des apatrides, des migrants et des réfugiés, à l’occasion de trois anniversaires significatifs.

Le pape a en effet évoqué, à l’angélus de ce 4 décembre, place Saint-Pierre, trois anniversaires qui seront célébrés ces jours-ci « à Genève et dans d’autres villes » : le 50e anniversaire de l’institution de l’Organisation mondiale des migrations (OMI, créée en 1951), le 60e anniversaire de la Convention relative statut des réfugiés (28 juillet 1951) et le 50e anniversaire de la Convention sur la réduction des cas d'apatridie (New York, 30 août 1961).

Sans nationalité

« Je confie au Seigneur ceux qui, souvent contre leur gré, doivent quitter leur pays ou sont dépourvus de nationalité », a déclaré Benoît XVI.

Le pape a encouragé « la solidarité à leur égard » et il a assuré de sa prière « tous ceux qui se prodiguent pour protéger et assister ces frères dans des situations d’urgence, en s’exposant à de lourdes fatigues et aux dangers ».

Pour sa part, Mme Erika Feller, Haut-Commissaire adjointe chargée de questions de protection au Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a présenté deux de ces anniversaires, à l’ONU, le 19 mai dernier, au Siège des Nations Unies.

Mme Feller a attiré l’attention sur « la situation inquiétante » dans laquelle se trouvent 47 millions de réfugiés, déplacés internes ou personnes privées de nationalité.

Douze millions d'apatrides

Elle a indiqué que 12 millions de personnes sont apatrides dans le monde, « parce qu’ils ne disposent pas de certificat de naissance, ne peuvent voyager, jouir des droits liés à la nationalité, ni même se faire enterrer dans des conditions décentes ».

Mme Feller a espéré que le soixantième anniversaire de l’entrée en vigueur de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés et spécialement le débat ministériel au HCR les 7 et 8 décembre 2011 soient l’occasion pour les États membres de « réaffirmer leur adhésion aux principes de cette Convention qui définit les modalités selon lesquelles un État doit accorder le statut de réfugié aux personnes qui en font la demande ».

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Message par Her Mer 7 Déc - 0:11

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Le Saint-Siège membre de l'Organisation pour les Migrations

Responsabilité de la communauté internationale

ROME, mardi 6 décembre 2011 (ZENIT.org) – Le Saint-Siège entre dans l'Organisation internationale pour les Migrations (IOM) en qualité d'Etat membre, et il souligne la « responsabilité de la communauté internationale » devant l’urgence de « réponses efficaces et humaines ».

La demande d'adhésion du Siège apostolique a été accueillie par les Etats adhérant à l'organisme international au cours de la 100e session plénière qui se déroule à Genève, du 5 au 7 décembre.

Mgr Silvano M. Tomasi, observateur permanent du Saint-Siège aux Nations unies et auprès des Institutions spécialisées à Genève, a remercié l’organisation pour cette décision et il a fait remarquer, rapporte l’agence vaticane Fides dans sa traduction de l’intervention, que « dans le monde entier, le flux de personnes à la recherche de travail ou devant survivre à la faim, aux conflits et à la violation de leurs droits fondamentaux continue à s'accroître ».

« Ainsi, la responsabilité de la communauté internationale en ce qui concerne la mise en place de réponses efficaces et humaines devient plus évidente et plus urgente », a ajouté Mgr Tomasi.

Par sa présence en tant qu'Etat membre, continue Mgr Tomasi, le Saint-Siège entend, soutenir « selon sa nature spécifique, ses principes et ses normes », le service rendu par l'IOM aux réfugiés au cours de ses 60 ans d'existence, en collaboration avec les Etats et les organisations de la société civile.

La contribution du Saint-Siège touche trois domaines, a expliqué Mgr Tomasi. Tout d’abord pour ce qui est du respect des personnes et le droit à la vie : « Lorsque la dignité de la personne humaine et le droit à la vie sont en jeu, de telles valeurs devraient avoir la priorité ».

Au niveau concret, Mgr Tomasi a fait état de l’expérience acquise par les organisations catholiques et la Caritas au service réfugiés, ce qui a permis à des milliers de familles et de personnes de commencer une nouvelle vie. « C'est pourquoi, a-t-il ajouté, la collaboration sur le terrain semble être une façon importante et même nécessaire de faciliter la convergence de toutes les énergies disponibles afin d'aider les populations déracinées par des programmes communs ou délégués et par un échange régulier d'informations ».

Troisième domaine : la protection de la dignité de la personne. Mgr Tomasi a fait remarquer que l'aide des organisations catholiques à toutes les personnes déplacées est fondée « sur la conviction de la dignité unique de toute personne et de la commune appartenance à la même famille humaine, avant toute considération culturelle, religieuse, sociale, politique ou autre ».

Le Saint-Siège souhaite donc que « les autorités publiques reconnaissent cette contribution et que, dans le sens d’une démocratie authentique, elles accordent de la place à un service fondé sur la conscience qui devient alors pour tous une garantie de liberté ».

Rappelons que dimanche dernier, 4 décembre, après l’angélus, Benoît XVI a lui-même évoqué la situation des apatrides, des migrants et des réfugiés.

Le pape a en effet signalé trois anniversaires qui seront célébrés ces jours-ci « à Genève et dans d’autres villes » : le 50e anniversaire de l’institution de l’Organisation mondiale des migrations (OMI, créée en 1951, dont le Saint-Siège devient donc membre), le 60e anniversaire de la Convention relative statut des réfugiés (28 juillet 1951) et le 50e anniversaire de la Convention sur la réduction des cas d'apatridie (New York, 30 août 1961).

« Je confie au Seigneur ceux qui, souvent contre leur gré, doivent quitter leur pays ou sont dépourvus de nationalité », a déclaré Benoît XVI.

Le pape a encouragé « la solidarité à leur égard » et il a assuré de sa prière « tous ceux qui se prodiguent pour protéger et assister ces frères dans des situations d’urgence, en s’exposant à de lourdes fatigues et aux dangers ».

Il y aurait dans le monde 12 millions de personnes apatrides, selon les chiffres du Haut commissariat de l’ONU pour les Réfugiés (UNHCR).

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Message par Her Sam 10 Déc - 7:04

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Les migrants, signe visible de l'unité de la famille humaine

Intervention de Mgr Tomasi au Conseil de l'OIM

ROME, vendredi 9 décembre 2011 (ZENIT.org) – Les migrants sont un signe visible de l’unité de la famille humaine, fait observer le Saint-Siège.

L’observateur permanent du Saint-Siège près les Nations Unies, Mgr Silvano Maria Tomasi, est en effet intervenu à la 100e session du conseil de l’OIM, du 5 au 7 décembre dernier. Une assemblée qui a accueilli le Saint-Siège comme membre à part entière.

Les migrants, a-t-il fait observer, « sont le signe visible du lien qui unit toute la famille humaine » et « ne sauraient donc être utilisés comme un prétexte au manque d’emplois et aux crises financières non résolues, ni vus comme des menaces contre la sécurité ».

Mgr Tomasi, a interpellé l’auditoire sur « certaines situations qui demandent une « réponse immédiate » comme : la croissante migration de mineurs non accompagnés, les violences que subissent les migrants dans les pays de transit - surtout les femmes et les enfants -, et l’attention portée aux immigrés expulsés vers leurs pays d’origine.

Citant le message de Benoît XVI pour la 97e journée Mondiale des migrants et du Refugiés, intitulé « Une seule famille humaine », l’observateur permanent du Saint-Siège, a souhaité que le 60e anniversaire des activités de l’IOM, soit l’occasion de plus d’efforts et « d’un nouveau regard » sur toutes ces personnes « déracinées et à la recherche d’une vie meilleure et productive ».

Il faut par ailleurs « promouvoir et renforcer la perception positive des migrants », a recommandé Mgr Tomasi, en sensibilisant au « fait évident » que les migrants sont « un apport positif » pour l’économie des pays qui les accueillent.

La question des migrants est en effet plus que jamais motif de préoccupation au niveau mondial, et plus aujourd’hui encore qu’il y a 60 ans, quand l’organisation Internationale des migrations (OIM) a commencé ses activités, insiste le Saint-Siège

« Au lieu de le réduire, la crise économique mondiale n’a fait qu’augmenter le nombre des migrants sur la planète et la gravité de leur situation, compliquant ultérieurement leur vie, celle de leurs familles et des habitants de leurs pays d’origine », a-t-il fait observer.

Face aux derniers chiffres rendus publics par l’OIM - 214 millions de migrants dans le monde -, destinés à augmenter dans les prochaines décennies, Mgr Tomasi, bien loin d’en faire un problème de statistique, a mis l’accent sur « la dimension humaine » d’un phénomène qui, selon lui, pourrait se transformer en une « méga tendance » du XXIe siècle.

Malheureusement, a-t-il dit, « la crise économique et l’augmentation de la pression sur les frontières des pays développés multiplient les attitudes d’auto-protection », au détriment de millions d’êtres humains, touchant de près également leurs familles et leurs peuples d’origine.

Mgr Tomasi a rappelé que la migration est « un test pour le respect et l’application des droits humains, surtout quand les politiques sont centrées sur le contrôle et sur la sécurité nationale », et regretté que la réponse fournie par la communauté internationale soit encore aujourd’hui « fragmentaire et privée de coordination ».

Et selon lui, les tentatives de résoudre le problème de la gestion des flux migratoires se heurtent à des attitudes de « réticence et de méfiance », à une opinion publique souvent hostile et à l’apparition de partis anti immigrés.

Or, la mondialisation, a-t-il relevé, « intensifie l’interdépendance des pays, entre ceux qui ont besoin de main d’œuvre et ceux qui ont des populations plus jeunes ». Il faut donc, selon lui, « créer une synergie qui soit avantageuse des deux côtés ». Et cette synergie, c’est aux « institutions multilatérales » de l’obtenir en s’y consacrant.

Il est clair, a encore dit Mgr Tomasi, que « les facteurs qui poussent à émigrer ne sont plus uniquement d’ordre économique », mais incluent aussi la recherche de sécurité et de liberté, la possibilité d’un développement personnel et professionnel et d’une meilleure qualité de vie », des domaines où, a-t-il reconnu, les moyens de communication modernes jouent aussi un rôle, faisant monter les attentes et diffusant des images souvent exagérées sur d’autres genres de société et de styles de vie ».

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