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Défense de la Famille - Au sujet de l'Indissolubilité du Mariage

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Défense de la Famille - Au sujet de l'Indissolubilité du Mariage Empty Défense de la Famille - Au sujet de l'Indissolubilité du Mariage

Message par Her Jeu 25 Aoû - 9:37

http://www.lepeupledelapaix.com/t10873-le-mariage-est-indissoluble#115431

par violaine le Mar 23 Aoû - 10:49

@ tous

le sacrement de mariage est indissoluble,

à votre réflexion, je vous laisse quelques témoignages


Deux lesbiennes vont rencontrer le Père James MANJACKAL il y a quelques années, lui disant : "Mon père, nous voulons nous marier, nous aimerions avoir une bénédiction, nous nous aimons".

Le P. Manjackal leur explique alors que Dieu n'a pas prévu l'homosexualité dans son projet de vie pour ses enfants, et qu'un homme est destiné à une femme, et vice-versa... déroutées, elles se trouvent alors dans une grande souffrance, mais cette lumière que le prêtre leur a donnée va faire son chemin. Elles se séparent, deux ans plus tard elles reviennent le voir, chacune a trouvé "le" compagnon de sa vie et s'est mariée avec, et une des deux a même déjà eu un petit garçon.

Une femme africaine vivait une relation avec un homme blanc s'étant installé en Afrique dans sa région. Puis elle fait une rencontre avec Jésus et se convertit. Elle se rend compte alors qu'elle vit une situation de péché, ayant des relations intimes avec un homme sans être mariée avec lui, et en tous les cas cette situation n'est pas une relation sérieuse menant au mariage. Elle confie alors tout cela à Dieu, car elle n'a pas la force d'en sortir immédiatement. Trois mois plus tard, l'homme tombe gravement malade, et doit rentrer en Europe, mettant ainsi fin à cette relation.

Les relations intimes appartiennent au mariage, en dehors du mariage, elles sont un péché devant Dieu. Le péché est étymologiquement "une situation où une flèche est tirée mais manque sa cible". C'est une situation qui n'aboutit pas... qui passe à côté... mais à côté de quoi : de l'AMOUR !

Un couple qui s'aime et fait l'amour, sans être marié, va peut-être aboutir au mariage, en découvrant qu'il s'aime vraiment, et ce sera le moins grave des cas... mais il peut aussi découvrir qu'un des deux, voire les deux, n'est pas animé par un amour sincère, et mettre fin à la relation... les relations intimes auront été vécue en dehors de toute perspective sérieuse et partagée de marcher vers le mariage. Un des deux aura même été trompé dans son attente, s'il en avait une.

Enfin, un bébé peut être conçu lors de ces rapports intimes... si les deux sont responsables, ils voudront alors se marier, pour entourer ce bébé, découvrant qu'ils s'aiment véritablement et sont prêts à s'unir devant Dieu. Mais ils pourront aussi se sentir poussés à concrétiser une union qu'ils n'auraient pas choisie autrement... et se sentir en quelque sorte pris au piège d'une responsabilité non choisie, non désirée... mais qu'ils auront tout de même fait venir (provoquée...amenée...) par leur comportement respectif et joint. Et en dernière option, un des deux pourrait alors s'enfuir, fuyant littéralement la responsabilité et la relation, laissant l'autre sans aide et soutien, affronter seule la venue du bébé... souvent c'est la mère qui se retrouve ainsi abandonnée... dans ce cas, elle peut choisir de garder le bébé, ou encore d'avorter, ajoutant un péché gravissime à celui d'avoir vécu des relations intimes hors mariage.

Parfois, le couple reste ensemble, mais choisit de concert d'avorter, ou encore l'entourage pousse la mère, réticente, à cette échapatoire qui pèsera lourd sur sa conscience pour le reste de sa vie... tout comme sur celle du père...

On le voit, avoir des rapports intimes hors mariage, est déjà une faiblesse, un péché qui peut être grave, et amener une situation dans laquelle un enfant sera conçu par un couple qui n'est pas encore construit, qui ne s'est pas choisi pour la vie, et se retrouvera soit coïncé, soit brisé par cette venue de l'enfant, et l'enfant démarre dans la vie sans papa... sans famille véritable qui l'accueille... cela crée des blessures qu'il faut parfois une vie pour guérir... mais c'est un immense courage lorsque la maman qui se retrouve enceinte, qui découvre que son amoureux ne l'aime pas vraiment, pas suffisamment en tout cas pour rester auprès d'elle et assumer le fruit de leurs relations intimes, pour ne pas dire de leur "amour"... choisit malgré tout de garder l'enfant, avec le coeur brisé de chagrin pour la rupture, pour la solitude, mais ne veut pas ajouter un péché plus grand encore à celui de cette situation où la flèche tirée n'a pas atteint le coeur de l'autre... pour reprendre l'image du sens étymologique du mot péché en hébreux.

Dieu n'a pas prévu que les enfants soient ainsi conçus... ils sont censés être conçus dans un couple marié devant Dieu, et venir au monde et être éduqués avec la foi en Dieu... combien de situations dans notre monde ne correspondent pas ou plus avec ce merveilleux ordonnacement voulu par Dieu ?!!

Dieu a prévu que les hommes et femmes soient ses enfants, se tournent vers Lui et vivent dans une intimité de coeur et d'âme avec leur merveilleux Créateur et Père du Ciel... mais cela ne se vit plus ainsi, sauf exceptions que devraient constituer tous les chrétiens dans le monde... et encore...

Dieu a prévu que les enfants conçus apprennent de leurs parents à entretenir avec leur merveilleux Créateur et Père une relation intime de coeur et d'âme... mais la plupart des parents enseignent plutôt aux enfants leurs propres valeurs détournées de la vérité, et dans un égoisme, les dirigent vers des réalisations humaines, des postes de travail, une réussite purement humaine, oublieux de la relation avec leur Créateur et Père...

Si on perd de vue cela, on tombe dans des situations où les être humains veulent un compagnon pour fuir la solitude, et ils en prennent un ou une provisoirement en attendant de trouver mieux... veulent des enfants pour réaliser leur désir égoïste de maternité ou paternité (ou les deux) sans plus se référer à leur Créateur qui ordonnance tout de la meilleure de façons lorsqu'on s'adresse à Lui.

Regardons Moïse, qui ne pouvait (ni sa femme Sara!i) avoir d'enfant... et Dieu lui fait la promesse : "Tu aura un fils, et ta descendance sera aussi grande que les grains de sable de la mer... regarde, peux-tu le compter ?"

Or malgré sa promesse, Dieu tarde à réaliser cela, et l'enfant ne vient pas, le temps passe... mais pourtant Dieu avait un projet tellement important, que tout est venu à point nommé, lorsque Dieu l'a voulu, lorsqu'Il a vu que le moment était venu.

Chaque fois que Dieu a donné un enfant sur le tard à un couple qui ne pouvait pas en avoir, ce fut un enfant qui avait une destinée bien spéciale, regardons St Jean Baptiste, le cousin de Jésus, regardons Samuel, regardons regardons la Vierge Marie... mais il doit bien y avoir plein d'autres exemples concrets dans la vie de tous les jours...

Dieu a un projet pour chacun de ses enfants, et l'important, l'essentiel, est de retourner à la Source, à son Coeur de Père, pour recevoir de Lui le sens profond de notre vie à chacun... le reste, c'est du rafistolage, le plus souvent.

Maintenant, face à ce thème si délicat du mariage, oui, un mariage conclu validement devant Dieu est indissoluble. Reste la question délicate de savoir s'il a été conclu validement, c'est-à-dire s'il est valide depuis le moment même de sa conclusion, ou pas. Mais s'il l'est, il est indissoluble, et comme le dit quelqu'un, c'est comme pour le vin et l'eau, une fois qu'ils ont été unis et mélangés, on peut bien essayer de les séparer, ce n'est plus possible !

Jésus a été clair : "Que l'homme ne sépare point ce que DIEU a uni !"

A partir de là, que dire aux couples mariés religieusement qui ensuite se séparent, divorcent :

- leur rappeler qu'un mariage conclu validement est indissoluble
- les inviter à prier et confier à Dieu leur situation pour voir s'il n'y a pas une possibilité de se réconcilier... parfois certains couples restent séparés une année, sans divorcer, puis retrouvent une petite ouverture pour se revoir, reprendre un chemin ensemble, sur de nouvelles bases... avec le pardon et des efforts réciproques pour ne pas retomber dans les mêmes travers ou blessures qui les ont séparés une fois déjà...
- si réellement il n'y a pas de réconciliation possible (un des deux est parti avec une autre personne, a refait sa vie...) alors il peut être bon d'analyser avec le conjoint ainsi abandonné s'il n'existe pas concrètement des motifs de faire reconnaître l'union qui a été célébrée dans une église, comme non valide. Il peut effectivement dans certains cas exister des motifs concrets de non validité, et ces motifs ne sont pas créés par la séparation, l'adultère, mais devaient exister déjà au moment de la conclusion du mariage.

Parmi ces motifs on peut citer : la volonté d'un des deux de ne pas avoir d'enfants, l'absence de liberté de choix de se marier d'un des deux conjoints (voire des deux) si la famille ou quelqu'un d'autre a fait pression et a entravé la liberté d'un des époux...quant à l'absence de maturité, elle ne doit pas être entendue, comme l'a rappelé le Pape récemment, comme une trop grande jeunesse, mais comme un élément vraiment grave qui entraîne chez l'un des époux une incapacité à pouvoir prendre validement une telle décision du mariage.

En cas de séparation ou divorce, rien ne peut changer cette indissolubilité du mariage, s'il a été validement conclu devant Die, pas même la solitude d'un des époux qui se retrouve seul alors que l'autre l'a quitté pour aller avec un autre compagnon ou une autre compagne (suivant qui a quitté qui) et pas même le fait qu'il y ait des enfants à éduquer seul de ce fait...

Jésus a ainsi expliqué que si un homme s'est retrouvé marié avec une femme qui avait précédemment été répudiée par son premier mari, il peut se séparer de cette femme puisqu'en réalité elle est toujours mariée devant Dieu avec son premier mari.

Il ne l'a pas dit ainsi, mais il l'a dit ! car ce qu'il a dit est : "Si Moïse a permis la répudiation c'est à cause de la dureté de vos coeurs, mais moi je vous le dis, si un homme a été marié avec une femme, il ne doit pas la répudier, [b]hormis le cas où il s'agit d'une femme qui avait elle-même été répudiée par son propre mari, car l'homme ne doit pas séparer ce que Dieu a uni."

Tout ceci est bien cruel, mais voilà où mène le péché : un homme qui ne prie pas suffisamment et dans sa faiblesse perd la tête pour une autre femme et abandonne l'épouse qu'il a devant Dieu, et les enfants qu'ils ont eu ensemble...

Une femme qui part avec un autre homme, laissant derrière elle l'homme avec qui elle est mariée devant Dieu, et des enfants dont elle ne veut plus s'occuper, ou les entraînant avec elle dans sa nouvelle relation.

Un homme ou une femme ayant un caractère assez terrible pour faire souffrir la personne épousée devant Dieu, et faisant subir à l'autre conjoint des souffrances qui ne sont pas dignes du mariage, celui-ci n'ayant pas été conçu par Dieu pour être un camp de concentration !

Voilà le péché, la flèche qui n'atteint pas le but pour lequel elle existe, là où elle a été tirée... et nous sommes tous faits pour l'AMOUR, celui qui se donne, non pas le plaisir sexuel qui veut prendre et utiliser l'autre pour soi, mais celui qui se donne à l'autre dans un vrai don d'amour, non pas la relation qui et passagère, mais celle qui, après mûre réflexion, s'engage (ou dans le respect se désengage mais sans entraîner de catastrophe pour l'autre, tel l'abandonner avec un enfant en route ou déjà né...)...

Face à ces couples qui ne sont pas dans la droite ligne telle que Dieu la veut et que l'Eglise nous le rappelle, dans un enseignement fidèle à celui donné par le Christ Lui-même, notre devoir n'est en tout cas pas de pervertir la vérité, de la cacher, de l'amoindrir... ces couples faibles, blessés, n'ont surtout pas besoin d'entendre ce qui les conforterait dans de fausses décisions, mais au contraire la vérité qui leur permettra, s'ils en ont la force, de faire le bon choix, celui qui est conforme à ce que Dieu attend de chacun d'eux, de nous si nous étions à leur place. Nous pouvons les accompagner en leur donnant des conseils judicieux, en les écoutant, en priant pour et avec eux.

Il existe bien des situations où les gens ont pris des décisions qui ont besoin d'être redressées : au moment de prendre ces décisions, la ou les personnes ne savaient pas ou n'avaient pas pleinement conscience de mal faire, mais ensuite la lumière leur vient, et alors ils souffrent de découvrir qu'ils ne sont pas dans la vérité... là soit ils peuvent et ont la force de corriger tout de suite, ou après un certain temps leur situation, soit pour différentes raisons, ils n'ont pas cette force, mais reconnaissent être dans le péché et en souffrent... notre attitude ne saurait être de simple condamnation, mais toujours de miséricorde, car c'est seulement par l'Amour que l'on expérimente Dieu, chacun de nous.

C'est par l'Amour dont il s'est senti aimé par Jésus que Zachée a choisi de changer... mais il a changé !

Lorsque Jésus dit à la pécheresse surprise en flagrant délit d'adultère, que les villageois s'apprêtaient à lyncher : "personne ne t'a condamnée ? Moi non plus je ne te condamne pas : va et ne pèche plus !" Il place nettement la barrière entre la condamnation qui lynche la personne pour son acte (adultère) et la miséricorde qui tort le cou au péché lui-même en lui disant "ne pèche plus" !

Ainsi, suivant l'exemple de Jésus, nous sommes invités à ne pas juger ni condamner les personnes pour l'acte qu'elles ont fait, mais à leur montrer en quoi cet acte est péché et ne doit pas être poursuivi ou répété !

Lorsque ce n'est pas un acte isolé, mais une situation qui est péché, la situation doit être corrigée. Si la persone n'en a pas la force, elle peut au moins reconnaître son péché et prier Dieu en espérant recevoir de Lui la lumière et la force pour changer ce qui peut et doit l'être "à l'avenir".

Une femme canadienne avait donné le témoignage suivant : elle vivait en concubinage avec son "tchum" (petit ami) et après avoir vécu une conversion, en reconnaissant que cela n'était pas en règle, elle l'avait signalé dans la confession, mais en disant au prêtre que c'était ainsi, et qu'elle n'avait pas l'intention de changer cela. Le prêtre avait alors refusé de lui accorder l'absolution. Assez choquée par cette réaction du prêtre, elle retourna se confesser une nouvelle fois auprès de lui après quelque temps, mais à nouveau elle ne manifesta aucune intention de changer sa situation, à nouveau le prêtre lui refusa l'absolution pour tous ses péchés... très marquée cette fois, elle décida de changer les choses : elle rentra chez elle et après mûre réflexion et prière, elle annonça à son petit ami qu'elle refusait dorénavant de faire l'amour avec lui. Pas ébranlé pour deux sous, celui-ci la laissa dire, pensant qu'elle ne tiendrait pas longtemps avec sa résolution. Mais c'était mal la connaître... six mois s'écoulèrent, sans qu'elle ne varie dans sa mise à exécution de sa résolution. Pendant ce temps, elle priait, elle retourna se confesser et cette fois le prêtre lui donna l'absolution. Le Seigneur commençait à toucher le coeur et la foi de son compagnon... celui-ci manifesta des attitudes de foi qui la surprirent, jusqu'au jour où il lui annonça qu'il avait mûrement réfléchi et désirait l'épouser devant Dieu, ce Dieu en qui il croyait désormais. Elle racconta que le jour du mariage, il lui saisit la main pour aller vers l'autel d'une manière où il y avait plus d'Amour qu'il n'en avait jamais manifesté auparavant, même dans les moments les plus beaux ! Dieu avait exponentiellement fait grandir leur Amour !

Aucun pécheur ne peut reconnaître qu'il vit dans ou envisage une situation de péché (adultère, concubinage, décision d'avorter, projet d'insémination artificielle) et se retrouver "justifié" du seul fait de le savoir ou le reconnaître, s'il s'enferme volontairement dans le status quo et refuse de changer. La faiblesse n'a rien à voir avec la décision volontaire et réfléchie... un pécheur ne saurait se couper de l'aide de Dieu, et des autres que Dieu lui envoie... reconnaître le péché, c'est désirer en sortir... qui aime son péché ne le rejette pas, ne le repousse pas, mais s'y installe. Aucune justification pour celui (ou celle) qui choisit volontairement le péché, tout en ayant la conscience claire que c'est péché : on est alors en présence de ce qui s'appelle le péché contre l'Esprit Saint !

Et ceux qui entourent une telle personne, s'ils ne disent pas la vérité, participent au péché de l'autre, en l'encourageant, en l'enfonçant davantage dans sa faiblesse ou son péché.

Nous serons tous responsables de nos paroles devant Dieu... nous aussi pouvons manquer de force pour parler, mais ne nous autorisons pas trop vite à taire la vérité, ou la déformer... car nous portons notre responsabilité pour ne pas avoir aidé l'autre face à une situation délicate, à aller dans le sens que Dieu veut.

Le P. Manjackal refusait de prier pour la guérison physique des personnes qui s'adressaient à lui et qui vivaient dans une situation de péché sans vouloir en changer !

Ce que Dieu nous a enseigné ne change pas, c'est l'homme qui le change à son désir
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Défense de la Famille - Au sujet de l'Indissolubilité du Mariage Empty Re: Défense de la Famille - Au sujet de l'Indissolubilité du Mariage

Message par Her Mar 6 Sep - 7:55

http://www.la-croix.com/Religion/S-informer/Actualite/En-Allemagne-Mgr-Zollitsch-souhaite-un-changement-pour-les-divorces-remaries-_NG_-2011-09-05-707423

5/9/11 - 14 H 22 MIS À JOUR LE 5/9/11 - 14 H 22
En Allemagne, Mgr Zollitsch souhaite un changement pour les divorcés remariés

L’archevêque de Fribourg-en-Brisgau, Mgr Robert Zollitsch, dans un entretien diffusé dans l’hebdomadaire Die Zeit , souhaite voir l’Église évoluer sur le problème des divorcés remariés.

AFP / UWE ZUCCHI
Mgr Robert Zollitsch, président de la conférence épiscopale allemande.
L’archevêque, président de la Conférence épiscopale allemande, explique son point de vue en prenant pour exemple le président de la République fédérale allemande, le démocrate-chrétien Christian Wulff. Ce catholique, divorcé civilement, s’est remarié. Selon les règles en vigueur dans l’Église catholique, il est exclu de la communion. Mais pour Mgr Zollitsch, le président Wulff est «un catholique qui vit sa foi et souffre de la situation».

L’Église se trouve devant la question de son attitude face aux personnes dont le parcours de vie est marqué par des événements malheureux, explique-t-il. Une prise de position qui a tout de suite entraîné une mise au point du nonce apostolique en Allemagne, Mgr Jean-Claude Périsset: «La position de l’Église est claire et il ne faut pas miser sur un changement», a-t-il affirmé le 2 septembre à Berlin à l’agence de presse catholique KNA. Mgr Périsset a toutefois précisé que la non-participation à la communion ne signifie nullement une exclusion de l’Église.
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