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Défense de la Famille - Importance de la Famille dans la Société et dans l'Eglise

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Défense de la Famille - Importance de la Famille dans la Société et dans l'Eglise Empty Défense de la Famille - Importance de la Famille dans la Société et dans l'Eglise

Message par Her Dim 6 Mar - 21:54

ZF11030404 - 04-03-2011
Permalink: http://www.zenit.org/article-27176?l=french
LE MARIAGE CHRÉTIEN À L’ÉPREUVE DU DIVORCE, PAR LE P. BANDELIER

ROME, Vendredi 4 mars 2011 (ZENIT.org) - Pendant longtemps, « les situations matrimoniales ‘irrégulières' se rencontraient majoritairement dans des milieux non croyants ou non pratiquants. Il n'en est plus ainsi ». C'est ce que constate le père Alain Bandelier dans la préface de son livre - Le mariage chrétien à l'épreuve du divorce (Editions de l'Emmanuel) - dans lequel il évoque la « fragilité » actuelle du mariage chrétien.
Prêtre du diocèse de Meaux et responsable du Foyer de charité de Combs-la-Ville, le père Alain Bandelier a une longue expérience de l'accompagnement des personnes séparées, divorcées, divorcées-remariées. Il analyse pour ZENIT la crise familiale actuelle et propose des pistes de réflexion pour les couples en souffrance.
ZENIT : Pourquoi le mariage chrétien est-il aujourd'hui si fragile ?
P. Alain Bandelier : Certains mettent cela sur le compte de la durée des mariages parce qu'on vit aujourd'hui plus longtemps. Mais dans l'Antiquité, il y avait des couples âgés qui s'aimaient. Je pense qu'il y a, d'une part, une confusion entre l'amour d'alliance qui est le fondement du mariage et l'amour émotionnel et passionnel qu'on identifie à l'amour et au bonheur. Dans la représentation de l'amour entre l'homme et la femme, il y a une sorte de survalorisation de l'aspect affectif vibrant, aux dépens de la parole, de la prise de décision, d'une parole d'alliance.
ZENIT : La société est-elle en cause ?
P. Alain Bandelier : Pour une part, l'environnement est en cause. Mais il y a aussi une grande revendication de « mon » bonheur, de « mon » épanouissement, de « ma » liberté. Si bien que devant une tentation, les engagements ultérieurs ne pèsent plus très lourds. Il est très frappant de voir comment un couple peut se briser du jour au lendemain. Les divorces se multiplient chez des chrétiens très convaincus, comme si l'esprit du monde était partagé par les croyants.
ZENIT : Comment expliquer que les couples chrétiens ne trouvent plus les moyens de s'en sortir ?
P. Alain Bandelier : Il faudrait s'interroger sur l'engagement initial. La parole fondatrice d'un couple n'est pas « je t'aime » mais « je t'aimerai ». On vit beaucoup au présent immédiat. Sur ce point comme sur d'autres, nous sommes tous mis à l'épreuve. Nous vivons dans un monde très éclaté, où la vision chrétienne ou même classique de l'homme, du mariage, de la famille est remise en cause. Que le bateau soit davantage secoué qu'à d'autres époques, c'est un fait.
ZENIT : Faudrait-il revoir les préparations au mariage ?
P. Alain Bandelier : Concernant la préparation au mariage, deux problèmes se posent. L'un en amont : la préparation au mariage lointaine, dans l'enfance et dans l'adolescence, me semble tout à fait insuffisante. On ne parle pas aux plus jeunes de l'amour humain, selon la vision de Dieu qui crée l'homme et la femme à son image, qui les appelle à une unité. Et cela éclairé par l'amour du Christ pour son Église : Jésus ne divorcera jamais. Ce fondement n'est presque plus transmis. Il était sous-entendu dans une civilisation marquée par le christianisme. Aujourd'hui il ne l'est plus et c'est le contraire qui est mis en lumière. Dans les milieux chrétiens, la catéchèse sur le mariage est insuffisante. Il faut que les plus jeunes sachent que le mariage est une vocation.
Par ailleurs, dans la préparation directe au mariage, on passe trop sous silence cette question fondamentale : et si ça ne va pas, qu'est-ce qu'on fait ? Il faut mettre les couples face à l'épreuve éventuelle. Les jeunes voient bien que dans leur entourage les gens divorcent, se remarient. « Mais nous on s'aime, ça ne nous arrivera pas ». Les jeunes éludent cette question à tort.
ZENIT : L'Eglise pourrait-elle proposer aux jeunes qui se préparent au mariage de suivre un chemin de catéchèse, afin de se réapproprier les bases de la foi chrétienne ?
P. Alain Bandelier : Il est très difficile de conduire vers un mariage sacramentel dans la foi chrétienne des personnes qui ne vivent pas dans la foi chrétienne. Comment le couple peut-il être chrétien si les personnes ne vivent pas la grâce de leur baptême ? En même temps, Jean-Paul II l'avait dit, ce n'est pas la foi qui fait le mariage mais l'amour humain. On ne peut pas exclure des gens sous prétexte qu'ils n'ont pas une foi assez profonde. Il faudrait donc les inscrire dans une démarche de type catéchuménal et les préparer au baptême en même temps qu'au mariage, même s'ils sont déjà baptisés.
ZENIT : Qu'est-ce qui permet à un couple chrétien de durer dans le temps ?
P. Alain Bandelier : J'insiste toujours sur l'importance de la prière commune. Il est frappant de voir que nombre de catholiques mariés partagent beaucoup de choses, mais pas la prière. Ils prient chacun de leur côté mais ils ne sont pas régulièrement côte à côte devant le Seigneur. Dans la prière commune, il y a une union des âmes, une écoute du Seigneur, un accueil de sa Parole. Si les époux ne partagent pas un minimum de vie spirituelle, il manque quelque chose. On sait aussi qu'un couple a besoin de se parler. Il y a un enjeu très important dans la communication et pas seulement dans le partage quotidien des nouvelles mais aussi dans ce que je ressens, les questions que je me pose, mes épreuves, mes rêves. Avec les années qui passent, le dialogue conjugal s'évapore parfois.
ZENIT : Que doit faire un couple qui va mal et qui veut s'en sortir ?
P. Alain Bandelier : Il faut avoir l'humilité de se le dire l'un à l'autre sans attendre que la situation soit devenue invivable. Prendre les moyens de demander de l'aide. Quand le face à face devient difficile, il faut renouer le dialogue avec l'aide d'un tiers.
ZENIT : Un couple qui va mal peut-il se dire que rien n'est jamais perdu ?
P. Alain Bandelier : Il faut oser croire, espérer. Il y a des chemins de renaissance et de résurrection. On a besoin dans ces cas-là que des frères nous accompagnent de leur prière.
ZENIT : Le message est-il bien passé que l'Église est toujours ouverte aux divorcés remariés ?
P. Alain Bandelier : On entend trop souvent qu'ils se sentent exclus. Ce n'est pas parce que je ne peux pas communier que je ne fais plus partie de la communauté chrétienne. Nous sommes tous convoqués à l'assemblée liturgique du dimanche. Le débat a été trop centré sur la communion eucharistique, ce qui laisse dans l'ombre tout le reste de la vie chrétienne. Ne nous focalisons pas sur ce qui est impossible mais adoptons une vision positive et découvrons ensemble tout ce que l'on peut vivre des dons de Dieu quand on est divorcé et qu'on est engagé dans une nouvelle union.

ZENIT : Qu'est-ce que ce « tout » que l'on peut vivre ?
P. Alain Bandelier : Ce qui est fondamental, c'est le baptême qui nous fait disciple du Christ. Nous ne pouvons pas l'effacer. Il y a une amitié avec le Christ, une vraie vie spirituelle et il faut la faire grandir. Il y a toute une vie de prière, la participation aux célébrations, y compris à la célébration eucharistique. Il y a une grande réflexion à approfondir à ce sujet. Certes, la communion en est le point culminant, mais il ne faut pas dévaloriser tout ce qui la précède. Il y a une communion à la Parole, une communion fraternelle, et le mystère même du Christ faisant de sa vie une offrande vivante pour la gloire du Père et pour le salut du monde.
Propos recueillis par Marine Soreau


Dernière édition par Hercule le Lun 17 Oct - 21:08, édité 4 fois
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Message par Her Lun 21 Mar - 6:52

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11 mars 2011

Les familles, meilleures alliées de la réforme de la société

Communiqué des AFC :

"Peut-on espérer qu'un débat au Parlement place aujourd'hui au cœur du pacte républicain le mariage entre un homme et une femme à la fois comme l'alliance entre deux êtres qui engage vis à vis des enfants, des deux familles et de la société, et comme la condition d'un épanouissement physique, psychique, affectif et social total des époux et celle d'une paternité/maternité effective, d'un accueil plénier de l'enfant et de son éducation harmonieuse ? La proposition en question renvoie, en effet, à un enjeu double : la découverte de l'ensemble des dimensions de la conjugalité et la nécessité de prévenir les coûts inhérents aux autres formes d'union.

Si, pour beaucoup, le mariage est « la plus belle des promesses », il n'est pas compris par la plupart dans l'intégralité de son ambition. Il est vécu comme l'écrin du sentiment que les conjoints peuvent avoir l'un pour l'autre, sentiment qui reste par nature changeant. D'autres y voient la conclusion nécessaire de l'arrivée d'un enfant ; d'autres encore, la meilleure garantie d'un divorce réussi... D'autres estiment que seul le mariage religieux compte. Ces conceptions témoignent d'attentes fortes, mais aussi du chemin à parcourir pour une appropriation concrète du mariage civil tel que défini par la loi. Certains aussi suggèrent d'agir :

- sur un plan institutionnel, en demandant la clarification des différentes formes d'union en fonction de la portée de l'engagement,

- sur un plan culturel et éducatif, auprès des couples, pour les aider à découvrir l'engagement sponsal...

Une telle approche ne ferait-elle pas des familles les meilleures alliées de la réforme de la société ?"

Posté le 11 mars 2011 à 16h56 par Michel Janva
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Message par Her Lun 21 Mar - 6:57

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01 mars 2011

La destruction de la famille mène à une société de violence

Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, répond au blog Familles 2011 :

"Il y a un enjeu décisif pour la société. Si nous ne réussissons pas à surmonter les difficultés que comporte la vie familiale, nous allons vers une société de violence. Cette inquiétude n’a pas d’abord des motifs évangéliques, mais des motifs sociopolitiques. Si la famille ne joue pas son rôle, je ne vois pas quelle sera l’institution de base où s’éduqueront les vertus sociales. Or, le sens même de cette réalité humaine fondamentale est aujourd’hui largement remis en cause. [...]

Ce n’est pas la doctrine catholique qui fait que l’homme et la femme sont différents, ou qu’il est mieux d’élever un enfant entre un homme et une femme qu’autrement. L’adhésion au Christ donne à tout ceci un sens plus plénier, mais cela existe hors des sphères chrétienne et bien avant le Christ. L’Evangile nous confirme qu’à travers les temps et les lieux, l’union d’un homme et d’une femme de manière stable pour élever leurs enfants n’est pas irréalisable et peut même leur apporter beaucoup de joie. Mais il n’empêche que la majorité des gens qui vivent une vie de famille de ce type à travers le monde ne sont pas chrétiens. La sagesse humaine et la doctrine catholique se rejoignent ici."

Posté le 1 mars 2011 à 08h12 par Michel Janva
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Message par Her Lun 21 Mar - 6:58

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04 février 2011

Le lien entre divorce et suicide

Lu sur le blog de Jeanne Smits :

"une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l'Université de Toronto établit que les enfants et adultes issus de couples divorcés ont un risque considérablement plus élevé de penser sérieusement au suicide que les descendants de familles intactes. [...] Alcoolisme et tabagisme sont également plus fréquents chez les enfants de divorcés."

Posté le 4 février 2011 à 09h13 par Michel Janva
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Message par Her Lun 21 Mar - 6:59

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02 février 2011

Le divorce est un drame pour les enfants

L'Union des Familles en Europe publie une enquête sur le divorce et ses conséquences, après avoir interrogé 1137 adultes, enfants de divorcés. Extraits :

Pour 74% des enquêtés, le divorces a des conséquences financières sur le niveau de vie, au point de pouvoir, dans certains cas, entraver les études. Une des causes de la crise scolaire est aussi à rechercher ici.
40% des enfants n'ont pas maintenu de liens réguliers avec le parent qui n’avait pas la garde, à savoir le plus souvent le père.
34% des mères et 16% des pères restent seuls après la séparation.
Le nouveau partenaire n’est pas facilement et rapidement accepté.
Le divorce par consentement mutuel n’épargne pas les querelles sur les droits de garde ou de visites et d’hébergement. 34% des parents se querellent sur la garde, 39% sur les visites, 61% sur la pension et 30% sur l’éducation.
A la question «Quelles leçons tirez-vous de la séparation de vos parents pour vos (éventuels futurs) enfants ?», ils répondent qu’il faut éviter le divorce pour épargner les enfants.
Filles et garçons souffrent fortement de la séparation.
Cette souffrance se répercute
sur les études (56%) : démotivation, difficultés à se concentrer, dépression ;
sur la vie professionnelle (41%): «je suis assistante sociale maintenant (surtout pour réparer....)», «je suis médiatrice familiale». Et puis il y a ceux qui ont des difficultés à affronter la vie professionnelle : manque de confiance, paralysie, anxiété, instabilité…
sur la personnalité (88%) : Certains enfants ont perdu l’espoir du bonheur à deux. D’autres ont connu dépression, anorexie ou manquent cruellement de confiance en eux.
Pour la moitié des enquêtés, la séparation de leurs parents rend leur engagement avec quelqu’un plus difficile.
Conclusion : ne pas banaliser le divorce et renforcer la famille.

Posté le 2 février 2011 à 08h55 par Michel Janva
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Message par Her Lun 21 Mar - 7:01

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22 janvier 2011

"le mariage et la famille sont des institutions qui doivent être promues et défendues"

En recevant les magistrats de la Rote Romaine, le tribunal du Vatican chargé des affaires matrimoniales, Benoît XVI a rappelé :

"Le droit de contracter un mariage présuppose qu'on puisse et qu'on ait l'intention de le célébrer vraiment, par conséquence dans la vérité de son essence telle qu'enseignée par l'Eglise".

Le mariage à l'église n' "est pas une exigence subjective qui doit être satisfaite par les prêtres à travers une simple reconnaissance formelle, indépendamment du contenu réel de l'union".

Et Benoît XVI a insisté sur l'importance de vérifier les convictions des aspirants au mariage face aux "obligations imprescriptibles pour la validité du sacrement du mariage".

"Un discernement sérieux sur ce sujet pourra éviter que des impulsions émotives ou des raisons superficielles ne conduisent les deux jeunes à assumer une responsabilité qu'ils ne sauront pas honorer par la suite".

"le mariage et la famille sont des institutions qui doivent être promues et défendues de toute équivoque possible sur leur vérité parce que toute atteinte qui leur est portée est de fait une blessure qui touche la cohabitation humaine".

Benoît XVI a exprimé le souhait d' "interrompre, dans la mesure du possible, le cercle vicieux entre admission quasi automatique au mariage, sans préparation adéquate et examen sérieux (...), et déclaration judiciaire également facile, mais en sens inverse, de nullité du mariage seulement sur la base d'un constat d'échec".

Posté le 22 janvier 2011 à 17h08 par Michel Janva
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Message par Her Lun 21 Mar - 7:01

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15 décembre 2010

Il faut privilégier le mariage au Pacs

Le Collectif pour l'enfant a écrit aux parlementaires :

"Le texte déposé par Monsieur Mariton, visant à rétablir le privilège fiscal au profit des jeunes mariés l’année de leur mariage, a été rejeté lors de l’examen de la loi de finances 2010. Il pourrait être rétabli à l’occasion de la loi de finances rectificative. En effet, une telle mesure [...] exprime simplement le bon sens. Si l’on souhaite promouvoir la stabilité des familles et de la société, il faut encourager le mariage qui rend un service social sans équivalent [...].

Décider de se marier c’est accepter d’assumer des obligations fortes (fidélité, respect, loyauté, secours et assistance) [...] le mariage est un engagement qui s’inscrit dans la durée et dont la rupture éventuelle n'est pas laissée au seul consentement des époux. Le juge intervient dans tous les cas pour s'assurer que cette rupture n'est pas excessivement préjudiciable à l'un des conjoints et pour protéger les plus faibles (généralement la femme et, dans tous les cas, les enfants). La force de l’engagement constitue pour chacun des époux une sécurité et leur permet de se projeter dans l'avenir. C’est pourquoi le mariage est le socle naturel de la fondation d'une famille, ce qui explique que, jusqu'à une date récente, le législateur l’ait toujours favorisé et par là-même encouragé. Au contraire, le pacs est une convention privée qui ne comporte pas d’engagement social et peut donc être rompue sans intervention du juge. La caractéristique fondamentale du pacs, qui le distingue radicalement du mariage est sa précarité, car il peut être rompu à tout moment par décision unilatérale de l'un des partenaires qui doit seulement en informer l'autre par acte d'huissier (Code civil, art. 515-7).

Les conséquences de ces choix ne sont pas indifférentes pour la société. De nombreuses crises sociales, qui touchent en premier lieu les enfants, sont des conséquences de ce que le mariage n’est pas assez protégé et encouragé. Le contexte familial dans lequel les enfants grandissent n’a rien d’anodin. La famille est le lieu de l’éducation et de l’apprentissage de la citoyenneté. Si l’on est convaincu que l’idéal pour l’enfant est la stabilité, il faut encourager les situations qui garantissent au mieux cette stabilité. [...] En outre, tout au long de la vie des individus, la famille offre à ses membres un cadre de solidarité, un soutien ou même un refuge en cas de besoin, autant de services qu’aucune structure sociale ne peut compenser vraiment lorsque la famille est défaillante. Encourager le mariage revient à encourager la famille, pour laquelle le mariage offre le cadre le plus stable et le plus sécurisant. Nier la spécificité du mariage est dommageable pour la société entière. C’est, en outre, profondément injuste et discriminatoire.

Le législateur s'est employé ces dernières années à aligner systématiquement le régime juridique et fiscal du PACS sur celui du mariage mais, uniquement, en ce qui concerne les avantages attachés à la qualité d’époux : imposition commune, régime fiscal des donations, exonération des droits de succession. Il en résulte que les devoirs continuent d’être réservés au mariage, alors que seuls les avantages sont étendus au pacs. Ce faisant, le législateur procède à une discrimination à l'envers, qui consiste à traiter de manière identique des situations qui n'ont rien d'équivalent. Or ces «cadeaux fiscaux» ont un coût pour la collectivité. Il importe qu’ils bénéficient en premier lieu, dans la période actuelle de crise, aux modes de vie en couple qui présentent le plus d’intérêt social. En outre, si la vie de couple est détachée de la perspective de l’engagement en vue de fonder une famille, pourquoi devrait-elle être avantagée par rapport au célibat ? Qu’est-ce qui justifie cette discrimination à l’égard des célibataires ? Au contraire, le couple dispose souvent de deux salaires pour faire face à des dépenses (logement, électricité, chauffage, abonnement téléphonique) qu’un célibataire doit supporter seul, et ce dernier paierait le plus d’impôts ? C’est le service social rendu par le mariage qui exige qu’il soit encouragé, même si chacun reste libre de se marier ou non. L’avantage fiscal dont bénéficient les époux l’année de leur mariage est donc parfaitement justifié."

Posté le 15 décembre 2010 à 17h25 par Michel Janva
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Message par Her Sam 4 Juin - 7:29

http://www.osservatore-vaticano.org/messages-du-pape/benoit-xvi-nous-invite-a-prier-pour-que-les-familles-chretiennes-soient-lumiere-du-monde

Benoît XVI nous invite à prier pour que les familles chrétiennes soient lumière du monde
Posté par Vini Ganimara dans Messages du Pape le 06 3rd, 2011 | pas de réponse
Benoît XVI se rend demain et après-demain à Zagreb à l’occasion de la Journée des familles croates. Mercredi, à l’audience générale, il a lancé un appel aux pèlerins croates (appel que nous pouvons prendre à notre compte!…) :

« Dans l’attente de cette rencontre, je vous invite à prier pour le succès de cette visite apostolique, pour qu’elle porte d’abondants fruits spirituels, pour que les familles chrétiennes soient sel et lumière du monde. »

Vivant pour la plupart d’entre nous dans des sociétés où la famille est l’objet d’attaques insidieuses ou violentes, nous mesurons la lourde responsabilité des familles chrétiennes. A ce propos, je me permets de rappeler (spécialement en songeant aux échéances électorales que va connaître la France l’année prochaine) que la plupart des « points non négociables » sont liés à la famille (le respect de la vie de la conception à la mort naturelle est d’abord la responsabilité des parents; la défense du mariage traditionnel est évidemment centrale pour les familles; enfin, la liberté éducative est le corollaire de la responsabilité des parents)…
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Message par Her Jeu 6 Oct - 14:41

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/10/la-famille-un-thème-majeur-pour-la-présidentielle.html

04 octobre 2011

La famille, un thème majeur pour la présidentielle

Selon un sondage IPSOS (résultats complets),

77% des Français veulent construire une seule famille dans leur vie en restant avec la même personne (84% des 18-24 ans).

50% pensent que l’augmentation du nombre de séparations et de divorces vient du fait que les couples font moins d’efforts qu’avant pour rester ensemble
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Message par Her Sam 15 Oct - 11:05

http://ZENIT.org/

Rencontre mondiale des familles: on recherche des bénévoles

Milan 2012, du 30 mai au 3 juin

ROME, vendredi 14 octobre 2011 (ZENIT.org) – Le comité organisateur de la Rencontre Mondiale des Familles (IMF) lance un appel aux jeunes de toutes nationalités souhaitant s’inscrire comme volontaires pour l’événement qui se tiendra à Milan, en Italie, du 30 mai au 3 juin et dont le point d’orgue sera une rencontre avec le pape.

L'invitation s’adresse aux personnes ayant atteint leur majorité, « disposées à consacrer de leur temps à l’organisation de la rencontre ».

Le bénévole doit être « fortement motivé », précise le comité organisateur. Les services proposés sont divers : accueil, renseignement, assistance aux personnes handicapées, aux personnes âgées et aux enfants, installation et gestion des structures, collaboration avec le bureau de presse et présence sur les lieux des célébrations.

La prière à réciter pour préparer la rencontre, écrite par l’archevêque émérite de Milan, le Cardinal Dionigi Tettamanzi, est accessible sur la page internet de la VIIe IMF, qui a pour thème « La famille : le travail et la fête ».

Pour plus de détails se connecter à : http://www.family2012.com/
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Message par Her Lun 17 Oct - 21:07

http://www.zenit.org/french

Le pape évoque l'importance de la famille dans la société et dans l'Eglise

Audience aux membres de la Fondation « Centesimus Annus - Pro Pontifice »

ROME, Lundi 17 octobre 2011 (ZENIT.org) – Dans un monde touché par une grave qui crise qui ébranle le travail, l’économie, mais aussi la famille, le pape Benoît XVI a invité à s’aider de la doctrine sociale de l’Eglise pour trouver « une nouvelle synthèse harmonieuse entre famille et travail ». Pour cela, il rappelle l’importance de la gratuité et de la solidarité.

Le pape a reçu, le 15 octobre au Vatican, les participants au Congrès international organisé par la Fondation Centesimus Annus - Pro Pontifice sur le thème « Famille, entreprise : dépasser la crise avec de nouvelles formes de solidarité. 20 ans après Centesimus annus » (Rome, 13-15 octobre).

Aujourd’hui encore, 20 ans après la publication de l’encyclique Centesimus annus publiée en 1991 à l’occasion du centenaire de l’encyclique Rerum Novarum, sur la doctrine sociale de l’Eglise, « le patrimoine interne du Magistère social n’a pas changé, qui encourage toujours la personne humaine et la famille dans leur contexte de vie, y compris de l’entreprise », a expliqué le pape.

« Le Concile Vatican II a parlé de la famille en termes d’Eglise domestique, de ‘sanctuaire intouchable’ où la personne mûrit dans l’affection, dans la solidarité, dans la spiritualité », a-t-il expliqué. « L’économie aussi, avec ses lois, doit toujours considérer l’intérêt et la sauvegarde de cette cellule de base de la société ».

Benoît XVI, s’appuyant sur l’exhortation apostolique Familiaris consortio du bienheureux Jean-Paul II, a souhaité rappeler les quatre devoirs de l’institution familiale que sont la formation d’une communauté de personnes ; le service à la vie ; la participation sociale et la participation ecclésiale.

« Ce sont toutes des fonctions à la base desquelles il y a l’amour, et c’est à cela que la famille éduque et forme ». C’est aussi dans la famille que l’on apprend « la juste attitude à avoir dans la société, ainsi que dans le monde du travail, de l’économie, de l’entreprise. Elle doit être guidée par la charité, dans la logique de la gratuité, de la solidarité et de la responsabilité des uns pour les autres ».

« Si cela vaut pour la société en général, cela assume une importance encore plus grande dans la communauté ecclésiale », a observé Benoît XVI. « Même dans l’évangélisation, en effet, la famille a une place d’importance ». Elle est « appelée à prendre part à l’évangélisation de manière propre et originale, en mettant au service de l’Eglise et de la société sa manière d’être et d’agir, comme une communauté intime de vie et d’amour ».

Pour le pape, « famille et travail sont les lieux privilégiés pour la réalisation de la vocation de l’homme qui collabore à l’œuvre créatrice de Dieu aujourd’hui ».

Le pape s’est enfin arrêté sur les multiples crises qui touchent actuellement le monde. Crise du travail et de l’économie, crise de la famille : « les conflits de couples, ceux entre générations, ceux entre le temps pour la famille et pour le travail, la crise de l’emploi, créent une situation complexe de malaise qui influencela vie sociale ».

« Il faut donc une nouvelle synthèse harmonieuse entre famille et travail, à qui la doctrine sociale de l’Eglise peut offrir sa précieuse contribution », a-t-il souhaité. « Dans l’encyclique Caritas in veritate, j’ai voulu souligner comment le modèle familial de la logique de l’amour, de la gratuité et du don est étendu à une dimension universelle. Pour qu’il y ait une vraie justice, il est nécessaire d’ajouter la gratuité et la solidarité ».

Mais s’il n’est pas du devoir de l’Eglise « de définir les chemins pour affronter la crise en cours », le pape a rappelé que les chrétiens ont le devoir « de dénoncer les maux, de témoigner et de maintenir vivantes les valeurs sur lesquelles se fonde la dignité de la personne, et de promouvoir ces formes de solidarité qui favorisent le bien commun pour que l’humanité devienne toujours plus famille de Dieu ».
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Défense de la Famille - Importance de la Famille dans la Société et dans l'Eglise Empty Re: Défense de la Famille - Importance de la Famille dans la Société et dans l'Eglise

Message par Her Sam 10 Déc - 9:55

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PLACE DE L'EGLISE
LE BLOG DE L'OBSERVATOIRE SOCIOPOLITIQUE DU DIOCÈSE DE FRÉJUS-TOULON

FAVORISER LA FAMILLE TRADITIONNELLE, CELLULE DE BASE DE LA SOCIÉTÉ
Vendredi, 02 Décembre 2011 18:30 | Écrit par Observatoire

A chaque lettre d'information, l'Observatoire publiera désormais un court texte de repères en vue de l'élection présidentielle de 2012. L'idée est de vous donner des critères de discernement objectifs et chiffrés, qui sont autant d'arguments clairs en faveur des mesures qui nous permettront, pas à pas, de bâtir la Civilisation de l'Amour que nous désirons pour demain. Le catalogue ici présenté n'est pas exhaustif, loin s'en faut, il est imparfait et pour certains il vous semblera trop complet, ou trop ténu. L'idée est bien cependant, chapitre après chapitre, de constituer un panel de mesures, conformes à la doctrine sociale, qu'un catholique est en droit d'attendre de ses élus nationaux, et sur lesquelles nous serons bientôt amenés à nous positionner.

Voici les sujets qui seront ainsi traités. N'hésitez pas à envoyer vos observations à notre adresse observatoire@placedeleglise.fr.


- La Famille et le mariage
- L'éducation
- Budget de l'Etat et endettement public
- Réforme institutionnelle
- Economie et mondialisation
- Identité culturelle et immigration
- Santé et bioéthique
- Politique sociale
- Environnement
- Défense
- Vie associative et culturelle
- Culture et religions
- Justice


Favoriser la famille traditionnelle, cellule de base de la société

Malgré une politique nataliste incitative, la France souffre d’une démographie déficitaire (le taux de fécondité, quoique l’un des plus élevés d’Europe, ne permet pourtant pas le renouvellement des générations1).

La faiblesse de la natalité française est à la source de nombreux problèmes économiques et sociaux :

Vieillissement de la population. L’affaissement de la pyramide des âges explique en grande partie le problème du financement des retraites par répartition.

Recours massif à l’immigration pour compenser le manque de jeunes travailleurs français dans certains domaines de l’économie2.

Effet négatif sur les faibles salaires, tirés vers le bas. En France, près de 40 % du flux d’immigrés est sans diplôme3.

Déstabilisation sociale et culturelle de la société française : en effet, la différence importante entre les taux de fécondité des femmes d’origine française et étrangère explique en partie l’échec de l’assimilation démographique et de l’intégration culturelle des populations d’origine immigrée4.

En 2009, une étude de l’INED révèle que les couples non mariés, quelque soit leur âge ou leur situation matrimoniale antérieure, ont environ deux fois moins d’enfants que les couples mariés5. De la même façon, environ 50 % des séparations des couples touchent des conjoints non mariés6, alors qu’ils ne représentent qu’un couple sur cinq en 20057.

Mener une politique de promotion de la famille traditionnelle, lieu privilégié d’accueil et d’éducation des enfants, constitue donc à la fois une assurance de stabilité et de développement de la société, alors qu’aujourd’hui, près de 20 % des familles avec enfants sont monoparentales8.

Le coût cette la fragilisation est indéniable :

des effets très lourds pour les enfants : qu'il s'agisse du rapport du Défenseur des enfants (2008) ou de celui de la Cour des Comptes sur la protection de l'enfance (2009), plusieurs documents mettent en avant les conséquences de l'instabilité familiale en termes de résultats scolaires9 ou de détresses familiales10 ;

une précarité socio-économique accrue : avec ou sans enfant, les personnes sans conjoint sont particulièrement exposées à la pauvreté et aux difficultés de logement11. A ce titre, une récente étude de l'INSEE12 souligne que le taux de pauvreté des enfants de familles monoparentales est de 38% alors qu'il est de 13% pour les enfants vivant avec leurs deux parents ; une autre, de juin 2008, met en évidence que seule la moitié des mères de famille monoparentale occupe un emploi à temps complet;

des coûts pour la société : ainsi, la Cour des Comptes note en 2009, que 12% des dépenses d’action sociale sont destinées à l’accompagnement social des familles en difficulté13. Parallèlement, les situations de contentieux familial (divorces, séparations, gardes d’enfants) alimentent l'activité des tribunaux et contribuent à leur engorgement. Ainsi, elles représentent 65% de l'activité des tribunaux de grande instance en 200814.

Ainsi, alors que les problèmes démographiques structurels de la société française sont à la source de problèmes socio-économiques importants, la fragilisation des familles accentue certaines difficultés rencontrées : l'instabilité familiale augmente la précarité qui génère une intervention publique sociale (versement de prestations...), judiciaire (en cas de contentieux) et l’application de mesures de protection, qui visent à en limiter les effets.

Par ailleurs, la reconnaissance des unions homosexuelles comme mariages contactés devant l’Etat tendrait à restreindre gravement la définition du mariage, en dissociant officiellement ses deux dimensions essentielle et existentielle : don de soi à travers l’engagement à la vie commune et à la fidélité, source de stabilité pour la société et la personne, et accueil et éducation des enfants, qui est une ouverture à la Vie et à l’avenir.

Dans cette mesure, l’Eglise ne peut se montrer que favorable à un programme politique familial ambitieux, propre à soutenir la place de la famille dans la société, et commençant par la revalorisation du mariage et la mise en place d’une politique d’accueil de la Vie.


b- Propositions

Définition explicite de la nature du mariage dans le Code Civil15 ;

Distinction et valorisation du mariage par rapport aux autres formes d’union n’impliquant ni le même engagement, ni les mêmes devoirs, par des mesures économiques et sociales spécifiques ;

En particulier, si une réforme du PACS est envisagée, réduction de l’alignement patrimonial et fiscal entre PACS et mariage ;

Mise en place d’une préparation au mariage civil et d’actions d’accompagnement spécifiques et appropriées des difficultés de la vie conjugale et familiale ;

Maintien de l’interdiction d’accès au mariage et à l’adoption pour les couples constitués par des personnes du même sexe ;

Préservation du système d’allocations familiales ;

Poursuite de la politique de développement des crèches et gardes d’enfant, en particulier les crèches d’entreprise ;

Mise en place d’un système de contrôle effectif de l’accès des mineurs aux sites pornographiques sur Internet et de protection de la jeunesse.


1 Le taux de renouvellement des générations est de 2,1. En France, le taux de fécondité en 2010 était de 2,01.

En 2009, 824 641 enfants sont nés en France (L’évolution démographique récente en France, INED, 2010)

2 Le nombre de titres de séjour délivrés s’est établi à environ 200 000 au cours de l’année 2010 (Ministère de l’intérieur).

3 Trajectoires et Origines, Enquête sur la diversité des populations en France, octobre 2010, INSEE-INED.

4 Selon le Gérard-François Dumont, professeur à l’université de Paris-IV Sorbonne, dans la revue Population et Avenir (janvier 2008), l’indice de fécondité tombe à 1,8 si l’on ne considère que les femmes françaises (y compris d’origine immigrée).

5 France Prioux, Les couples non mariés en 2005 : quelles différences avec les couples mariés ?, dans Politiques sociales et familiales n° 96 - juin 2009

6 Chiffres de 1998-1999. Dans Documents de travail de l’INED n°164, La séparation conjugale affecte-t-elle l’activité professionnelle ?, Carole Bonnet, Anne Solaz, Elisabeth Algava, 2009.

7 En 2004, 3 048 000 de couples se déclarent cohabitants et 12 496 000 mariés. Source : INED

8 2,84 millions d’enfants vivent en familles monoparentales, selon le rapport thématique Enfants au cœur des séparations parentales conflictuelles (2008) du Défenseur des Enfants.

9 « La séparation des parents avant la majorité de l'enfant réduit la durée de ses études de 6 mois à plus d'un an en moyenne » selon Paul Archambault dans sa thèse “Le devenir des enfants de familles dissociées”, octobre 2002, Paris-V.

10 Selon une enquête de l’INSERM (1998) reprise dans le rapport de la Cour des Comptes sur la protection de l’enfance (2003), « les jeunes pris en charge par la protection judiciaire de la jeunesse appartiennent plutôt à des familles désunies ».

11 Rapport 2008 du Secours Catholique.

12 INSEE Première n°1216, janvier 2009, Enfants des couples, enfants des familles monoparentales- Des différences marquées pour les jeunes enfants.

13 Soit 439 M€ en 2007, selon le rapport de la cour des Comptes

14 Selon le rapport du Défenseur des Enfants, Dominique Versini, remis le 20 novembre 2008 au président de la République

15 Proposition de réaffirmation de la nature du mariage à travers l’addition dans le titre V du livre Ier du Code Civil d’un article supplémentaire stipulant que « Le mariage est un contrat qui unit un homme et une femme désireux de fonder une famille. »
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