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Persécutions Anti-chrétiennes par le Monde des Arts

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Message par Her Sam 20 Aoû - 22:23

http://www.christianophobie.fr/breves/le-christ-en-drag-queen-une-“oeuvre-d’art”-selectionnee-pour-un-grand-prix-en-australie

Le Christ en drag queen : une “œuvre d’art” sélectionnée pour un grand prix en Australie

août 8, 2011 par admin · 16 Commentaires
Dans la catégorie: Brèves
On croit avoir tout vu… Erreur ! En matière de christianophobie, le pire est toujours à craindre. Et il arrive.

Dernier avatar en date, dans cet exercice aussi répétitif ad nauseam que dépourvu de tout risque physique ou pénal – et, précisons-le, d’intérêt artistique –, l’“œuvre” d’un photographe de Brisbane, Luke Roberts, « artiste australien » selon son site internet, né en 1952 (ce qui n’en fait pas un perdreau de l’année). Sa spécialité, c’est la provocation en matières religieuse et homosexuelle. On peut donc s’attendre à rien que du bon goût façon Priscilla folle du désert dans le bush australien.

Le plus troublant de l’affaire c’est qu’une de ses “œuvres”, un triptyque de 2009 intitulé « Three figures at the base of crucifixions » (trois personnages au pied de crucifixions), qui se compose de trois panneaux photographiques, vient d’être sélectionnée pour la 60ème édition du Blake Prize for Religious Art (le prix Blake pour l’art religieux) qui sera décerné le 15 septembre prochain et doté d’une récompense de 15 000 $ australiens (d’autres sources disent 20 000, mais quand on aime on ne compte pas). Pas moins de 1 100 concurrents postulaient à ce prix : 73 ont été retenus, dont Luke Roberts.

L’un des panneaux (voir photo) du triptyque de Roberts, représente Madame Jodie Taylor, universitaire et lesbienne, dans une tenue peu conventionnelle, aux pieds d’un “crucifié” interprété par Monsieur Tobin Saunders, mieux connu dans le monde interlope comme Vanessa Wagner, drag queen…

Il faut vraiment avoir un sens de l’humour inoxydable pour ne serait-ce que sourire de ces pathétiques paillasseries. Mais quand on sait que le président du Blake Prize est le Révérend Rod Pattenden, pacsé avec un Monsieur Gary Hodson, ancien pasteur anglican, a créé la Uniting Church à destination des pères de familles homosexuels, et que pour lui, on peut être gay et ministre ordonné, les choses s’expliquent mieux. Enfin, si l’on veut…

Daniel Hamiche

Source : The Sydney Morning Herald


Dernière édition par Hercule le Mar 29 Nov - 13:02, édité 1 fois
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Message par Her Sam 20 Aoû - 22:24

http://www.christianophobie.fr/breves/la-sainte-famille-traitee-facon-orang-outans-une-autre-oeuvre-selectionnee-pour-le-blake-prize-australien

La Sainte Famille traitée façon orang-outans : une autre œuvre sélectionnée pour le Blake Prize australien

août 9, 2011 par admin

Dans la série « je suis malade, mais je ne me soigne pas », voici une autre “œuvre artistique » sélectionnée par le jury du Blake Prize – dont je vous ai déjà signalé hier une autre “œuvre” christianophobe –, réalisée, cette fois-ci par une dame : Dawn Stubbs, peintre animalière, défenseur des animaux et écologiste. L’huile, rehaussée d’or, est titrée G9 : elle montre la Sainte Famille (Marie, Joseph et l’enfant Jésus) sous les traits d’orang-outans auréolés ! L’“artiste” précisait hier au quotidien The Australian que son intention n’était pas d’attaquer la religion mais de transmettre sa préoccupation sur l’égoïsme de l’espèce humaine qui met en danger les autres espèces animales. T’as qu’à croire.

Comme il y a encore 71 autres “œuvres” sélectionnées pour ce Blake Prize, je me demande ce que la presse australienne va bien nous révéler dans les prochain jours… Mais le président du Blake Prize, le Révérend Rod Pattenden (dont je vous ai précisé le “profil” hier), est toujours serein : les œuvres sélectionnées cette année « vont faire réfléchir les gens ». Si seulement les “artistes” voulaient bien réfléchir un peu avant de vouloir nous faire réfléchir, ça les fatiguerait un peu plus et nois, moins…

Daniel Hamiche

Source : The Australian
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Message par Her Mar 6 Sep - 5:07

http://www.defendonslecrucifix.org/


L’honneur du Christ nous y oblige, interdisons ces spectacles blasphématoires

Aidez-nous, signez la pétition !

Une pièce de théâtre demande à des enfants de caillasser le visage du Christ à coups de grenades, puis des matières fécales se répandent sur ce visage pendant qu'une phrase apparaît : "tu n'es pas mon berger".
Un autre spectacle dans d'autres théâtres tourne en dérision le Golgotha et la Croix, le Christ est appelé ici "el puto diablo" et est comparé à un terroriste.
Sa plaie ultime de crucifié est remplie de billets de banque.
Des hamburgers jonchent le sol de la scène de spectacle pour parodier de façon grotesque la multiplication des pains.
Pour plus de précisions et pour réagir, allez sur le site défendonslechrist.org


Transférez ce mail à tous vos contacts.



M A N I F E S T E

Monsieur le Directeur,

J'apprends que votre théâtre se prépare à accueillir un spectacle (Golgota picnic ou Sur le concept du visage de Dieu) dont le contenu antichrétien ne fait aucun doute et suscite ma plus profonde indignation. Le concept de liberté artistique ne peut servir à tout permettre. D'ailleurs, il est évident que si ce spectacle était judéophobe ou islamophobe, il ne trouverait pas place dans votre programmation. Les chrétiens sont-ils devenus en France des citoyens de seconde zone ?

Comme beaucoup d'autres chrétiens, je ne puis rester sans réaction et laisser le Christ être sur votre scène insulté, humilié. Je vous demande donc avec insistance de déprogrammer au plus vite ce spectacle de votre théâtre.

Nom et prénom du signataire

Faites pression en signant la pétition mais également par téléphone et par écrit :

- la direction du Théâtre de la Ville ("Sur le concept du visage du fils de Dieu"), 2 place du Châtelet, Paris 4
slucas@theatredelaville.com - 01.48.87.54.42
- la direction du Théâtre Le Centquatre ("Sur le concept du visage du fils de Dieu"), 104 rue d'Aubervilliers, Paris 19
billetterie@104.fr - contact@104.fr - 01.53.35.50.00
- la direction du Théâtre de Garonne ("Golgota picnic"), 1 avenue du Château d'eau, 31300 Toulouse
billetterie@theatregaronne.com - 05.62.48.54.77
- la direction du Théâtre La Rose des Vents ("Sur le concept du visage du fils de Dieu"), bd Van Gogh, BP 10153, 59653 Villeneuve d'Ascq
contact@larose.fr - larosedesvents2@wanadoo.fr - 03.20.61.96.96
- la direction du Théâtre du Rond Point ("Golgota picnic"), 2 bis avenue Franklin D. Roosevelt - Paris 8
contact@theatredurondpoint.fr - 01.44.95.98.21


Deux spectacles blasphématoires programmés en France à la rentrée susciteront l'indignation de tout chrétien digne de ce nom.

- Le premier, intitulé "Golgota picnic", est prévu à l'affiche du Théâtre de Garonne à Toulouse du 16 au 20 novembre puis au Théâtre du Rond-Point à Paris du 8 au 17 décembre prochains. Le metteur en scène Rodrigo Garcia prétend revisiter ici les Saintes Ecritures et parle d'approche "absolument impudique" destinée à présenter l'iconographie chrétienne comme l'image de "la terreur et de la barbarie".

Si, dans le dossier de presse de ce "Golgota picnic", Rodrigo Garcia explique avoir construit son propre imaginaire biblique, celui-ci se traduit par un langage et des images obscènes. Le Christ est appelé ici "el puto diablo" et est comparé à un terroriste. Sa plaie ultime de crucifié est remplie de billets de banque. Des hamburgers jonchent le sol de la scène de spectacle pour parodier de façon grotesque la multiplication des pains. Et c'est nu que le chef d'orchestre italien Marino Formenti interprète au piano l'air des "Sept dernières paroles du Christ en Croix" de Haydn. Mais Marino Formenti n'y voit pas malice puisque "les acteurs (...) sont nus très souvent aussi".

Joué précédemment en Espagne, ce spectacle blasphématoire y avait provoqué un véritable tollé, suscitant une question au Parlement, puis des manifestations devant le théâtre. A quoi le metteur en scène Rodrigo Garcia se contente de répondre : "Mes pièces sont toujours mal reçues. Une bonne partie du public est bête (...)".

- Le second spectacle blasphématoire est un opéra-théâtre intitulé "Sur le concept du visage du fils de Dieu". Cette "œuvre" de Romeo Castellucci sera en tournée européenne jusqu'en février 2012, notamment à Paris, au Théâtre de la Ville, du 20 au 30 octobre, et au Centquatre, du 2 au 4 novembre, à Rennes, du 10 au 12 novembre, et à Villeneuve-d'Ascq, au Théâtre La Rose des Vents les 29 et 30 novembre.

La succession de tableaux montre tour à tour un vieillard nu se torchant les fesses, des enfants caillassant le visage du Christ (avec des grenades factices pour faire plus vrai) puis le visage innocent de NSJC est attaqué de l'intérieur. Il est d'abord trituré, déformé comme par des mains et des pieds qui pousseraient la fine peau de surface. Ensuite on dirait qu'un grand couteau l'entaille, et de grandes coulures d'un brun-rouge évoquant plus les matières fécales de la scène précédente que le sang, se répandent sur lui, avant qu'un voile noir ne recouvre le portrait du fils de Dieu pour faire apparaître le mot de la fin : "You are not my shepherd" ("Tu n'es pas mon berger").

L'Institut Civitas s'engage à consacrer toute son énergie à mener une vaste campagne visant à obtenir la déprogrammation de ces blasphèmes. C'est du Christ qu'il s'agit. Celui qui est Notre Père. Qui laisserait sans réagir son père se faire insulter, humilier ? Cela nous est insupportable. Joignez-vous à notre mobilisation.

Alain Escada,

secrétaire général de l'Institut Civitas
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Message par Her Mar 6 Sep - 7:47

http://www.zenit.org/french

De l’enchantement de l’art à la contemplation de Dieu : audience générale

Catéchèse de Benoît XVI sur la prière

ROME, Mercredi 31 août 2011 (ZENIT.org) – « L’enchantement de la création humaine peut conduire à la contemplation de Dieu », déclare Benoît XVI, dans le cadre de ses catéchèses du mercredi sur la prière.

Le pape a en effet tenu l’audience générale du mercredi ce matin à Castel Gandolfo. Le pape a évoqué le sens profond de l’art, invitant ses très nombreux visiteurs - que la cour du palais apostolique n’aurait pas suffit à contenir et rassemblés place de la Liberté -, à s’interroger sur l’émotion ressentie devant une œuvre d’art : sculpture, peinture, poésie ou musique (cf. texte intégral).

En polonais, le pape a fait la synthèse de sa catéchèse en ces termes : « Le temps des vacances favorise l’apprentissage des œuvres de la culture et de l’art. L’enchantement de la beauté de la création humaine peut conduire à la contemplation de Dieu, qui donne tout bien et toute beauté, lorsque, en même temps que l’admiration pour le génie humain, nous découvrons le souffle créateur de l’Esprit Saint. Je souhaite qu’on puisse toujours faire l’expérience d’une telle stupeur ! ».

En italien, le pape a affirmé : « Il existe des expressions artistiques qui sont de véritables chemins vers Dieu, la Beauté suprême, et qui aident même à croître dans notre relation avec Lui, dans la prière ».

Le pape cite les cathédrales gothiques ou les églises romanes avant d’ajouter : « Nous percevons que dans ces splendides édifices, est comme contenue la foi de générations entières. Ou encore, lorsque nous écoutons un morceau de musique sacrée qui fait vibrer les cordes de notre cœur, notre âme est comme dilatée et s’adresse plus facilement à Dieu ».

Il évoque aussi un « concert de musiques de Jean Sébastien Bach, à Munich, dirigé par Leonard Berstein » : « Au terme du dernier morceau, l’une des Cantate, je ressentis, non pas de façon raisonnée, mais au plus profond de mon cœur, que ce que j’avais écouté m’avait transmis la vérité, la vérité du suprême compositeur, et me poussait à rendre grâce à Dieu. A côté de moi se tenait l’évêque luthérien de Munich et, spontanément, je lui dis : ‘En écoutant cela, on comprend que c’est vrai ; une foi aussi forte est vraie, de même que la beauté qui exprime de façon irrésistible la présence de la vérité de Dieu’ ». Bach était protestant.

Benoît XVI évoque d’autres manifestations de l’art : « Des tableaux ou des fresques, fruit de la foi de l’artiste, dans leurs formes, dans leurs couleurs, dans leur lumière, nous poussent à tourner notre pensée vers Dieu et font croître en nous le désir de puiser à la source de toute beauté ».

Il cite le peintre juif Marc Chagall : « Ce qu’a écrit un grand artiste, Marc Chagall, demeure profondément vrai, à savoir que pendant des siècles, les peintres ont trempé leur pinceau dans l’alphabet coloré qu’est la Bible. Combien de fois, alors, les expressions artistiques peuvent être des occasions de nous rappeler de Dieu, pour aider notre prière ou encore la conversion du cœur ! ».

Il cite la conversion de l’écrivain français Paul Claudel : « Paul Claudel, célèbre poète, dramaturge et diplomate français, ressentit la présence de Dieu dans la Basilique Notre-Dame de Paris, en 1886, précisément en écoutant le chant du Magnificat lors de la Messe de Noël. Il n’était pas entré dans l’église poussé par la foi, il y était entré précisément pour chercher des arguments contre les chrétiens, et au lieu de cela, la grâce de Dieu agit dans son cœur. »

Et de conclure : « Chers amis, je vous invite à redécouvrir l’importance de cette voie également pour la prière, pour notre relation vivante avec Dieu ».

Il rappelle les trésors de la culture chrétienne : « Que la visite aux lieux d’art ne soit alors pas uniquement une occasion d’enrichissement culturel – elle l’est aussi – mais qu’elle puisse devenir surtout un moment de grâce, d’encouragement pour renforcer notre lien et notre dialogue avec le Seigneur, pour nous arrêter et contempler – dans le passage de la simple réalité extérieure à la réalité plus profonde qu’elle exprime – le rayon de beauté qui nous touche, qui nous « blesse » presque au plus profond de notre être et nous invite à nous élever vers Dieu ».

Et de conclure sur le témoignage chrétien : « Espérons que le Seigneur nous aide à contempler sa beauté, que ce soit dans la nature ou dans les œuvres d’art, de façon à être touchés par la lumière de son visage, afin que nous aussi, nous puissions être lumières pour notre prochain ».

Anita S. Bourdin
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Message par Her Mar 6 Sep - 7:53

http://www.zenit.org/

Audience générale du 31 août 2011 : L'art nous conduit à Dieu

Texte intégral

ROME, Mercredi 31 août 2011 (ZENIT.org) – Nous publions ci-dessous le texte intégral de la catéchèse prononcée par le pape Benoît XVI, ce mercredi, au cours de l'audience générale, à Castel Gandolfo.

Chers frères et sœurs,

Ces derniers temps, j’ai rappelé à plusieurs reprises la nécessité pour chaque chrétien de trouver du temps pour Dieu, pour la prière, parmi les nombreuses préoccupations qui remplissent nos journées. Le Seigneur lui-même nous offre de nombreuses occasions pour que nous nous souvenions de Lui. Aujourd’hui, je voudrais m’arrêter brièvement sur l’une des voies qui peuvent nous conduire à Dieu et nous aider également à le rencontrer : c’est la voie des expressions artistiques, qui font partie de la via pulchritudinis — « voie de la beauté » — dont j’ai parlé à plusieurs reprises et dont l’homme d’aujourd’hui devrait retrouver la signification la plus profonde.

Il vous est sans doute parfois arrivé, devant une sculpture ou un tableau, des vers d’une poésie ou en écoutant un morceau de musique, d’éprouver une émotion intime, un sentiment de joie, c’est-à-dire de ressentir clairement qu’en face de vous, il n’y avait pas seulement une matière, un morceau de marbre ou de bronze, une toile peinte, un ensemble de lettres ou un ensemble de sons, mais quelque chose de plus grand, quelque chose qui «parle», capable de toucher le cœur, de communiquer un message, d’élever l’âme. Une œuvre d’art est le fruit de la capacité créative de l’être humain, qui s’interroge devant la réalité visible, s’efforce d’en découvrir le sens profond et de le communiquer à travers le langage des formes, des couleurs, des sons. L’art est capable d’exprimer et de rendre visible le besoin de l’homme d’aller au-delà de ce qui se voit, il manifeste la soif et la recherche de l’infini. Bien plus, il est comme une porte ouverte vers l’infini, vers une beauté et une vérité qui vont au-delà du quotidien. Et une œuvre d’art peut ouvrir les yeux de l’esprit et du cœur, en nous élevant vers le haut.

Mais il existe des expressions artistiques qui sont de véritables chemins vers Dieu, la Beauté suprême, et qui aident même à croître dans notre relation avec Lui, dans la prière. Il s’agit des œuvres qui naissent de la foi et qui expriment la foi. Nous pouvons en voir un exemple lorsque nous visitons une cathédrale gothique : nous sommes saisis par les lignes verticales qui s’élèvent vers le ciel et qui attirent notre regard et notre esprit vers le haut, tandis que, dans le même temps, nous nous sentons petits, et pourtant avides de plénitude... Ou lorsque nous entrons dans une église romane : nous sommes invités de façon spontanée au recueillement et à la prière. Nous percevons que dans ces splendides édifices, est comme contenue la foi de générations entières. Ou encore, lorsque nous écoutons un morceau de musique sacrée qui fait vibrer les cordes de notre cœur, notre âme est comme dilatée et s’adresse plus facilement à Dieu. Il me revient à l’esprit un concert de musiques de Jean Sébastien Bach, à Munich, dirigé par Leonard Berstein. Au terme du dernier morceau, l’une des Cantate, je ressentis, non pas de façon raisonnée, mais au plus profond de mon cœur, que ce que j’avais écouté m’avait transmis la vérité, la vérité du suprême compositeur, et me poussait à rendre grâce à Dieu. A côté de moi se tenait l’évêque luthérien de Munich et, spontanément, je lui dis : « En écoutant cela, on comprend que c’est vrai ; une foi aussi forte est vraie, de même que la beauté qui exprime de façon irrésistible la présence de la vérité de Dieu ».

Mais combien de fois des tableaux ou des fresques, fruit de la foi de l’artiste, dans leurs formes, dans leurs couleurs, dans leur lumière, nous poussent à tourner notre pensée vers Dieu et font croître en nous le désir de puiser à la source de toute beauté. Ce qu’a écrit un grand artiste, Marc Chagall, demeure profondément vrai, à savoir que pendant des siècles, les peintres ont trempé leur pinceau dans l’alphabet coloré qu’est la Bible. Combien de fois, alors, les expressions artistiques peuvent être des occasions de nous rappeler de Dieu, pour aider notre prière ou encore la conversion du cœur! Paul Claudel, célèbre poète, dramaturge et diplomate français, ressentit la présence de Dieu dans la Basilique Notre-Dame de Paris, en 1886, précisément en écoutant le chant du Magnificat lors de la Messe de Noël. Il n’était pas entré dans l’église poussé par la foi, il y était entré précisément pour chercher des arguments contre les chrétiens, et au lieu de cela, la grâce de Dieu agit dans son cœur.

Chers amis, je vous invite à redécouvrir l’importance de cette voie également pour la prière, pour notre relation vivante avec Dieu. Les villes et les pays dans le monde entier abritent des trésors d’art qui expriment la foi et nous rappellent notre relation avec Dieu. Que la visite aux lieux d’art ne soit alors pas uniquement une occasion d’enrichissement culturel — elle l’est aussi — mais qu’elle puisse devenir surtout un moment de grâce, d’encouragement pour renforcer notre lien et notre dialogue avec le Seigneur, pour nous arrêter et contempler — dans le passage de la simple réalité extérieure à la réalité plus profonde qu’elle exprime — le rayon de beauté qui nous touche, qui nous «blesse» presque au plus profond de notre être et nous invite à nous élever vers Dieu. Je finis par une prière d’un Psaume, le psaume 27: «Une chose qu'au Seigneur je demande, la chose que je cherche, c'est d'habiter la maison du Seigneur tous les jours de ma vie, de savourer la douceur du Seigneur, de rechercher son palais» (v. 4). Espérons que le Seigneur nous aide à contempler sa beauté, que ce soit dans la nature ou dans les œuvres d’art, de façon à être touchés par la lumière de son visage, afin que nous aussi, nous puissions être lumières pour notre prochain. Merci.

A l'issue de l'audience générale le pape a résumé sa catéchèse en différentes langues et salué les pèlerins. Voici ce qu'il a dit en français :

Je vous accueille avec joie, chers pèlerins de langue française! Parmi les trésors artistiques que vous êtes amenés à contempler au cours de vos visites, nombreux sont ceux qui expriment la foi et appellent à la relation avec Dieu. Que ces visites ne soient pas seulement l’occasion d’un enrichissement culturel, mais qu’elles deviennent aussi moments de grâce! Qu’elles vous aident à renforcer votre relation et votre dialogue avec le Seigneur et vous conduisent à contempler un rayon de la beauté divine! Que Dieu vous bénisse!

© Copyright du texte original plurilingue : Libreria Editrice Vaticana

Traduction française : Zenit
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Message par Her Mar 6 Sep - 10:10

http://www.zenit.org/index.php?l=french

Pour le pape, la musique permet d’exprimer et de communiquer la foi

Un concert offert à Benoît XVI par le cardinal Domenico Bartolucci

ROME, Jeudi 1er septembre 2011 (ZENIT.org) – Mercredi soir, Benoît XVI a assisté dans la cour du palais apostolique de Castel Gandolfo, à un concert offert en son honneur par le cardinal Domenico Bartolucci, ancien directeur de la Chapelle musicale de la Sixtine.

Au programme, quatre compositions du cardinal Bartolucci : le poème Benedictus – écrit pour l'événement - pour soprano, chœur à 3 voix égales et orchestre ; l’Ave Maria – exécuté par l'opéra lyrique « Il Brunellesco » - pour soprano, chœur à 3 voix égales ; le poème sacré Baptisma, pour soprano, baryton, chœur féminin et petit orchestre et le motet Christus circumdedit me, pour soprano, chœur et orchestre.

Au terme du concert, le pape a vivement remercié le cardinal Domenico Bartolucci, ainsi que les artistes et toutes les personnes présentes devant lesquelles il a évoqué la musique sacrée comme « capable d’exprimer et de communiquer la foi ».

« Au cœur des activités quotidiennes, vous nous avez offert un moment de méditation et de prière, nous faisant pressentir les harmonies du Ciel », a-t-il affirmé.

Le pape a souhaité remercier de manière particulière l’auteur de ces morceaux, le cardinal Domenico Bartolucci, qui a composé pour l’occasion le morceau Benedictus « comme une prière et un remerciement au Seigneur pour mon ministère ».

Le pape est ensuite revenu sur la vie du cardinal, citant trois traits qui le caractérisent : la foi, le sacerdoce et la musique.

« Cher cardinal Bartolucci, la foi est la lumière qui a toujours orienté et guidé votre vie, qui a ouvert votre cœur pour répondre avec générosité à l’appel du Seigneur ; et c’est d’elle aussi que provient votre manière de composer », a-t-il affirmé. « La musique est pour vous un langage privilégié pour communiquer la foi de l’Eglise et pour aider le chemin de foi de celui qui écoute vos œuvres ».
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Message par Her Jeu 22 Sep - 13:32

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/09/golgota-picnic-ne-pas-rester-impassible.html

19 septembre 2011

Golgota Picnic : ne pas rester impassible

C'est l'appel lancé par Mgr Podvin, porte-parole de la CEF :

"Golgota Picnic est un spectacle programmé à Paris et Toulouse. Il blesse et blessera. Quel courage de s'en prendre à une religion dont le fondateur se tait tandis qu'on l'outrage! La liberté d'expression est à respecter comme sacrée? Qu'elle respecte donc aussi ce qui est sacré ! Aucun euro public ne doit subventionner le cultuel? Qu'aucun euro public ne finance davantage une production qui dénigre un culte! Ce n'est pas parce que le christianisme fut sociologiquement majoritaire qu'il doit être le fusible d'hystéries culturelles.
De nombreux citoyens non chrétiens partagent notre colère. Si vous êtes de cet avis, ne demeurez pas impassibles. Interpellez vos élus. Dites leur que l'inacceptable est indigne d'une démocratie. En novembre 2009, l'Union Européenne a rappelé son attachement résolu à la promotion et à la protection de la liberté de religion. Les chrétiens sont actifs dans la cité. Solidaires de nombreuses causes. Qu'on les respecte aussi !"

Ce matin sur Radio Notre-Dame, le cardinal Vingt-Trois a incité les électeurs à écrire aux autorités sur ce sujet.

Posté le 19 septembre 2011 à 21h49 par Michel Janva | Catégorie(s): Cathophobie

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Commentaires

Merci à ces deux Éminences pour leurs interventions, indispensables puisque l'argument des organisateurs s'appuyait sur le silence des évêques.

Rédigé par : C.B. | 19 sep 2011 22:11:51

Déo Gratias.

Mgr Vingt Trois merci !
Mgr BROUWET un grand merci à vous et à ..... St BENOIT (Mgr comprendra, si il me lis.) Ainsi qu'a Mgr PODVIN.

Rédigé par : @Jean-Vincent | 19 sep 2011 22:23:24

L'Église de France qui se réveille enfin ?

En tout cas, bravo : que tous les catholiques de France parlent d'une même voix !

Rédigé par : PK | 19 sep 2011 23:04:44

Merci à Monseigneur Podvin, dont le discours est particulièrement énergique et dépourvu de toute ambigüité

Rédigé par : Michèle | 20 sep 2011 00:05:46

Mgr Podvin a évolué depuis son silence étourdissant sur l'expo d'Avignon. Deo Gratias.

Rédigé par : Lisa | 20 sep 2011 00:31:42

j'avais lu quelque part que le programme avait été annulé ...
il n'en est apparemment rien !

Sinon, bravo à Mgr Podvin.

Rédigé par : vendger | 20 sep 2011 10:04:11

Enfin

Rédigé par : SD-Vintage | 20 sep 2011 12:32:41

Le mieux sera qu'un maximum de catholiques disponibles aux dates réservent achète une place. Et au signal donné tous ensembles nous entonnerons alors l'Ave Maria, le Christus Vinci, le Pater etc... au sein même du temple de la honte. La pièce ne pouvant alors avoir lieu nous demanderons le remboursement.
Une manifestation pacifique certainement très efficace.

Rédigé par : @Jean-Vincent | 20 sep 2011 20:55:41

Le principal scazndale est que le journal La Croix (celle qu'il nous fait porter) recommande ce spectacle qui correspond à son nihilisme branchouilland. N'hésitez pas à lui écrire !

Rédigé par : furgole | 21 sep 2011 07:43:39

je les ai appelés pas mal de fois....sans succès, je ne sais pas si le message arrive à passer, mais je fulmine et j'aimerais faire plus...

Rédigé par : mamandu69 | 21 sep 2011 09:14:12
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Message par Her Ven 23 Sep - 7:50

http://www.perepiscopus.org/conference-episcopale/mgr-podvin-soutient-la-campagne-de-civitas-contre-golgota-picnic

Mgr Podvin soutient la campagne de Civitas contre Golgota Picnic
Posté par Maximilien Bernard dans Conférence épiscopale le 09 22nd, 2011 |
Le porte-parole de la CEF appelle à réagir face au nouveau spectacle blasphématoire :

Golgota Picnic est un spectacle programmé à Paris et Toulouse. Il blesse et blessera. Quel courage de s’en prendre à une religion dont le fondateur se tait tandis qu’on l’outrage! La liberté d’expression est à respecter comme sacrée? Qu’elle respecte donc aussi ce qui est sacré ! Aucun euro public ne doit subventionner le cultuel? Qu’aucun euro public ne finance davantage une production qui dénigre un culte! Ce n’est pas parce que le christianisme fut sociologiquement majoritaire qu’il doit être le fusible d’hystéries culturelles.
De nombreux citoyens non chrétiens partagent notre colère. Si vous êtes de cet avis, ne demeurez pas impassibles. Interpellez vos élus. Dites leur que l’inacceptable est indigne d’une démocratie. En novembre 2009, l’Union Européenne a rappelé son attachement résolu à la promotion et à la protection de la liberté de religion. Les chrétiens sont actifs dans la cité. Solidaires de nombreuses causes. Qu’on les respecte aussi !

L’institut Civitas a lancé une pétition, qui a déjà recueilli près de 30 000 signatures. Il est également proposé d’agir concrètement en appelant/écrivant :

- la direction du Théâtre de la Ville (« Sur le concept du visage du fils de Dieu »), 2 place du Châtelet, Paris 4 – slucas@theatredelaville.com – 01.48.87.54.42
- la direction du Théâtre Le Centquatre (« Sur le concept du visage du fils de Dieu »), 104 rue d’Aubervilliers, Paris 19 – billetterie@104.fr – contact@104.fr – 01.53.35.50.00
- la direction du Théâtre de Garonne (« Golgota picnic »), 1 avenue du Château d’eau, 31300 Toulouse – billetterie@theatregaronne.com – 05.62.48.54.77
- la direction du Théâtre La Rose des Vents (« Sur le concept du visage du fils de Dieu »), bd Van Gogh, BP 10153, 59653 Villeneuve d’Ascq -contact@larose.fr – larosedesvents2@wanadoo.fr – 03.20.61.96.96
- la direction du Théâtre du Rond Point (« Golgota picnic »), 2 bis avenue Franklin D. Roosevelt – Paris 8 – contact@theatredurondpoint.fr – 01.44.95.98.21
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Message par Her Ven 23 Sep - 7:51

http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/07/spectacle-blasphematoire-golgota-picnic.html

16 juillet, 2011
Spectacle blasphématoire : “Golgota Picnic”, c'est pour l'automne à Paris…

Comme annoncé sur mon blog, le 16 janvier dernier, ici, le spectacle blasphématoire Golgota Picnic, qui a provoqué l'indignation des catholiques espagnols, est programmé pour la rentrée au Théâtre du Rond-Point à Paris, début décembre. Apparemment, il n'a pas été donné, comme c'était pourtant prévu, au théâtre de la Garonne à Toulouse. Voici ce que j'en disais – en tant que vice-présidente de l'AGRIF – il y a six mois :

Bientôt à Toulouse et au Festival d'automne 2011, à Paris : “Golgota Picnic”

Les catholiques de conviction espagnols ne sont vraiment pas contents et le parti « Alternativa Española » (AES) vient de réclamer le renvoi de Gerardo Vera, directeur du Centro Dramatico Nacional de Madrid, révèle Infocatolica. Motif ? Depuis une dizaine de jours se joue dans la capitale espagnole une pièce blasphématoire du dramaturge contemporain Rodrigo Garcia, Golgota Picnic. Sur l'air des Sept dernières paroles du Christ en Croix de Haydn (au piano, le chef d'orchestre et pianiste italien, Marino Formenti, joue sur scène – nu comme un ver), c'est une charge violente contre la Bible avec des mises en scène scandaleuses, de la Crucifixion, notamment. Une profanation que je préfère ne pas la reproduire ici même si elle est, fondamentalement, minable.
L'objectif de l'auteur hispano-argentin, Rodrigo Garcia, est tout ce qu'il y a de plus explicite. Par sa propre approche « absolument impudique », il veut prouver que l'iconographie chrétienne est l'image de la « terreur et de la barbarie », responsable de notre cruauté. Spécialement à travers les tableaux représentant a Crucifixion… « Je m'autorise même la licence poétique de dire qu'avec un tel passé iconographique ce qui est normal, c'est de violer des petits garçons. »
Dans la mise en scène, rapporte Infocatolica, le « Crucifié » (une femme qui à l'occasion porte un casque de moto blanc avec le dessin d'une couronne d'épines en noir) a une liasse de billets dans la plaie de son côté, Jésus est appelé « el puto diablo », le tout servi par un « langage et des images obscènes et lascifs ». L'« œuvre » se joue sur une scène jonchée de hamburgers – allusion à la multiplications des pains, voyez comme c'est fortiche – où l'un des personnages broie de la viande en direct dans un hachoir de boucherie – vidéo ici pour ceux qui ont du mal à croire à des inventions aussi grotesques).

Donc, Alternativa Española exige le retrait la pièce et la démission du responsable du Centre dramatique national qui a pris la responsabilité de rendre publique une pièce qui heurte aussi violemment les convictions des chrétiens et qui les diffame systématiquement. D'autant que le Gouvernement d'Espagne a participé au financement…
Mais pas seulement. Golgota Picnic est une coproduction franco-espagnole à laquelle ont collaboré le Théâtre Garonne de Toulouse et le Festival d'automne de Paris.
Après un mois de représentations à Madrid, cette délicate production doit être étrennée à Toulouse en attendant d'arriver sur la scène parisienne lors de la 40e édition du Festival d'automne de Paris à partir de septembre prochain.
M'est avis que les catholiques devraient faire entendre leur voix devant une manifestation aussi ouverte et aussi ricanante de la culture de mort. L'AGRIF (Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne) ne manquera pas de réagir.
Je lis sur le Salon beige que Civitas mobilise. Voilà l'occasion d'une belle action commune et concertée entre catholiques de bonne volonté !
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Message par Her Jeu 6 Oct - 13:54

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/golgota-picnic-mgr-le-gall-demande-que-notre-foi-soit-respectée.html

04 octobre 2011

Golgota picnic : Mgr Le Gall demande que notre foi soit respectée

Mgr Le Gall, Archevêque de Toulouse, a fait connaître son avis à propos du spectacle Golgota Picnic :

"Plusieurs personnes de notre communauté chrétienne m'ont fait part de leur souffrance concernant le spectacle intitulé "Golgota Picnic" à l'affiche du théâtre de la Garonne, le mois de novembre prochain. En effet, le ton de la pièce, qui a suscité de fortes réprobations en Espagne, est résolument antichrétien et blasphématoire. Je me sens solidaire de l'indignation exprimée par de nombreuses personnes, et je partage la souffrance des chrétiens qui voient insulter notre foi ainsi que les valeurs qui nous tiennent le plus à cœur. [...]

Conscient que toute prise de parole, tout commentaire, toute protestation ne fait qu'ajouter de la publicité à une initiative qui n'en mérite pas à nos yeux, je souhaite réaffirmer que nous voulons, comme le Saint-Père nous y encourage, une laïcité ouverte, c’est-à-dire respectueuse des religions, dans la mesure où elles honorent le bien commun et l’ordre public. Nous demandons à nos concitoyens de respecter aussi notre foi, ainsi que notre engagement dans la société, à côté de tout homme de bonne volonté."

Posté le 4 octobre 2011 à 18h46 par Michel Janva

////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : Merci Monseigneur pour votre courage à vous opposer à un tel spectacle !...
Je me permets tout de même de vous rappelez qu'il serait bon aussi de vous interroger, comme l'a fait Monseigneur Cattenoz pour son diocèse, pour savoir s’il n’existe pas une corrélation avec la franc-maçonnerie qui se cache dans la pénombre des loges et ce genre de spectacle. Voilà bien longtemps que je ne pose plus ce genre de question, car je sais que c'est toujours des adeptes de la franc-maçonnerie qui, dans l'ombre, organise et finance ces spectacles subversifs et anti-chrétiens.

Et dites, tant que je vous tiens, Monseigneur, une de mes amies est décédée à Castanet-Tolosan, près de Toulouse, donc sur votre diocèse. Cette personne qui allait à la messe tous les jours de sa vie n'a pas eu droit à une messe dans son village pour son d'enterrement. Trouvez-vous cela normal qu'un curé religieux dominicain interdise ce genre de pratique qu'il doit certainement considérer comme étant d'un autre âge ? Pourriez-vous remédier rapidement à ce genre de situation irrespectueuse des paroissiens de cette commune et tout à fait inacceptable, à moins bien entendu qu'il n'y ait plus assez de prêtres sur Toulouse. Beaucoup de diocèses s'inquiètent aujourd'hui des baisses de rentrée du denier du culte, mais dans les campagnes où l'Eglise n'est plus visible, sans messe dominicale et sans contact ni respect avec les paroissiens, faut-il vraiment s'en étonner ?
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Message par Her Sam 8 Oct - 6:41

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/sur-le-concept-du-visage-du-fils-de-dieu-lagrif-autorisée-à-plaider-linterdiction.html

07 octobre 2011

"Sur le concept du visage du fils de Dieu" : l'Agrif autorisée à plaider l'interdiction

Communiqué de Bernard Antony, président de l’AGRIF :

"Le président du Tribunal de Grande Instance de Paris vient d’autoriser ce jour l’AGRIF à assigner d’heure à heure le Théâtre de la Ville de Paris pour le 17 octobre 2011 à 10 heures, date à laquelle sera plaidée par notre avocat Maître Jérôme Triomphe la demande d’interdiction du spectacle intitulé « Sur le concept du visage du fils de Dieu ».

Il s’agit d’un spectacle produit en Avignon et programmé du 20 au 30 octobre au Théâtre de la Ville de Paris, émanation de la Mairie de Paris et subventionné par des fonds publics, dans lequel un vieillard diarrhéique est présenté en couches-culottes puis nu et maculé d’excréments dont l’odeur est envoyée dans la salle pour mieux immerger le spectateur.

Nous sommes là en présence d’une atteinte à la simple dignité humaine, qui fait partie du combat de l’AGRIF aux termes de ses statuts. Mais il y a pire, puisqu’après ce tableau une quinzaine d’enfants viennent sur scène pour jeter des grenades sur l’immense portrait du Christ qui se trouve en toile de fond. Puis ce portrait est déformé de l’intérieur et se met soudain à dégouliner d’excréments avant que n’apparaisse l’inscription finale en anglais « You are not my sheperd ! » (Tu n’es pas mon berger !)

Ainsi, sans cesse s’enfle une vague d’abomination antichrétienne et antihumaine.

L’AGRIF, à son niveau, l’affronte."

Posté le 7 octobre 2011 à 15h18 par Michel Janva
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Message par Her Sam 15 Oct - 10:35

http://www.christianophobie.fr/action/«-sur-le-concept-du-visage-du-fils-de-dieu-»-l’agrif-assigne-le-theatre-de-la-ville-en-refere

« Sur le concept du visage du Fils de Dieu » : l’AGRIF assigne le Théâtre de la Ville en référé

octobre 14, 2011 par admin · 1 Commentaire
Dans la catégorie: Action
Le blasphème et le sacrilège ne tombent pas sous le coup de la loi en France. Mais les chrétiens ont le droit au respect de leur foi. C’est à ce dernier titre que l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne (AGRIF) a chargé son avocat, Me Jérôme Triomphe d’assigner le Théâtre de la Ville – organisme subventionné, et donc financé aussi avec l’argent des chrétiens – devant le Tribunal de Grande instance de Paris. Le référé sera plaidé le 17 octobre, les représentations de la pièce sacrilège, blasphématoire et scatologique, Sur le concept du visage du Fils de Dieu, étant programmées du 20 au 30 octobre. Le but de l’action judiciaire est d’obtenir la déprogrammation de ce spectacle infect (dans tous les sens du terme). En outre, l’avocat de l’AGRIF assigne également devant le Tribunal administratif, pour les mêmes motifs, l’établissement public de coopération culturelle « Théâtre 104 » pour avoir programmé cette même pièce du 2 au 6 novembre. L’Observatoire de la Christianophobie soutient ces deux initiatives courageuses et nécessaires.

Daniel Hamiche

Sources : Présent (15 octobre), AGRIF
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Message par Her Mar 25 Oct - 11:31

http://lebloglaquestion.wordpress.com/2011/10/25/non-a-la-christianophobie-defendons-le-christ/

Non à la christianophobie : défendons le Christ !
25 OCTOBRE 2011
tags: Christianisme, Culture, médias, Morale, société
par La Question

L’art moderne offre l’exemple accompli de la dégénérescence, de la décomposition, du nihilisme et de la mort.

Nous l’avons déjà dit et écrit cent fois, l’art contemporain est une maladie, le symbole d’un monde malade et dégénéré. L’art contemporain (sous ses diverses dénominations et expressions : de la sculpture en passant par la photographie, la peinture, le théâtre ou la musique), est une escroquerie de premier ordre, un brigandage honteux, une fumisterie sans nom.

Son moteur est la provocation (de préférence antichrétienne car c’est celle qui ne fait pas encourir de grands risques mais rapporte gros, très gros même), car avant toute chose l’art contemporain c’est le marché, le fric, le pognon, les sommes faramineuses, souvent provenant de l’Etat, circulant entre les galeristes, les musées, les théâtres et les prétendus « artistes ». Tout ce petit monde, qui profite, se graisse et se délecte de la combine, est à la tête d’une gigantesque mécanique perverse parfaitement orchestrée, relayée par des médias complices, une classe politique soumise et une Eglise démissionnaire.

I. Les racines de l’art dégénéré

Ceci nous le savons depuis longtemps, le monde moderne et son spectacle qui nous offrent, l’un et l’autre, l’exemple accompli de la dégénérescence, de la décomposition, du nihilisme et de la mort. Nous vivons un temps où la corruption, notamment en Art, a atteint des niveaux absolument incroyables, et la seule réponse qu’il convient d’avoir en forme d’ultime réaction salvatrice avant que tout ne s’effondre face à cette infection généralisée est très simple et ne nous pose aucune difficulté à l’énoncer clairement : Autofadé !

Aujourd’hui, avec courage et une détermination admirable, les catholiques tentent d’empêcher la pièce« Sur le concept du visage du fils de Dieu » d’être jouée, spectacle blasphématoire qui n’a rien trouvé de mieux dans la provocation de lancer des excréments sur le visage du Christ. Imaginons une scène de ce type dans Paris avec les symboles du judaïsme ou de l’islam ! La réponse des pouvoirs publics serait immédiate : interdiction pour risques troubles à l’ordre public et condamnation pour atteinte choquante au respect des croyances religieuses.

II. L’antichristianisme comme moteur du scandale

Mais nous sommes en France, et du Hellfest aux prétendues élites culturelles, la recette à la mode qui est une assurance d’audimat et de publicité est bien connue : l’antichristianisme et le blasphème antichrétien. L’art contemporain cherche, depuis des décennies, non pas la beauté mais le scandale et le Piss Christ comme les pièces actuellement programmées au théâtre du Chatelet sont emblématiques de cette volonté de scandale.

Comme l’écrit avec pertinence Olivier Perceval, le secrétaire de l’Action Française :

« Deux spectacles blasphématoires [1] prennent directement à la personne divine et humaine du Christ de façon provocante et ordurière. Au nom de la liberté artistique, il est désormais admis qu’on puisse mettre en cause avec des images et des paroles d’une violence inouïe ce qu’il y-a de plus sacré pour de nombreux français. Notons que de tels propos sur d’autres religions ou orientations sexuelles tomberaient immédiatement sous le coup de la loi. Devant la complicité bienveillante de l’oligarchie au pouvoir qui appelle « culture » ces contenus de toilettes publiques, l’Action française entend se substituer aux autorités de la république pour faire respecter notre civilisation millénaire dont la catholicité est la matrice originelle. Vous cherchez la bagarre ? Vous l’aurez… »


ACTIONS :
Ainsi donc, se prépare une manifestation de protestation contre la christianophobie à laquelle il faut donner une grande ampleur :

Par ailleurs un site de soutien a été créé, destiné à recevoir des dons pour permettre aux nombreux jeunes catholiques qui ont été gardés-à-vue et passeront en procès de payer leur frais de justice. Une adresse à faire circuler largement : soutienauxmilitants.com

Enfin pour aider les jeunes catholiques

qui tentent avec courage de s’opposer au blasphème

venir simplement prier avec eux munis de vos chapelets

devant le Théatre de la Ville les jours de la représentation :

Théâtre de la Ville Paris

2, place du Châtelet
75004 Paris
Site : http://www.theatredelaville-paris.com

Les dates
du 20/10/2011 au 29/10/2011

jeudi, vendredi, samedi, mardi, mercredi: 20h30
dimanche: 15h00

NON AU BLASPHEME ! NON A L'INJURE CONTRE LE CHRIST ! NON A LA CHRISTIANOPBHOBIE !

Note.

1. Ces deux « spectacles » répugnants sont :

- « Golgota picnic » de Rodrigo Garcia, qui prétend revisiter les Saintes Ecritures et parle d’approche « absolument impudique » destinée à présenter l’iconographie chrétienne comme l’image de « la terreur et de la barbarie ». Dans le dossier de presse le metteur en scène explique avoir construit son propre imaginaire biblique, celui-ci se traduit par un langage et des images obscènes. Le Christ est appelé ici « el puto diablo » et est comparé à un terroriste. Sa plaie ultime de crucifié est remplie de billets de banque. Des hamburgers jonchent le sol de la scène de spectacle pour parodier de façon grotesque la multiplication des pains. Et c’est nu que le chef d’orchestre italien Marino Formenti interprète au piano l’air des « Sept dernières paroles du Christ en Croix » de Haydn. Mais Marino Formenti n’y voit pas malice puisque « les acteurs (…) sont nus très souvent aussi ».Joué précédemment en Espagne, ce spectacle blasphématoire y avait provoqué un véritable tollé, suscitant une question au Parlement, puis des manifestations devant le théâtre. A quoi le metteur en scène Rodrigo Garcia se contente de répondre : « Mes pièces sont toujours mal reçues. Une bonne partie du public est bête (…)« .

- « Sur le concept du visage du fils de Dieu« , le second spectacle blasphématoire, est un opéra-théâtre intitulé Cette « œuvre » de Romeo Castellucci sera en tournée européenne jusqu’en février 2012, notamment à Paris, au Théâtre de la Ville, du 20 au 30 octobre, et au Centquatre, du 2 au 4 novembre, à Rennes, du 10 au 12 novembre, et à Villeneuve-d’Ascq, au Théâtre La Rose des Vents les 29 et 30 novembre. La succession de tableaux montre tour à tour un vieillard nu se torchant les fesses, des enfants caillassant le visage du Christ (avec des grenades factices pour faire plus vrai) puis le visage innocent de NSJC est attaqué de l’intérieur. Il est d’abord trituré, déformé comme par des mains et des pieds qui pousseraient la fine peau de surface. Ensuite on dirait qu’un grand couteau l’entaille, et de grandes coulures d’un brun-rouge évoquant plus les matières fécales de la scène précédente que le sang, se répandent sur lui, avant qu’un voile noir ne recouvre le portrait du fils de Dieu pour faire apparaître le mot de la fin : « You are not my shepherd » (« Tu n’es pas mon berger »).

Lire : Autodafé contre l’art contemporain !
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Message par Her Mer 26 Oct - 9:31

http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/les-eveques-de-france-soutiennent-laction-de-civitas

Les évêques de France soutiennent l’action de Civitas
25 octobre 2011 | Enregistrer sous: Eglise en France,Identité catholique,Perepiscopus | Publié par: Maximilien Bernard

L’Institut Civitas est un mouvement politique inspiré par le droit naturel et la doctrine sociale de l’Église et regroupant des laïcs catholiques engagés dans l’instauration de la Royauté sociale du Christ. Ce mouvement est, en quelque sorte, le pendant d’ICHTUS, tout en étant proche de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X.

Depuis quelques temps, et notamment depuis l’affaire du Piss Christ à Avignon (cette photo d’un crucifix plongé dans l’urine), Civitas organise la réaction face à la christianophobie, de plus en plus présente en France.

Actuellement, l’action de Civitas se focalise sur 2 spectacles clairement dégoûtants, « Golgota Picnic » et « Sur le concept du visage du fils de Dieu« , financés grâce à l’argent du contribuable, via des subventions publiques. Une pétition rassemble plus de 33 000 signatures. Civitas multiplie les initiatives, chapelets, manifestation le 29 octobre à Paris, lettres aux autorités, et notamment aux évêques de France.

Contrairement à ce que pensent certains, gravement influencés par la triste pastorale de l’enfouissement, comme ce blogueur, qui, sous prétexte de ne pas se comporter comme une minorité maltraitée, préfère critiquer l’initiative de Civitas plutôt que ces spectacles, les évêques de France ont répondu de façon positive.

Mgr Bernard Podvin, porte-parole de la CEF, a publié un communiqué au titre explicite : « Ne restons pas impassibles ! ».

Interrogé par Radio Notre-Dame sur ce sujet, le cardinal Vingt-Trois a incité les électeurs à écrire aux autorités.

Mgr Aumonier, évêque de Versailles, a répondu à Civitas :

Oui, je vous encourage et j’encourage les chrétiens à manifester leur réaction devant les spectacles provocants et insultants à l’égard de notre foi.
Mgr Aubertin, évêque de Tours, écrit à Civitas :

Tout comme vous, je ne peux que réprouver ces spectacles blasphématoires. Mgr Podvin a été chargé par notre Conférence de dire, en notre nom, notre réprobation tant sur leur contenu que sur leur financement. Nous ne pouvons qu’encourager les chrétiens à faire part de leurs sentiments.
Mgr Aillet, évêque de Bayonne, réagit à la lettre de Civitas :

La christianophobie ambiante, diligentée de près ou de loin par de secrètes officines, ne semble pas atteindre outre mesure le moral de nos responsables politiques. Allons-nous revenir à une période de persécution qui dirait son nom ? Il est peut-être encore trop tôt pour le dire; en tout cas, il est du devoir de chaque catholique de défendre le Christ et la sainte Eglise.

Mgr Le Gall, Archevêque de Toulouse, a publié un communiqué :
Plusieurs personnes de notre communauté chrétienne m’ont fait part de leur souffrance concernant le spectacle intitulé « Golgota Picnic » à l’affiche du théâtre de la Garonne, le mois de novembre prochain. En effet, le ton de la pièce, qui a suscité de fortes réprobations en Espagne, est résolument antichrétien et blasphématoire. Je me sens solidaire de l’indignation exprimée par de nombreuses personnes, et je partage la souffrance des chrétiens qui voient insulter notre foi ainsi que les valeurs qui nous tiennent le plus à cœur.
Mgr Bagnard, évêque d’Ars, écrit à Civitas :

Je crois qu’il est important de réagir pour ne pas laisser l’inacceptable se banaliser. Vous rappelez à juste titre que le porte-parole des Evêques de France a lui-même appelé les catholiques de France -et tous les hommes de bonne volonté- à ne pas demeurer muets, pour que le silence ne soit pas interprété comme un consentement ou une indifférence.
Mgr Raffin, évêque de Metz, a répondu à Civitas :

il faut que vous sachiez qu’aux yeux des maîtres des médias, les protestations des fidèles laïcs comptent plus que celle des évêques
Mgr Brouwet, évêque auxiliaire de Nanterre, a répondu également :

Il me semble que les associations de fidèles laïcs ont plus de poids surtout si chacun prend conscience de sa responsabilité et remet personnellement les élus devant les siennes.
Voilà qui tranche avec l’attitude de ceux qui tergiversent devant ces spectacles. Ils condamnent la façon de réagir de Civitas, car, au fond, ils haïssent ce mouvement, en prenant pour prétexte que, face à la christianophobie, il faut réagir autrement. Comment ? Impossible de le savoir. De fait, face à ces odieux spectacles, leur réaction est nulle. Ils ne critiquent que l’action de Civitas. C’est un peu court. Evidemment, il est permis de dire que Civitas a agit maladroitement, sur tel ou tel point. Mais alors, il faut indiquer clairement comment réagir. Le problème de ces catholiques, fruits de la pastorale déplorable des années de plomb dans l’Eglise de France, c’est que, au fond, ils ne veulent pas réagir. Alors ils emboîtent l’attitude du quotidien La Croix, qui condamne les « intégristes« . C’est tellement plus simple que de prendre une initiative. Face à la critique de leur critique, certains disent : il faut évangéliser autrement ou encore, il faut prier. Bien. Mais encore ? C’est tout à fait la pastorale de l’enfouissement : face à la christianophobie, ils préfèrent se taire, fuir le conflit et critiquer ces odieux catholiques qui oseraient réagir et qui donnent, ma bonne dame, une mauvaise image de l’Eglise. La com’, voilà qui est devenu l’alpha et l’omega de certains croyants. Ben oui : c’est tellement plus simple de se réfugier derrière la com’ pour critiquer ses petits camarades.

Autre argument, souvent resservi : Cela ne sert à rien. Ben voyons. Comme si c’était l’efficacité qui était recherchée. Le témoignage ne cherche pas à être efficace. Il sert à rappeler que l’acte dénoncé est anormal et qu’une conscience normalement formée ne peut s’y habituer. Le témoignage est là pour rappeler la vérité, dans un monde qui perd toute conscience du bien et du mal. Néanmoins, je constate que, face au désordre, le metteur en scène et la direction du Théâtre de Paris ont décidé de supprimer une scène particulièrement odieuse : celle où l’on voyait des enfants jeter des grenades en plastique contre le portrait du Christ en fond de scène. Il y a fort à parier que les prochains artistes désaxés y réfléchiront à deux fois avant de se moquer du Dieu des chrétiens.

///////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Commentaire d'Hercule : C'est bien ! enfin !...
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Message par Her Mer 26 Oct - 12:08

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/plainte-de-la-ville-de-paris-et-du-théâtre-de-la-ville-contre-civitas.html

22 octobre 2011

Plainte de la ville de Paris et du Théâtre de la Ville contre Civitas

Odieux :

"La ville de Paris et le Théâtre de la Ville ont décidé de déposer conjointement plainte contre les personnes ayant perturbé la pièce de théâtre de Romeo Castellucci, "Sur le concept du visage du fils de Dieu", présentée depuis jeudi au Théâtre de la Ville à Paris. Des membres de l'association fondamentaliste chrétienne InstitutCivitas, qui s'était déjà attaquée en avril à des photographies de l'artiste américain Andres Serrano à Avignon, dont le fameux Immersion Piss Christ, ont interrompu la représentation jeudi soir. "La ville de Paris et le Théâtre de la Ville ont décidé de déposer conjointement plainte contre les personnes s'étant rendues responsables d'actes de dégradation du domaine public et d'atteinte à la liberté de création et d'expression artistique" a annoncé la mairie de Paris dans un communiqué samedi (...)

Le ministre de la culture Frédéric Mitterrand a également dénoncé "ces perturbations(qui) portent atteinte à un principe fondamental de liberté d'expression protégé par le droit français". Le ministère a souligné que la justice avait débouté une association - l'Alliance contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne (Agrif) - qui demandait l'annulation du spectacle".

Posté le 22 octobre 2011 à 22h48 par Lahire
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Message par Her Ven 28 Oct - 19:45

http://www.civitas-institut.com - http://www.francejeunessecivitas.com

Appel à la Manifestation Nationale contre la Christianophobie !

Nous nous faisons l’écho de l’appel à la mobilisation générale des consciences catholiques contre la christianophobie, et pour cela nous reproduisons in extenso le message d’Alain Escada, le secrétaire général de l'Institut Civitas, afin de soutenir cette action légitime et justifiée, de sorte de protester contre les attaques scandaleuses et les ignobles blasphèmes perpétrés contre le Christ, lors de la grande manifestation organisée samedi 29 octobre à Paris à 18h place des Pyramides.

Pour la Gloirede Dieu, l’honneur de Jésus-Christ et le respect de la sainte religion chrétienne !

Tous présents le 29 octobre à Paris pour défendre le Christ outragé !


Chers amis,

Le samedi 29 octobre prochain, une grande manifestation nationale contre la christianophobie partira à 18h de la place des Pyramides à Paris.

Une manifestation de plus ? Et, qui plus est, un week-end de vacances pour beaucoup de Français ? Oui, mais les faits l'imposent. Quelle serait donc la réalité de notre foi si, sachant que le Christ se fait insulter, nous choisissions, imperturbables, de préférer prendre la direction de la campagne plutôt que de nous joindre à cette démonstration publique de notre attachement à Celui qui est mort sur la Croix pour notre rédemption ?

Et c'est bien de cela qu'il s'agit. Deux spectacles, "Golgota Picnic" et "Sur le concept du visage du fils de Dieu", insultent et humilient le Christ. Deux spectacles en tournée dans différentes villes de France, grâce à l'argent du contribuable, via des subventions publiques, ainsi qu'à l'aide de mécènes attirés par diverses fumisteries pseudo-artistiques aux relents sulfureux. Quelques mois à peine après l'affaire du "Piss Christ", cette photographie sordide d'un crucifix plongé dans un récipient d'urine de "l'artiste", pièce maîtresse d'une exposition d'art contemporain bénéficiant également de plantureuses subventions publiques.

Si ceux qui affirment aimer le Christ devaient rester impassibles devant cette succession de provocations antichrétiennes, à quoi devrons-nous nous attendre dans les mois qui suivent ? L'enjeu est évident : soit la mobilisation chrétienne est d'une telle ampleur qu'elle fait reculer, au moins pour quelques temps, les tenants de la christianophobie; soit la faiblesse des bons permet aux mauvais de s'imposer et nous condamne à subir une accélération de ce déferlement christianophobe.

Car oui, nous vivons un temps de christianophobie.

Lorsqu'une parcelle musulmane ou juive d'un cimetière est profanée, tous les médias et toutes les autorités politiques s'en émeuvent. Mais pas un mot pour rappeler que plus de 90% des profanations de cimetières commises en France concernent des tombes chrétiennes.

Qu'un graffiti insultant apparaisse sur les murs d'une synagogue ou d'une mosquée et toutes les télévisions mettent la France en émoi. Mais aucun journaliste ne signale que la majorité des lieux de culte profanés en France sont des lieux de culte chrétiens.

Imaginez un seul instant qu'en une seule semaine une dizaine de synagogues ou de mosquées soient vandalisées. Le tollé serait tel qu'à travers toute la France on ne compterait plus les cortèges de manifestants scandalisés tandis que les médias multiplieraient les dossiers spéciaux sur un ton unanimement outré. Mais qui s'inquiète que, durant la Semaine Sainte, en un temps particulièrement important pour les Chrétiens, près d'une dizaine d'églises et de chapelles de France furent vandalisées, profanées ?

Voyez aussi le monde de la publicité. On chercherait en vain au cours de ces dix dernières années une campagne publicitaire tournant en dérision un symbole religieux juif ou musulman. Mais les exemples abondent de publicités détournant de façon choquante des éléments propres à la foi catholique.

Des cantines scolaires aux rations militaires, des rayons des supermarchés jusqu'aux hamburgers des chaînes de fast-food, c'est la grande mode des menus halal. Mais combien de responsables de l'autorité publique se font un point d'honneur de servir de la viande le vendredi ou encore de supprimer les crèches de Noël ?

Qu'un humoriste choque la communauté juive et il connaîtra les foudres de la justice et le bannissement télévisuel. Qu'une caricature choque la communauté musulmane et c'est le monde qui s'enflamme. Et, dans les deux cas, cela s'accompagnera d'un consensus réprobateur de tout ce que l'on compte comme autorités morales, philosophes, journalistes, politiques, figures du show-biz et autres tenants de la bien-pensance. Mais que l'on se moque du Christ, que l'on insulte ce qu'il y a de plus sacré pour les chrétiens, que l'on offense les catholiques et voilà que l'on voudrait nous faire passer cela pour de l'art. Qu'un détraqué plonge un crucifix dans un vase qu'il a rempli de son urine, qu'il photographie le tout et voilà que des snobinards décadents décrètent que c'est de l'art ! Qu'un metteur en scène mêle le Christ à ses pensées obscènes et voilà qu'il bénéficie du tremplin de l'un ou l'autre festival de théâtre en vogue.

Mais trop c'est trop. Cette manifestation du 29 octobre prochain est l'occasion de faire entendre notre détermination à faire reculer la christianophobie !

Entretemps, chacun de vous peut et doit contribuer à cette riposte de grande ampleur organisée par Civitas.

Que pouvez-vous faire ?

. Signer la pétition et la faire signer par votre entourage. Pour plus d'informations,
allez sur le site défendonslechrist.org

· Ecrire et/ou téléphoner aux directions des théâtres concernés.

· Ecrire et/ou téléphoner aux institutions accordant des subventions publiques à ces spectacles ainsi qu'aux sociétés privées et fondations leur accordant du mécenat.

· Ecrire aux Evêques de France afin de leur demander de condamner publiquement ces spectacles.

· Écrire aux directions des associations chrétiennes afin de leur demander de soutenir cette mobilisation.

· Écrire aux médias, parce qu'il faut faire de cette mobilisation contre la christianophobie un débat de société.

· Écrire aux élus (sénateurs, députés, conseillers généraux et régionaux, maires, conseillers municipaux) pour dénoncer cet antichristianisme et les subventions publiques qui lui sont accordées.

· Relayer tout cela sur les sites et blogs, les forums de discussion et les réseaux sociaux.

· Coller affiches et autocollants que l'on peut commander au secrétariat de Civitas (liens 1 et 2)

· Distribuer les tracts que l'on peut commander au secrétariat de Civitas.

· Venir à la grande manifestation nationale contre la christianophobie le samedi 29 octobre (rdv : 18h à la place des Pyramides)

· Organiser des cars ou des co-voiturages pour venir de province à cette grande et importante manifestation nationale.

· Participer aux récitations du chapelet qui seront régulièrement organisées devant les théâtres concernés (les informations suivront).

· Participer aux manifestations régionales qui seront organisées (à Toulouse, Rennes et Villeneuve d'Ascq).

· Vous porter volontaire pour les services d'ordre qu'il nous faudra mettre en place lors des diverses manifestations.

· Proposer votre savoir-faire, vos compétences (en informatique, en graphisme, en vidéo, en photo, en sono,...).

· Aider financièrement Civitas à assumer le coût important de cette mobilisation à travers toute la
France jusqu'en décembre (dons en partie déductibles fiscalement).

· Organiser des veillées de prières à travers toute la France.

· Ajouter à vos intentions de prières le recul de la christianophobie, la déprogrammation de ces spectacles, la bonne marche de cette mobilisation et la bienveillante protection de Notre-Seigneur sur tous ceux qui y participent.

Nul ne peut dire qu'il ne peut rien faire. Chacun peut trouver dans cette liste différents moyens de contribuer à cet effort pour défendre l'honneur du Christ.

Je compte sur chacun de vous. Tous présents le 29 octobre à Paris ! Que Dieu nous vienne en aide.

Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas

Institut Civitas

17, rue des Chasseurs - 95100 Argenteuil

01.34.11.16.94 - secretariat@civitas-institut.com

http://www.civitas-institut.com - http://www.francejeunessecivitas.com
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Message par Her Sam 29 Oct - 6:31

http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/la-croix-ment-sur-la-position-des-eveques-quant-aux-spectacles-blasphematoires

La Croix ment sur la position des évêques quant aux spectacles blasphématoires
28 octobre 2011 | Enregistrer sous: Communication P,Eglise en France,Perepiscopus | Publié par: Maximilien Bernard

Dans un article récent, le quotidien qui se veut catholique écrit :

L’Église de France a pris ses distances avec les débordements orchestrés autour de la pièce « Sur le concept du visage du Fils de Dieu » donnée à Paris
Je ne sais pas ce que signifie précisément l’expression « Eglise de France« , mais cette assertion est dénuée de fondement.

J’ai rappelé ici la petite dizaine de réactions épiscopales à cette pièce de théâtre. Mgr Aumonier, évêque de Versailles, a ainsi engagé les chrétiens à ne pas rester passifs :

Oui, je vous encourage et j’encourage les chrétiens à manifester leur réaction devant les spectacles provocants et insultants à l’égard de notre foi.
Cela a le mérite d’être clair, non ?
Et Mgr Aubertin, évêque de Tours :
Nous ne pouvons qu’encourager les chrétiens à faire part de leurs sentiments.
Ou Mgr Aillet, évêque de Bayonne :

en tout cas, il est du devoir de chaque catholique de défendre le Christ et la sainte Eglise.
Mgr Podvin, porte-parole des évêques de France, a apporté les précisions suivantes :

L’Eglise catholique en France condamne les violences perpétrées lors de récents spectacles.
Mgr Podvin a l’intelligence de ne pas désigner les auteurs des violences. De toute évidence, il s’agit de la police, qui a écrasé le pied d’un manifestant, et qui a raflé tous les manifestants dans des bus pour les emmener au poste. Quelle autre manifestation a fait l’objet d’autant d’interpellations ? Même pas ceux qui prient illégalement dans la rue Myrrha… A ceux qui pensent que l’interruption d’une pièce de théâtre est une violence, il faut rappeler que le théâtre, ce n’est pas du cinéma : dans la tradition théâtrale, les spectateurs peuvent intervenir à tout moment. Charge ensuite aux acteurs de saisir la réplique au bond et de montrer leur talent. Mais quand le talent se résume à faire pipi et caca sur scène…

Mgr Podvin ajoute :

[La CEF] appelle à une liberté d’expression respectueuse du sacré. Elle appelle à un échange avec les élus, concernant cet enjeu. L’Eglise catholique en France n’est, ni intégriste, ni obscurantiste. Les catholiques aspirent, comme citoyens, à être respectés dans ce qui est le cœur de leur foi.
Il est vrai que La Croix a tendance à substituer l’Eglise de France à l’Eglise (qui est) en France, façon de dire que l’Eglise (qui est) en France est à distinguer de l’Eglise (qui est) à Rome. Mais de là à considérer que la position de La Croix est la même que la position de l’Eglise (qui est) en France, il y a un pas que La Croix franchit un peu vite.

Si La Croix ne veut pas prendre ses distances avec les débordements de la fosse sceptique de Castellucci, c’est son problème, pas celui de l’Eglise (qui est) en France.

Addendum : Mgr Centène apporte un soutien très clair à Civitas, faisant mentir ainsi nos journalistes :

Je félicite et j’encourage tous ceux qui, en cohérence avec leur foi, n’hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n’usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu’ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l’ignominie dépasse l’entendement même.
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Message par Her Sam 29 Oct - 6:42

http://bernard-antony.blogspot.com/2011/10/les-cafards-de-theatres-les-politiciens.html

LE BLOG DE BERNARD ANTONY
PRÉSIDENT DE CHRÉTIENTÉ SOLIDARITÉ ET DU MOUVEMENT DU PAYS LIBRE - DIRECTEUR DE LA REVUE RECONQUÊTE

26 OCTOBRE 2011

Les cafards de théâtres, les politiciens, les médias, les souteneurs et les profiteurs de l’excrémentation antichrétienne subventionnée : il faut en faire, à la française, des sujets de création artistique !
Le grand écrivain de Montevideo Sigismond Kelbrener, célèbre auteur des Myrtilles d’Acapulco, en vacances dans les Pyrénées avec Bernard Antony, reproduit ici quelques extraits qu’il a pris sur le vif de différents entretiens de ce dernier questionné par quelques spécimens de la faulculterie médiatique, vertueusement indignés de la réaction des cathos à l‘égard du scatologiquement et blasphématoirement correct christianophobe.
Il nous narre d’abord les circonstances de ces entretiens.

La providence a voulu que je puisse accompagner pendant deux jours mon vieil ami Bernard Antony en activité vacancière en son pays natal de sélection de jambons de porc noir de Bigorre et de crus de Jurançon, de Madiran et de Pacherene de Vic-Bilh.

Militantisme oblige, il n’avait pas renoncé à son téléphone portable, acceptant au gré de son humeur de répondre, aux heures qu’il fixait, en fonction des arrêts dégustation, à des demandes d’entretien.

De très bonne humeur le plus souvent, il ne m’en fit pas moins la confidence de sa tristesse face aux jugements très affligeants des tribunaux sur les plaintes de l’AGRIF contre les abominations antichrétiennes et antihumaines journalistiques ou théâtrales.

Nous étions précisément en une auberge du village d’Artagnan lorsqu’avec une indignation de mousquetaire gascon, il me confia ceci : « Face au déferlement de toute cette vomissure d’injures à Dieu et à sa création, certains appellent à des prières sur les lieux. Je ne les désapprouve pas mais elles suscitent surtout les quolibets de la faune des provocateurs satisfaits de la pub puisque leur but n’est pas seulement de déverser de l’immondice mais de faire parler d’eux.

D’autres avec courage manifestent.

Je les approuve mais hélas, pour le moment, les catholiques de conviction chez nous, en France, ne remuent pas, pour la protestation, le dixième de ce que mobilisent les frères musulmans.

Nous, nous menons avec des avocats courageux et talentueux les combats devant les tribunaux, mais c’est une drôle de justice qui nous est rendue, allant jusqu’à nous faire odieusement payer des milliers d’euros pour procédure abusive.

Alors, en attendant que la Providence et la justice nous entendent, on oublie par trop, sacrebleu, de traiter comme il convient les misérables escrocs-sados-masos de l’excrémentation christianophobe. C’est par le quolibet qu’il faut d’abord les traiter, avec le fouet de l’ironie, avec l’éclat de rire hussardier, avec la gauloiserie qu’impose tout de même leur abjection d’intellocrassie de recherche du blasphème badigeonné de vertueux prétexte.»

Et c’est ainsi que j’ai eu la joie d’entendre un Bernard Antony répondre, d’une manière qu’ils n’attendaient certainement pas, à trois journalistes, à ce que j’en percevais manifestement très adeptes de la scatologie sérieuse et même compassée et d’une doctrinaire dégueulasserie.

Voici les réponses que j’ai pu assez facilement glaner, Bernard Antony ayant l’habitude pédagogique de la reformulation de la question posée ou de son évacuation pour manque d’intérêt.

- « Vous m’interrogez sur des spectacles d’art, dites-vous ? Vous vous moquez ! Le grand Salvador Dali, qui traitait comme il convenait les « cocus du vieil art moderne », distinguait l’art « création » de l’art « récréation ». Ensuite venait l’art « décréation », celui par exemple de Picasso deuxième manière.

Mais aujourd’hui les spectacles sur lesquels vous m’interrogez sont évidemment des mises en scène d’exécration. Si on appelle cela de l’art, c’est pire que de l’art naque, c’est de l’excrémentation, un « art dit contemporain » subventionné par messieurs Lang, Douste-Blazy, Donnadieu de Vabre, Mitterrand, Delanoë et autres, semble-t-il fascinés fondamentalement par la mise en scène de l’urinaire et de la défécation.

- « Comment j’analyse cela ? Non, monsieur, je ne veux pas analyser leurs excréments !

- « Non, les spectacles d’aujourd’hui ne sont pas nouveaux. Mais ils sont dans une progression. On avait eu par exemple à Montpellier Santa Suzanna, ignominie blasphématoire et partouzarde, qui aurait plu sans doute à un grand économiste mondial très amateur.

- « Ensuite, entre autres, au Théâtre de la Ville, à Paris, subventionné avec les impôts des chrétiens et des gens de goût, le spectacle de dégoût et d’égout « The crying body » du misérable flamand Jan Fabre. On pouvait y voir, entre autres très artistiques créations, la scène immonde d’une confession avec un évêque se masturbant. Après quoi, le ministre Donnadieu de Vabres à l’évidence apprécia pour sa part particulièrement le lever de jupes « d’actrices », spécialistes de l’expression urinaire, qui déversèrent devant lui en un grand effet d’ouverture le liquide abondamment stocké dans leur vessie.

Alors, ayant ainsi créé les formes artistiques de leurs flaques, elles les projetèrent d’un coup de pied vigoureux non moins artistiquement sur le premier rang au centre duquel le ministre Donnadieu de Vabres. Ce superbe effet fut salué par un concert d’applaudissements. Quant au ministre, il en fut si énamouré qu’il revint voir le si beau spectacle au Festival d’Avignon.

Je proposais alors que lors d’un prochain spectacle le génial Ian Fabre puisse utiliser un camion de vidange pour l’asperger de merde.

- « J’ironise ? Ah, libre à vous, monsieur, de le penser !

- « Les « spectacles » actuels contre lesquels s’est portée l’AGRIF, oui, bien sûr, je vais vous en parler. Sur le fond, pas de grande innovation. L’important, toujours et encore, c’est de blasphémer, ça ne coûte rien et ça rapporte gros, c’est d’injurier les chrétiens que Caroline Fourest, dans Charlie-Hebdo de Philippe Val, le chouchou de Carla, aimerait tant voir livrer à nouveau aux lions.

- « Plaisanterie ? Après les cent millions de martyrisés des génocides arméniens et des autres, après les exterminations du communisme et alors que l’islamisme en viole, en assassine, en massacre tous les jours, au Pakistan, en Égypte, en Irak, au Soudan, mais la liste est longue…

- « Piss Christ » ? Mademoiselle, encore de l’obsession urinaire !

- « Analyser cela ? Non merci, l’urine de Serrano ne m’attire pas, je ne suis pas biologiste.

- « Ah, pardon ? Comment j’explique ? Je crois finalement que tout n’est peut-être pas à rejeter dans les thèses de ce semi-charlatan de Freud : la régression infantile, l’obsession du pipi-caca, avec le spectacle subventionné « Sur le concept du visage du Christ » et avec « Golgotha Picnic », oui, nous y voilà ! Et plus on vend de la merde aux bobos, plus ils en redemandent !

- Vous me dites qu’il y a du monde pour aimer cela ? Non, madame, vous dites n’importe quoi. Ce n’est qu’une faune de snobinards défoncés, de déglingués du sexe et du cerveau, amateurs frénétiques de pisse et de merde, provocateurs : tu parles !, pas plus conformistes qu’eux au dégoût du jour !

- Oh, chère madame, les crachats sur le visage du Christ, ça ne vous choque pas, ni la complaisance scatologique, ni qu’on épate les imbéciles avec de l’étalage diarrhéique, pour quoi faire, pour quoi prouver ? Mais vous vous offusquez de mon langage, oh, que vous êtes prude ! Ainsi, l’abjection blasphématoire, ça ne vous choque pas, mais, c’est fantastique, ce qui vous heurte, ce sont les mots qui la désignent. Cette pudibonderie dans la défense de l’excrémentiel me fascine, oui, vraiment, à moi Freud !

- « A Metz, l’exposition appelée « L’infamille », on voit l’allusion, non ? Cette exposition, c’était aussi de l’art contemporain bien sûr, avec une quarantaine de panneaux sur lesquels des phrases sorties des cerveaux de pervers criminels subventionnés, alors qu’en toute société un peu saine on les enfermerait au plus vite. Cela, ça ne vous choque pas, monsieur, ces promesses des sévices sexuels, y compris par l’emploi de chiens. Et tout le monde d’accepter !

Oui, monsieur, je n’invente rien, coudre le sexe de leurs enfants, les livrer aux chiens, les sodomiser, c’est un échantillon des inscriptions élucubrées par d’immondes tarés subventionnés suivies de « Car ceci est mon corps, ceci est mon sang ». Oui, l’évêque, le misérable évêque s’est tu, oui, le préfet de merde a approuvé, et les ministres de « l’éducation » et de la « culture » ont laissé faire. C’est une élue courageuse du FN, Françoise Grollet, qui a dénoncé cette impensable ignominie que l’AGRIF, au prix de l’acharnement d’une longue procédure, ne laisse pas passer.

Evêques silencieux, élus indifférents et un préfet radicalement indigne, ou lui-même pervers, pour oser nous écrire qu’il fallait bien sûr un « accompagnement pédagogique » pour cette exposition. Un « accompagnement pédagogique » pour faire comprendre aux enfants ce que des enfoirés de psychologues criminels imaginent habituellement être dans le cerveau des parents. Cela, il fallait oser le proposer !

- « Quoi, vous trouvez que je ne suis pas respectueux de ces coupables de non-assistance à enfants en danger ? Vous osez, monsieur, proférer grotesquement cette remarque à faire hennir les constellations. Non seulement je ne les respecte pas, mais je les avertis que leur sort est d’ores et déjà scellé pour l’éternité.

« Malheur à ceux qui scandalisent les petits enfants ! Mieux aurait valu qu’on les précipitât dans l’abîme avec une meule autour du cou… » Voyez-vous, on comprend pourquoi ces démoniaques subventionnés ont tant de haine pour le Christ.

- « Je vais répondre à votre question, jeune homme, sur ce que je pense des spectacles que vous osez qualifier du mot de créations. Ce sont des trucs de déglingués de la calebasse, de suceurs d’hémorroïdes, de coprophages, de pervers multiformes. Ah, ainsi mes propos vous choquent ! Mais l’excrémentation blasphématoire des spectacles christianophobes ne vous choque pas ?

- « Vous me dites fermé à la création artistique moderne, diable non, car il y a de très grands artistes aujourd’hui. Et je rêve même du surgissement d’artistes à la hauteur d’un Jérôme Bosch ou d’un Goya, pour peindre ou dessiner nos fantastiques politiciens en charge de la culture et de ses subventions.

Je vois ainsi par exemple de belles fresques avec l’enfilade de nos successifs ministres de la culture, parmi tout un grouillement de sorcières, de personnages hideux, de damnés. On y verrait, à vous d’identifier, une composition de faune avec une tête de gargouille grimaçante, à la figure piquée de petite vérole et coursant un pauvre berger andalou.

Il précèderait celui que l’on appelle « l’aspergé ». Allo, non je ne parle pas d’asperges, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, car je le sais, certains aiment engloutir les asperges par différents endroits, de leur « crying body » mais encore une fois, c’est de l’aspergé que je vous cause, pas des asperges !

Trop, c’est trop !, me dites-vous, c’est en effet ce que je pense aussi. Mais si vous voulez vraiment que je réponde à vos questions, vous n’avez pas le choix, il faut encore que je vous brosse la fresque jusqu’au bout.

Ensuite, voyez-vous, il y aurait le ministre du doux bla-bla à la Mamounia. Après ses galipettes gidiennes, on le peindrait un peu gêné sur son pieu dans sa piaule, devant une dévastatrice compagne, trop tôt de retour et moins complaisante quoique de même milieu professionnel que dame Sinclair.

Certes, il n’était plus alors à la Culture mais aux Affaires Étrangères, et donc partiellement en charge de la culture française dans le monde. Ah, les fantaisies à la Mamounia ne se terminent pas toujours par des fantasias !

Viendrait enfin, vous vous en doutez, celui que l’on appelle le cornaqué de Bangkok, ce triste blafard avide de féroces boxeurs thaïs mais, adultes, faut bien préciser.

Alors, votre question, elle arrive ? Vous avez oublié ? Cela vous reviendra ! Alors continuons. Dans l’enfilade on devra peindre aussi le maire de Paris, l’actif cyclophile subventionneur prosélyte du Théâtre de la Ville et de toutes les associations qui se retrouvent dans la Gay-Pride.

Selon le cinéaste Moati, Delanoë est, comme lui, bien atterré par l’évolution démocratique de la Tunisie. Franco-tunisiens, Delanoë et Moati ne sont pas de ces méchants colons qui faisaient suer le burnous. Eux ont plutôt profité non pas du « temps béni des colonies » mais de celui de Ben Ali dans la douceur de Sidi-Bou-Saïd.

Avec ces islamistes, c’est pas demain la veille qu’on pourra balader en Tunisie ces spectacles d’excrémentation, fussent-ils christianophobes. Car même si le Christ n’est pas le Isa du Coran, dans l’ordre islamique on n’apprécie pas trop et même pas du tout l’art coprophage.

- « Je vous entends mal, monsieur, vous me parlez de l’élasticité de leurs fondements, qu’entendez-vous diable par là ?

- Allo, allo, oui, ça y est, j’ai compris, vous me reprochez plutôt de ne pas accepter que le droit au blasphème soit un des fondements de la laïcité. J’ai déjà entendu cela en maints tribunaux. Et en effet j’ai de la laïcité une autre conception, celle du respect du sacré, celle du respect de la dignité humaine. Mais l’ahurissant, c’est que les crapules vicelardes se drapent dans une vertueuse dignité offensée lorsqu’on les traite de ce qu’ils sont : des charognards du blasphème subventionné, des impuissants en mal de stimulations malodorantes. Faut quand même le faire, non, de faire souffler de l’odeur de merde dans le théâtre pour authentifier l’épandage diarrhéique !

- « Mademoiselle, vous vous étonnez, me dites-vous, de mon indifférence aux positions de prêtres et évêques défendant les œuvres de ce que l’on appelle l’art contemporain.

Non, ce n’est pas de l’indifférence ! Ce sont les phénomènes habituels, plus ou moins importants selon les époques et dans leur diversité : époques d’avachissement, alignement sur les modes, conformisme et snobisme, collaboration avec les totalitarismes et même apostasie silencieuse et trahison. Cela dit, ce ne sont pas tant les prises de position des détraqués du ciboulot parmi les clercs qui m’inquiètent. C’est le silence de beaucoup trop, sous les prétextes de ne pas faire de vagues, qui me heurte.

A un moment où toute une couche de « dialogueux » mène calamiteusement le plus mauvais dialogue interreligieux possible, dans un à priori de complaisance totale pour leurs interlocuteurs juifs ou musulmans, ils se gardent pourtant bien de les imiter dans ce que l’on peut admirer chez eux. Musulmans et juifs ne laissent pas cracher sur leur religion, souvent n’admettant même pas la liberté de la critique ou du refus. Mais l’esprit de paix s’est hélas transformé en tiédeur indifférente, puis en complaisance pour le pire dans la gradation qui va de la torpeur à la lâcheté, et finalement à la trahison.

- « Je blasphème, dites-vous, monsieur, contre la laïcité, la liberté, les autorités. Cela, c’est vraiment magnifique !

Eh bien oui, je blasphème sans état d’âme contre les blasphémateurs de Dieu, de l’innocence des enfants, de la beauté, de la dignité humaine, de la liberté du bien. Et je ne crains pas d’outrager ceux qui outragent le Christ et l’humanité par leurs défécations et leurs injures subventionnées.

Ils sont des médiocres, confits dans leur conformiste confort, exhalant dans une continuité bien rémunérée leur haine fétide contre le Christ. Je leur préfère ces anarchistes espagnols qui, en pelotons d’exécution, fusillaient le Christ en croix.
C’était moins médiocre.

Mais quoi qu’il en soit, il faut bien que le Christ existe pour qu’on le haïsse autant. Dieu ne meurt pas. »

PUBLIÉ PAR RÉDACTEUR À L'ADRESSE 19:58
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Message par Her Sam 29 Oct - 6:43

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/des-députés-désapprouvent-la-pièce-de-roméo-castelluci.html

26 octobre 2011

Des députés désapprouvent la pièce de Roméo Castelluci

Lu ici ces réactions de députés :

Jacques Myard – UMP – Yvelines: « Je n’ai pas à me servir d’un portrait du Christ pour la liberté d’expression ! »

Axel Poniatowski – UMP – Val d’Oise: « Jeter des excréments sur un portrait du Christ ça me paraît être particulièrement de mauvais goût. Est-ce bien indispensable ? Je comprends très bien qu’on puisse manifester contre ça. »

Christian Vanneste – UMP – Nord: « Les artistes, les vrais, ne se livrent pas à ce genre de dérives. On doit avoir un minimum de respect pour cette tradition. Même si on n’est pas croyant, qu’on est complétement athée. Je souhaite que chacun se livre à une introspection sur ce qu’est véritablement la civilisation, sur ce qui est respectable et ce qui ne l’est pas. »

Lionnel Luca – UMP – Alpes-Maritimes: « Faut faire respecter la loi ! Non mais il y a une loi là-dessus, sur l’insulte. Ceux qui commentent les actes d’insulte sur le Christ, qui se risqueraient bien de le faire sur Yahvé ou Mahomet, sont priés de respecter les gens dans leur croyance. »

Posté le 26 octobre 2011 à 21h40 par Michel Janva
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Message par Her Sam 29 Oct - 6:49

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/300-à-réciter-le-chapelet-devant-le-théâtre-de-lhôtel-de-ville.html

26 octobre 2011

300 à réciter le chapelet devant le théâtre de l'hôtel de Ville

à cet instant même.

A signaler ce site pour réagir aux blasphèmes par la prière.

Posté le 26 octobre 2011 à 21h12 par Lahire

////////////////////////////////////////////////////////////////////

http://levisageduchrist.net/

L'adoration, une réponse aux pièces blasphématrices

Hommes, nous ne pouvons tolérer qu'au nom d'une pseudo liberté d'expression il soit possible de tourner en dérision tous les symboles, tous les objets de foi.

Citoyens, nous ne pouvons accepter que l'argent public d'un Etat en banqueroute et laïc puisse financer l'expression d'une haine pure et simple envers le christianisme.


Pensez-vous qu'il faille interdire des pièces de théâtres comme le golgotha picnic ?

Choix

- Oui, absolument.
- Pas forcément, il faut au moins retirer le financement public et veiller à ce que les affiches ne choquent pas les consciences
- Non, ces divertissements rentrent dans le cadre de la liberté d'expression, il n'y a donc aucune raison de les interdire.
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Message par Her Jeu 24 Nov - 12:48

http://jesusfilsdedieu.blogspot.com/2011/11/golgota-picnic-toulouse-la-mobilisation.html

JEUDI 17 NOVEMBRE 2011

“Golgota Picnic” : À Toulouse, la mobilisation a démarré fort avec la prière puissante des religieux
Lu sur Présent :
Plus de 200 catholiques ont prié dans le calme aux abords du Théâtre de la Garonne à Toulouse lors de la première représentation de la pièce de Rodrigo Garcia, Golgota Picnic. Alternant cantiques et chapelets, soutenus par la présence de plusieurs prêtres, d’une quinzaine de religieux – moines et novices capucins venus du monastère Saint-François de Morgon dans le Gers, plusieurs religieuses – les fidèles ont pacifiquement prié à la lumière de flambeaux, faisant de l’événement une veillée recueillie plutôt qu’une manifestation. Beaucoup de familles, de jeunes – pas tous fidèles de la Fraternité Saint-Pie X – accompagnés d’une fanfare ont ainsi rendu visible la volonté de réparation devant l’outrage de cette pièce qui s’autorise tous les blasphèmes, toutes les diffamations, les pires calomnies sur le Christ crucifié et son Eglise.
La police toulousaine était sur les dents en raison de la contre-manifestation annoncée, maintenant d’emblée les catholiques éloignés du théâtre devant lequel seule une poignée de fidèles ont réussi à se glisser. Ceux-là étaient entourés par les forces de l’ordre pendant qu’ils disaient le rosaire sous les insultes et les quolibets de quelques dizaines de militants gauchistes.
Combien étaient-ils, ceux-là ? Deux groupes, l’un de 70, l’autre de 150 personnes ont tenté en vain de couvrir les prières tranquilles mais bien « sonorisées » des catholiques. Nerveux à force d’entendre les prières (comme nous le raconte l’un des abbés présents mercredi soir) ils ont peu à peu quitté la place. Un de ces militants – probablement « multicartes » vu le nombre d’associations venues bruyamment réclamer que cessent les manifestations catholiques, au nom de la « liberté d’expression », de la LDH à l’extrême gauche ! – s’est même approché d’un étudiant accroché à son chapelet pour lui suggérer de lancer des slogans plutôt que des « Je vous salue Marie ». Eh bien oui, la prière publique des catholiques en France a un sens et une portée que nous ne mesurons sans doute pas assez. Avis au cardinal Vingt-Trois et autres Mgr Le Gall qui ont donné le la pour désigner à la haine les « idiots sympathiques » et les « intégristes » dont l’arme est le chapelet…
« Intégristes, intégristes, intégristes » : lancinant, le quolibet infamant revient dans les comptes rendus médiatiques, six fois répété dans la modeste dépêche de l’AFP que, servilement, les journaux ont recopiée, du Parisien au Figaro. Y compris cette phrase révélatrice : « Les textes et les situations, la plupart du temps loufoques et décalés, doivent parfois être entendus au second degré lorsqu’ils traitent du Christ pour ne pas choquer. »
La Dépêche du Midi, plus originale, a envoyé reporter et photographe, et, pour la « première », une journaliste dans la salle de théâtre. Nicole Clodi relate sans sourciller la première scène jouée sur un parterre jonché de pains pour hambuger pour parodier la multiplication des pains : une fille « montre son sexe à la caméra qui en reflète l’image sur l’écran géant » au fond de la scène et « déclame : “Je ne vous apprendrai pas à baiser les gosses, à envoyer des bombes du haut des tours… puisque ça, vous savez déjà le faire.” »
La délicate journaliste, tout acquise au message de Garcia, approuve ensuite son idée d’interdire les musées montrant « l’iconographie de la terreur » qui, à travers la Crucifixion, font la « propagande de la torture ». La liberté d’expression a de ces ratés…
D’autres manifestations tout aussi pacifiques sont prévues pour les prochaines représentations de Golgota Picnic d’ici à dimanche, tandis qu’une manifestation contre la christianophobie, à l’appel de Civitas, se tiendra place de la Daurade à Toulouse samedi à 18 heures.
En attendant les bobos, snobs et intellos toulousains continueront de se piquer d’avant-gardisme, aux frais du contribuable, en honorant de leur présence ce Golgota Picnic dont les spectateurs néerlandais (ils l’ont vu en septembre à Rotterdam) sont nombreux à souligner que les transgressions ont décidément pris un coup de vieux. « De l’anticléricalisme d’il y a 30 ans : qui est-ce que cela peut encore choquer ? », demande une spectatrice qui s’estime flouée parce qu’aujourd’hui on peut faire bien pire.
Encore une qui n’a pas compris, pas plus que les bobos de Toulouse, Rennes, Paris, que la vraie nouveauté, c’est précisément la Rédemption. Et sa valeur d’éternité.
JEANNE SMITS

Article extrait du n° 7477
du Vendredi 18 novembre 2011

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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/11/la-prière-les-rend-fous.html

17 novembre 2011

La prière les rend fous

Dans Présent, Jeanne Smits relate la prière publique des catholiques à Toulouse, ainsi que la contre-manifestation d'associations gauchistes :

"Combien étaient-ils, ceux-là ? Deux groupes, l’un de 70, l’autre de 150 personnes ont tenté en vain de couvrir les prières tranquilles mais bien « sonorisées » des catholiques. Nerveux à force d’entendre les prières (comme nous le raconte l’un des abbés présents mercredi soir) ils ont peu à peu quitté la place. Un de ces militants – probablement « multicartes » vu le nombre d’associations venues bruyamment réclamer que cessent les manifestations catholiques, au nom de la « liberté d’expression », de la LDH à l’extrême gauche ! – s’est même approché d’un étudiant accroché à son chapelet pour lui suggérer de lancer des slogans plutôt que des « Je vous salue Marie ». Eh bien oui, la prière publique des catholiques en France a un sens et une portée que nous ne mesurons sans doute pas assez."

A propos de l'affaire Benetton, petit souvenir.

Posté le 17 novembre 2011 à 14h07 par Michel Janva

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Commentaire d'Hercule : St Paul a écrit :

Romains 12 : 14-21
"Bénissez ceux qui vous persécutent; bénissez, ne maudissez pas.
Réjouissez-vous avec qui est dans la joie, pleurez avec qui pleure.
Pleins d'une égale complaisance pour tous, sans vous complaire dans l'orgueil, attirés plutôt par ce qui est humble, ne vous complaisez pas dans votre propre sagesse.
Sans rendre à personne le mal pour le mal, ayant à coeur ce qui est bien devant tous les hommes, en paix avec tous si possible, autant qu'il dépend de vous, sans vous faire justice à vous-mêmes, mes bien-aimés, laissez agir la colère ; car il est écrit : C'est moi qui ferai justice, moi qui rétribuerai, dit le Seigneur.
Bien plutôt, si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s'il a soif, donne-lui à boire ; ce faisant, tu amasseras des charbons ardents sur sa tête. Ne te laisse pas vaincre par le mal, sois vainqueur du mal par le bien".

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Message par Her Lun 5 Déc - 22:17

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/11/les-béats-de-lart-contemporain.html

27 novembre 2011

Les béats de l'art contemporain

Extrait d'une analyse de Raphaël Jodeau trouvée sur le Défi culturel :

"L’art contemporain est un échec. Il n’intéresse qu’une très faible partie de la population et ne parvient à prospérer que grâce à deux atouts : le scandale qu’il provoque volontairement, et le soutien financier de l’État. Le jour où l’art traditionnel et l’art contemporain seront mis à égalité devant l’impôt, le jour où ils seront à égalité de traitement dans les salons, ce dernier s’effondrera misérablement devant la magnificence de son concurrent. Mais la politique actuelle, qui se cramponne à son idéologie soixante-huitarde périmée, est de confiner l’art traditionnel dans les musées, de le circonscrire au passé. D’une puissance financière titanesque, l’art contemporain peut alors museler son adversaire en invoquant la liberté d’expression, car entre le faible et le fort, c’est la loi qui protège, et la liberté qui opprime.

Curieusement il se trouve régulièrement des personnes qui, devant la nature de l’art contemporain, se trompent de combat et appliquent naïvement leurs critères esthétiques à un « art » qui les rejette par nature. Ce sont les béats... Par peur d’être taxé de facho, par souci de paraître plus fin ou plus objectif que les autres, ou par réelle sincérité, le béat voit dans les pires choses un signe de beauté, de mysticisme ou de poésie. Écartant soit les intentions de l’artiste, soit l’impact de l’œuvre sur le public, soit la matérialité de l’œuvre (les matériaux utilisés par exemple, réels ou symboliques) le béat, parfois journaliste, écrivain, ou lui-même artiste, confère à l’iconoclaste le bénéfice de l’innocence, de la pureté ou du souci eschatologique.
Plongez un Christ dans l’urine, il y verra de jolis reflets.
Exhibez des acteurs nus, il y verra le jardin d’Éden.
Tartinez le visage du Christ d’excréments, il y verra un beau chemin de croix.
Faites les pires choses en jurant que vos intentions sont bonnes, et le béat vous croira sur parole, s’inscrivant sans le savoir dans le sillage de Marcel Duchamp, père de l’art contemporain, pour qui l’art devient art « par la seule volonté de l’artiste. » Le béat est ainsi le jouet des circonstances. Rien ne l’atteint, ce qui le dissuade de s’engager. Les médias, qui ont parfaitement compris cela, manient l’étiquette en professionnels. Si tu es avec eux, tu es comme eux. Le raccourci est flagrant mais la technique payante : le béat est terrifié. Souvent d’accord sur le fond, pour peu qu’il s’autorise à réfléchir, il s’oppose à ceux qui contestent l’art contemporain et se justifie par mille et un arguments."
Posté le 27 novembre 2011 à 17h53 par Michel Janva
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Message par Her Mer 7 Déc - 0:14

http://ZENIT.org/

Face à la provocation, le sens critique, par Mgr de Moulins-Beaufort

"Nous confesserons les bienfaits de la croix"

ROME, mardi 6 décembre 2011 (ZENIT.org) – « Face à la provocation », il convient d’« exercer son sens critique », suggère Mgr Éric de Moulins-Beaufort, évêque auxiliaire de Paris, dans un entretien publié dans de l’hebdomadaire « Paris Notre-Dame » du 1er décembre 2011 et dont le site du diocèse de Paris publie des extraits. Mgr de Moulins-Beaufort rappelle le rendez-vous du 8 décembre, à Notre-Dame, à l'invitation du cardinal André Vingt-Trois pour vénérer les reliques de la Passion: "Nous confesserons les bienfaits de la croix".

P.N.-D. - Pourquoi tant d’agitation autour de spectacles parlant du Christ ? N’y a-t-il pas d’autres supports qui abordent le sujet de façon critique (bandes dessinées, musique) ?

Mgr Éric de Moulins-Beaufort - À la fin de l’été, l’information circulait sur Internet que deux spectacles programmés cet automne à Paris offensaient gravement le Christ. L’information était rédigée pour provoquer. Elle a réussi. Première leçon : réfléchissons à notre manière de recevoir une information par Internet. Qui l’émet ? Pourquoi me l’envoie-t-il ? Son information est-elle vraie ? Abordons le fond : un spectacle n’est pas un livre qu’on lit chez soi ; il a une certaine face publique. Il cherche à créer une réaction collective.

Quels différents niveaux peut-on distinguer dans la façon de traiter d’un tel sujet ? Par quel filtre doit-on s’efforcer de décrypter ces expressions artistiques ?

Des spectacles ou des mises en scène utilisent la symbolique religieuse. C’est légitime : la religion est une composante essentielle de la vie. Quand cette utilisation est provocante, tourne en dérision ce en quoi des personnes croient, la question doit être posée : pourquoi un auteur ou un metteur en scène utilise-t-il la provocation ou se permet-il la dérision ? Il n’est pas exclu que ce soit pour appâter des spectateurs. Mais peut-être ce que cette manière brutale exprime mérite-t-il d’être entendu ? Un spectacle devrait être apprécié selon son texte, la mise en scène, le talent des acteurs. Il ne faudrait pas qu’à cause de la polémique, les spectateurs se prennent pour des héros de la lutte contre l’intolérance et n’exercent plus leur sens critique. La fascination de certains artistes pour le « sale », pour une sexualité banalisée ou même violente, mériterait une analyse. Mélanger tout cela à la religion n’est pas nouveau. Faire réfléchir à la misère humaine ou à la corruption de la société est toujours nécessaire. Pourtant, d’un strict point de vue artistique, est-il vraiment audacieux de « tout » montrer ?

Faut-il réagir systématiquement face à de telles mises en scène ? Si oui, de quelle façon ?

Sûrement pas systématiquement. Que la figure du Christ attire des regards critiques, c’est un risque que le Seigneur a voulu courir. Si, nous chrétiens, considérons qu’il est bafoué, ce sentiment doit nous conduire à nous rapprocher de lui. Dans le cas présent, puisque la croix du Christ est présentée comme n’ayant pas apporté de bien, voire comme ayant provoqué des maux, notre archevêque nous invite à vénérer les reliques de la Passion, le soir du 8 décembre. Nous confesserons les bienfaits de la croix.

Quelle peut-être la juste réaction des chrétiens ?

Ayant la chance de vivre dans un État de droit, nous bénéficions des garanties que la loi accorde à tous, nous n’avons pas à réclamer davantage ni à nous résigner à moins : une société a besoin que ses membres se respectent, y compris dans leurs différences de pensée. Comme chrétiens, le plus important est que nous fassions resplendir le visage du Christ par tout notre comportement, que ceux qui le refusent aujourd’hui puissent découvrir un jour son pardon et sa vérité.

Cet article est extrait de l’hebdomadaire Paris Notre-Dame du 1er décembre 2011.
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Message par Her Mer 7 Déc - 6:35

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/12/nicolas-sarkozy-donne-8-millions-d-à-la-collection-lambert.html

01 décembre 2011

Nicolas Sarkozy donne 8 millions d'€ à la collection Lambert

Lu dans Minute :

"Sur le site officiel de la ville [d'Avignon], Marie-Josée Roig, député-maire UMP d’Avignon, a aussitôt annoncé la bonne nouvelle: « A l’occasion du forum d’Avignon, le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand a annoncé une aide de l’Etat de 8 millions d’euros pour l’extension de la collection Lambert que le président de la République Nicolas Sarkozy a visitée lors de sa venue à Avignon. » 8 millions, c’est choquant, sauf pour Yvon Lambert. Depuis onze ans qu’il l’a installée en Avignon, sa collection vit d’amour de l’art et de subventions publiques. Son budget de plus d’un million d’euros est financé à 40 % par l’Etat, 40 % par la ville et 20 % par la Région PACA. Et cette année, Marie-Josée Roig a même offert une petite rallonge, comme l’atteste une délibération municipale du 8 octobre dernier, qui accorde « une subvention supplémentaire de 20000 euros à l’association Collection Lambert (…), ce qui porte le total de la dotation de la Ville à 460000 euros »!

En contrepartie de tous ces cadeaux, Yvon Lambert a assuré qu’il ferait don à l’Etat des 400 pièces de sa collection."

Et qui va payer ? nos impôts.

Posté le 1 décembre 2011 à 15h13 par Michel Janva
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Message par Her Jeu 8 Déc - 7:14

http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/nos-eveques-vus-despagne

Nos évêques vus d’Espagne
7 décembre 2011 | Enregistrer sous: Eglise en France,Identité catholique,Perepiscopus | Publié par: Maximilien Bernard
Dans le dernier numéro de l’Homme Nouveau, Denis Sureau raconte cette anecdote :

J’étais invité à la mi-novembre à Madrid au XIIIe Congrès des catholiques dans la vie publique organisé conjointement par une association de laïcs à l’histoire très riche et par la puissante université San Pablo. Évènement fortuit : il se terminait le dimanche qui vit l’écroulement du zapaterisme et la plus importante victoire électorale de la droite depuis 80 ans. Lors du débat qui suivit ma conférence, une question fort pertinente me fut posée. Un étudiant me demanda : « Nous ne comprenons pas, nous catholiques espagnols, pourquoi vos évêques sont passifs face aux attaques antichrétiennes, comme les spectacles blasphématoires. Pourquoi ? ». De fait, les catholiques espagnols (ou italiens) ne craignent pas de dénoncer vigoureusement le laïcisme. Même des Espagnols se déclarant démocrateschrétiens tiennent des propos qui seraient qualifiés en France de dangereusement « fondamentalistes ». Une communication du congrès madrilène était intitulée : « Orgullosos de ser católicos », ce qui signifie « Fiers d’être catholiques ». J’ai répondu à mon étudiant perplexe qu’il y avait une forte imprégnation laïciste en France, mais que les choses étaient en train de changer, que les jeunes laïcs, les jeunes prêtres et les jeunes évêques étaient plus déterminés que leurs aînés. Et qu’il fallait continuer à « recatholiciser les catholiques ». La formule amusa mon auditoire mais médiocrement mon étudiant, qui m’interrogea à nouveau en aparté. Peut-être y a-t-il chez certains catholiques de France une honte d’être chrétiens…
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